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106 : The deadline

Oh là là, ça ne s’arrange pas du tout pour Sam Tyler. Non seulement il se retrouve dans une époque qui n’est pas la sienne (ce qui ne l’empêche pas de vouloir nettoyer sa ville de tous les coyotes qui l’infestent), mais en plus, le voilà menacé de tous côtés…

Car en 2006, on désespère. Les médecins, ne notant aucune activité de son cerveau, ont décidé de débrancher Sam. A 14h ce même jour. L’épisode débute donc par les premières notes très floues de « What a wonderful world » (une de mes chansons préférées, hiii) alors que Sam arrive au boulot pour trouver un vrai champ de bataille, désert. On a fêté l’anniversaire de ce gros péteux de Ray (je m’interroge sur son rôle, à celui-là, sûrement pas un hasard si on débranche Sam juste après la fiesta de ce bâtard), et sans lui.

Oh là là, ça ne s’arrange pas du tout pour Sam Tyler. Non seulement il se retrouve dans une époque qui n’est pas la sienne (ce qui ne l’empêche pas de vouloir nettoyer sa ville de tous les coyotes qui l’infestent), mais en plus, le voilà menacé de tous côtés… Car en 2006, on désespère. Les médecins, ne notant aucune activité de son cerveau, ont décidé de débrancher Sam. A 14h ce même jour. L’épisode débute donc par les premières notes très floues de « What a wonderful world » (une de mes chansons préférées, hiii) alors que Sam arrive au boulot pour trouver un vrai champ de bataille, désert. On a fêté l’anniversaire de ce gros péteux de Ray (je m’interroge sur son rôle, à celui-là, sûrement pas un hasard si on débranche Sam juste après la fiesta de ce bâtard), et sans...

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Posted by on Avr 19, 2008 in Life on Mars | 7 comments

105 : The footie

Pfff… qu’est-ce qu’on s’emmerde.

Nan, je déconne. C’est juste que je ne sais plus quoi dire, moi, tellement c’est juste trop bien.

Prenons par exemple la scène d’ouverture. Le dynamisme des angles de vue, l’originalité de la mise en scène… Du Starsky et Hutch boosté à la Guiness et au fish and chips. Fallait oser.

Pfff… qu’est-ce qu’on s’emmerde. Nan, je déconne. C’est juste que je ne sais plus quoi dire, moi, tellement c’est juste trop bien. Prenons par exemple la scène d’ouverture. Le dynamisme des angles de vue, l’originalité de la mise en scène… Du Starsky et Hutch boosté à la Guiness et au fish and chips. Fallait...

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Posted by on Avr 18, 2008 in Life on Mars | 5 comments

Doctor Who Confidential : The Italian job

Allez hop, moi, quand on déplace une production entière dans un pays étranger, ça m’intéresse. Couillu, les rosbeefs, quand même.

(Et pétés de thunes, ma parole.)

Pour filmer « The fires of Pompeii », la BBC s’est donc offert les studios de la Cinecittà, rien que ça.

Moi qui connais un peu (beaucoup) les dessous de la production audiovisuelle, je peux vous dire que d’une part, ça doit coûter bonbon, d’autre part, bonjour pour organiser ça. Ah, il doit y avoir quelques chargé(e)s de prod qui ont dû finir chauves à force de s’arracher les tifs. Confidential le confirme.

Allez hop, moi, quand on déplace une production entière dans un pays étranger, ça m’intéresse. Couillu, les rosbeefs, quand même. (Et pétés de thunes, ma parole.) Pour filmer « The fires of Pompeii », la BBC s’est donc offert les studios de la Cinecittà, rien que ça. Moi qui connais un peu (beaucoup) les dessous de la production audiovisuelle, je peux vous dire que d’une part, ça doit coûter bonbon, d’autre part, bonjour pour organiser ça. Ah, il doit y avoir quelques chargé(e)s de prod qui ont dû finir chauves à force de s’arracher les tifs. Confidential le...

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Posted by on Avr 18, 2008 in Doctor Who Confidential | 17 comments

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