J’adore !
J’adore la tenue, la classe, la position, la noblesse qui se dégage de ce plan… et juste le petit truc qui fait que ! 
J’adore ! J’adore la tenue, la classe, la position, la noblesse qui se dégage de ce plan… et juste le petit truc qui fait...
La Suite
Voilà, chers lectrices et lecteurs, un épisode qui m’a mise à genoux. Et je crois que sans le poulet rôti de ma grand-mère et l’heure et demie de tchatche avec le Dark Side qui a suivi le dit poulet lundi dernier, je serais encore en train d’essayer de trouver la force de me relever. C’est l’asphyxie la plus totale, le désespoir le plus noir, et je ne vois rien là-dedans qui vient éclairer ces 53 minutes de misère. Et moi qui pensais me consoler de mon gros chagrin devant « Merlin » ce week-end… pas vraiment non ! Ce qu’il y a de bien, c’est que le ton est donné d’entrée de jeu. J’abhorre ces scènes de guerre. Mais je dois reconnaître qu’elles ne font pas trop carton-pâte. Maintenant, c’est vrai que les réactions des deux gonzesses de nos soldats au moment où l’assaut final est donné… était-ce bien nécessaire ? Sans doute pas. Mais bon, on est là pour bouffer du drama, alors on en bouffe. La victoire est là, c’est sûr....
La SuiteVoilà une semaine qui aurait pu être formidable dans la mesure où je retrouvai enfin une connexion potable et qui a été pourrie de bout en bout, d’abord à cause de ce Judas de taf qui m’est tombé dessus comme pour se venger de cette longue absence, et ensuite en raison d’une crève tenace et récalcitrante aux grogs et autres remèdes de grand-mère qui vient juste de muter en version salope de trachéite de sa race. (Evidemment, il fait super beau dehors alors que j’affiche une carence en vitamine D abyssale, parce que sinon ça ne serait pas drôle.)
L’avantage, c’est que ça m’oblige à rester chez moi pendant une bonne partie de la semaine qui vient. L’inconvénient c’est que j’ai tellement la rage qu’hier, j’ai passé la journée à trier TOUT mon bureau. (Super reposant et reconstituant, comme activité.) Et qu’il n’est pas impossible que je passe le reste de mon temps à faire s’entretuer mes Sims histoire de décrasser un peu mon karma. Je vous ai parlé de ma délicieuse Cersei Lannister qui pique les bonbons de sa petite Myrcella ? C’est même pas moi qui l’y oblige, hein !?
Bref, en attendant, j’ai tout de même eu l’occasion de regarder deux trois bricoles. Oh, le bilan n’est pas très glorieux quand on pense à tout ce que j’ai devant moi ! (Yes, Dexter, I’m coming for you.)
Voilà une semaine qui aurait pu être formidable dans la mesure où je retrouvai enfin une connexion potable et qui a été pourrie de bout en bout, d’abord à cause de ce Judas de taf qui m’est tombé dessus comme pour se venger de cette longue absence, et ensuite en raison d’une crève tenace et récalcitrante aux grogs et autres remèdes de grand-mère qui vient juste de muter en version salope de trachéite de sa race. (Evidemment, il fait super beau dehors alors que j’affiche une carence en vitamine D abyssale, parce que sinon ça ne serait pas drôle.) L’avantage, c’est que ça m’oblige à rester chez moi pendant une bonne partie de la semaine qui vient. L’inconvénient c’est que j’ai tellement la rage qu’hier, j’ai passé la journée à trier TOUT mon bureau. (Super reposant et reconstituant, comme activité.) Et qu’il n’est pas impossible que je passe le reste de mon temps à faire s’entretuer mes Sims histoire de décrasser un peu mon karma. Je vous ai parlé...
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Hem. L’épisode parfait pour repartir avec un syndrome bipolaire ! Exemple : « Ah ah ah, Merlin ! » « Bouhouhouh, Uther. » « Irf irf irf, Dragoon ! » « Beuheuheuh, Arthur. » « Wouhouh, Uther ! » « Sniiiiirrrrrrrflllll, Arthur. » Mes nerfs, mes pauvres nerfs. Là où on peut leur en vouloir à mort, c’est que bon, on nous a un peu vendu cet épisode comme l’épisode rigolo avec des forains, quoi. Eh ben ouais, c’est l’anniversaire du Prince-de-mes-fesses. (Tant que je peux encore l’appeler comme ça, je charge.) Et évidemment, en bonne tête-à-claques, il tire la tronche. Nan, le cirque, c’trop craignos, franchement, mais trop la tehon pour un anniversaire, quoi. Soulignons tout de même le fait que Merlin, lui, qui détient les pouvoirs les plus puissants de la création ou presque, affiche une extase de gamin au pied du sapin de Noël ! Mais bon. Si Arthur tire la tronche, c’est un peu parce que son anniversaire de naissance, c’est aussi l’anniversaire de la mort de sa mère. Je ne sais pas pourquoi, mais j’imagine assez bien Uther...
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Bon, je vous informe aimablement que s’il ne se passe pas quelque chose de TANGIBLE entre la Belle et le Clochard dans l’épisode de demain, je me mets à dessiner des sourires au ketchup à mes oeufs au plat en criant « WACKOOO » ! Nan mais sans dec’, ce n’est plus possible. Moi, je craque, là. C’est insupportable toute cette tension. On est en 1918, merde. Ca fait douze piges qu’on attend qu’il se produise un petit quelque chose entre les uns et les autres, et j’arrive à la limite de ma patience concernant Sybil et Branson. (Limite Mary et Matthew j’ai capitulé.) Ce qui est exaspérant, là, c’est que Sybil soit assez niaise pour ne pas réaliser que rien que le fait d’aller demander au chauffeur des comptes concernant ses activités révolutionnaires, c’est déjà louche. Cela dit, la réaction du larbin est épatante. Nan mais tranquille, ma petite dame, moi, perso, je suis cool, ça fait cinq piges que je me la mets sous le bras, j’attends juste que tu...
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