Réplique du jour
« There’s only one reason I would tell someone my name. Only one time I could. »
(The Doctor, Doctor Who)
« There’s only one reason I would tell someone my name. Only one time I could. » (The Doctor, Doctor...
La Suite« There’s only one reason I would tell someone my name. Only one time I could. »
(The Doctor, Doctor Who)
« There’s only one reason I would tell someone my name. Only one time I could. » (The Doctor, Doctor...
La SuiteGenre une mytho de quoi, exactement ?
Non parce que ce qu’il y a de bien, c’est qu’au moins vingt personnes que je connais de visu lisent mon blog, alors dans le genre mytho, ça laisse peu de marge de manoeuvre.
Genre une mytho de quoi, exactement ? Non parce que ce qu’il y a de bien, c’est qu’au moins vingt personnes que je connais de visu lisent mon blog, alors dans le genre mytho, ça laisse peu de marge de...
La SuiteBon ben bientôt vous allez voir que je vais partager avec vous mes souvenirs d’adolescente.
(Enfin, avant 15 ans, vu qu’après, il n’y a rien.)
« NAAAAAAN ! Tout mais pas ça ! »
(Ok, je garde ça pour les jours où vous n’êtes pas sages.)
Bon, cette série a quand même de gros relents de lycée, hein.
Elle doit faire un putain de carton chez tous les petits jeunes qui aiment se faire peur gentiment. J’ose à peine imaginer le score qu’elle doit faire chez les pisseuses de quatorze ans qui se croient goths parce qu’elles mettent du vernis noir.
Bon ben bientôt vous allez voir que je vais partager avec vous mes souvenirs d’adolescente. (Enfin, avant 15 ans, vu qu’après, il n’y a rien.) « NAAAAAAN ! Tout mais pas ça ! » (Ok, je garde ça pour les jours où vous n’êtes pas sages.) Bon, cette série a quand même de gros relents de lycée, hein. Elle doit faire un putain de carton chez tous les petits jeunes qui aiment se faire peur gentiment. J’ose à peine imaginer le score qu’elle doit faire chez les pisseuses de quatorze ans qui se croient goths parce qu’elles mettent du vernis...
La Suite(Comme c’est mimi de revoir ça quand on en est déjà… à la deuxième saison. )
En tout cas, sympa de voir une série exploiter aussi bien les grosses ficelles du film d’horreur adolescent. Avec toujours ou presque un petit truc en plus, car c’est là tout l’intérêt de faire ce genre de série.
Exemple : la scène d’ouverture ultra-efficace. Du méga déjà-vu, au point qu’on s’en amuse.
Ca se bisouille dans une caisse. Le peloteur veut peloter, la pelotée potentielle ne veut pas. On sait tous ce qui va se passer. On sait que l’individu aux mains pleines de doigts ferait mieux de rester dans la voiture car dans dix secondes, on va retrouver son corps sans vie suspendu au-dessus de la voiture.
(Comme c’est mimi de revoir ça quand on en est déjà… à la deuxième saison. ) En tout cas, sympa de voir une série exploiter aussi bien les grosses ficelles du film d’horreur adolescent. Avec toujours ou presque un petit truc en plus, car c’est là tout l’intérêt de faire ce genre de série. Exemple : la scène d’ouverture ultra-efficace. Du méga déjà-vu, au point qu’on s’en amuse. Ca se bisouille dans une caisse. Le peloteur veut peloter, la pelotée potentielle ne veut pas. On sait tous ce qui va se passer. On sait que l’individu aux mains pleines de doigts ferait mieux de rester dans la voiture car dans dix secondes, on va retrouver son corps sans vie suspendu au-dessus de la...
La SuiteAh ah ah ! Trop merci, les gars, de m’avoir fait un épisode tout en avion rien que pour moi ! Sérieux, fallait pas vous donner tant de mal, je vous jure, c’était pas la peine DU TOUT !
Quel bonheur, quelle félicité, de sentir, dès les premières secondes, tout mon corps se crisper en regardant l’un des futurs passagers de l’avion flipper sa race avant de monter à bord…
Curieusement, très vite, la peur de l’avion est presque éclipsée par un gros rire. C’est pas un peu la fumée noire de Lost qui vient d’envahir notre angoissé ?
Ah ah ah ! Trop merci, les gars, de m’avoir fait un épisode tout en avion rien que pour moi ! Sérieux, fallait pas vous donner tant de mal, je vous jure, c’était pas la peine DU TOUT ! Quel bonheur, quelle félicité, de sentir, dès les premières secondes, tout mon corps se crisper en regardant l’un des futurs passagers de l’avion flipper sa race avant de monter à bord… Curieusement, très vite, la peur de l’avion est presque éclipsée par un gros rire. C’est pas un peu la fumée noire de Lost qui vient d’envahir notre...
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