202 : Everybody loves a clown
Allez, entre douze deux épisodes de Survivor, je claque quand même une petite review de SPN parce que sinon, la vérité, on rejoindra jamais.
C’est marrant comme la mémoire vous joue des tours, parfois. J’ai dû regarder la saison 2 en maximum une semaine, et du coup, comme je n’ai pas l’habitude d’aller aussi vite, tout semble curieusement déformé. Je ne me souvenais pas du tout que dès le deuxième épisode on nous claquait « the roadhouse », Ellen, Jo et Ash. Je ne m’en plaindrai pas. Je suis tellement contente que les petits trouvent un peu de soutien et un point de chute dans leur interminable croisade. C’est pas tout à fait une maison et l’accueil n’est pas ce qu’on peut appeler chaleureux, mais c’est un repère. Et les repères, c’est rare, dans la vie des frères Winchester. Surtout au lendemain de la mort de leur père.
Allez, entre douze deux épisodes de Survivor, je claque quand même une petite review de SPN parce que sinon, la vérité, on rejoindra jamais. C’est marrant comme la mémoire vous joue des tours, parfois. J’ai dû regarder la saison 2 en maximum une semaine, et du coup, comme je n’ai pas l’habitude d’aller aussi vite, tout semble curieusement déformé. Je ne me souvenais pas du tout que dès le deuxième épisode on nous claquait « the roadhouse », Ellen, Jo et Ash. Je ne m’en plaindrai pas. Je suis tellement contente que les petits trouvent un peu de soutien et un point de chute dans leur interminable croisade. C’est pas tout à fait une maison et l’accueil n’est pas ce qu’on peut appeler chaleureux, mais c’est un repère. Et les repères, c’est rare, dans la vie des frères Winchester. Surtout au lendemain de la mort de leur...
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