Ouuuuh… cette fois, c’est parti mon kiki ! C’est ce qu’on se dit dès les premières mesures de Shoop shoop song qui démarre avant même que l’image arrive. On sait déjà qu’on va remonter loin. Et c’est le cas.
Et je ne m’extasierai jamais assez devant ces flashbacks tellement si bien soignés. Très propres, ceux de 1964. Et réalistes jusque dans les moindres détails. Les ourlets de pantalon très hauts, les coiffures de ces dames, l’oeil de biche…
Visuellement, c’est la perfection, ces quelques petites secondes d’insouciance. Avant qu’on se retrouve dans un bar gay… à l’extérieur duquel le petit base-balleur du début est retrouvé raide.
Ouuuuh… cette fois, c’est parti mon kiki ! C’est ce qu’on se dit dès les premières mesures de Shoop shoop song qui démarre avant même que l’image arrive. On sait déjà qu’on va remonter loin. Et c’est le cas. Et je ne m’extasierai jamais assez devant ces flashbacks tellement si bien soignés. Très propres, ceux de 1964. Et réalistes jusque dans les moindres détails. Les ourlets de pantalon très hauts, les coiffures de ces dames, l’oeil de biche… Visuellement, c’est la perfection, ces quelques petites secondes d’insouciance. Avant qu’on se retrouve dans un bar gay… à l’extérieur duquel le petit base-balleur du début est retrouvé...
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