Réplique du jour
« Almost dying changes nothing. Dying changes everything. »
(Dr Gregory House, House MD)
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La Suite« Almost dying changes nothing. Dying changes everything. »
(Dr Gregory House, House MD)
« Almost dying changes nothing. Dying changes everything. » (Dr Gregory House, House...
La Suite… sûrement encore mieux avec un « c » apostrophe.
… sûrement encore mieux avec un « c »...
La SuiteEnfin, le voilà ! Vous l’avez attendu ? Et moi donc ! Dix jours que je ne tiens plus, que je trépigne, que je mange mes poings en attendant de pouvoir découvrir les nouvelles aventures du sick bastard et de ses compagnons d’infortune. Pas trop tôt !
Enfin, le voilà ! Vous l’avez attendu ? Et moi donc ! Dix jours que je ne tiens plus, que je trépigne, que je mange mes poings en attendant de pouvoir découvrir les nouvelles aventures du sick bastard et de ses compagnons d’infortune. Pas trop...
La SuiteOh, moi quand je vois Sera Gamble à l’écriture, je sais que je vais bien m’amuser. Uh uh !
Pourtant, sujet glissant. J’m’explique. Le retour des morts-viv… euh, non, des morts-morts, c’est délicat. A-t-on besoin de les revoir, ces braves gens, pour savoir qu’ils sont morts en martyrs, comme autant de petits tas de merde que les Winchester auraient laissés sur le bord de la route avec un petit panneau disant : « Je fais le Bien, mais je le fais mal » ?
Qu’il s’agisse de Meg Marsters, Victor Henricksen ou Ronald Chéplukoi, on s’est tous dépêchés de ne plus y penser, parce que s’ils sont morts, c’est à cause de Sam et Dean. Que ce soit par négligence (Henricksen, oups), maladresse (et paf la Meg), ou tout simplement parce qu’il y avait un plus gros poulet à rôtir à côté (Ron, si tu nous écoutes).
Oh, moi quand je vois Sera Gamble à l’écriture, je sais que je vais bien m’amuser. Uh uh ! Pourtant, sujet glissant. J’m’explique. Le retour des morts-viv… euh, non, des morts-morts, c’est délicat. A-t-on besoin de les revoir, ces braves gens, pour savoir qu’ils sont morts en martyrs, comme autant de petits tas de merde que les Winchester auraient laissés sur le bord de la route avec un petit panneau disant : « Je fais le Bien, mais je le fais mal » ? Qu’il s’agisse de Meg Marsters, Victor Henricksen ou Ronald Chéplukoi, on s’est tous dépêchés de ne plus y penser, parce que s’ils sont morts, c’est à cause de Sam et Dean. Que ce soit par négligence (Henricksen, oups), maladresse (et paf la Meg), ou tout simplement parce qu’il y avait un plus gros poulet à rôtir à côté (Ron, si tu nous...
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