509 : Me and my town
Décidément, Desperate excelle dans l’art de ne parler de rien. Cet épisode, pourtant sans la moindre action ni rien de bien extraordinaire, m’a parfaitement divertie pendant les 42 minutes imparties. J’étais ravie de retrouver la série, j’ai passé un très bon moment, je ne me suis pas ennuyée une seconde. Et pourtant, de quoi parle cet épisode ? Des complexes d’un ancien mannequin. Des ronflements d’un bourgeois. D’une amourette qui s’installe. Et un peu, aussi, des Scavo qui se débattent et s’enfoncent.
Décidément, Desperate excelle dans l’art de ne parler de rien. Cet épisode, pourtant sans la moindre action ni rien de bien extraordinaire, m’a parfaitement divertie pendant les 42 minutes imparties. J’étais ravie de retrouver la série, j’ai passé un très bon moment, je ne me suis pas ennuyée une seconde. Et pourtant, de quoi parle cet épisode ? Des complexes d’un ancien mannequin. Des ronflements d’un bourgeois. D’une amourette qui s’installe. Et un peu, aussi, des Scavo qui se débattent et...
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