Vancouver Deux, Jour 1, part II…
Alors déjà, tomber sur un tournage dès son arrivée, c’est cool. Mais c’est rien à côté de la coolness de la suite. Finis les petits tournages à la papa, y a du lourd qui arrive.
Forts de l’information fournie par notre informateur que nous ne nommerons pas histoire de rester en vie, nous voilà marchant en direction de notre hôtel (sur Granville, ça intéressera Soso qui versera une larmichette émue, d’autant qu’on est à trois sauts de puce poliote de l’Orpheum). Et là. Qu’est-ce qu’on voit ? Non mais qu’est-ce qu’on voit ? Ze Apocalypse itself. Non, pas celle de Supernatural (faut pas trop rêver, c’est pas souvent qu’ils tournent en pleine ville et la moitié des zodes sont dans le noir donc tournés de nuit), mais bien, encore une fois, celle de Fringe. A trois blocs de notre hôtel. Voyez plutôt le dawa qu’ils ont foutu. Et imaginez comment qu’on trépigne quand on voit ça de ses propres oeils.
Alors déjà, tomber sur un tournage dès son arrivée, c’est cool. Mais c’est rien à côté de la coolness de la suite. Finis les petits tournages à la papa, y a du lourd qui arrive. Forts de l’information fournie par notre informateur que nous ne nommerons pas histoire de rester en vie, nous voilà marchant en direction de notre hôtel (sur Granville, ça intéressera Soso qui versera une larmichette émue, d’autant qu’on est à trois sauts de puce poliote de l’Orpheum). Et là. Qu’est-ce qu’on voit ? Non mais qu’est-ce qu’on voit ? Ze Apocalypse itself. Non, pas celle de Supernatural (faut pas trop rêver, c’est pas souvent qu’ils tournent en pleine ville et la moitié des zodes sont dans le noir donc tournés de nuit), mais bien, encore une fois, celle de Fringe. A trois blocs de notre hôtel. Voyez plutôt le dawa qu’ils ont foutu. Et imaginez comment qu’on trépigne quand on voit ça de ses propres...
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