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319 : The Wheaton recurrence

Ce qu’il y a de chiant avec les séries, c’est que des fois, les personnages sont aussi débiles que dans la vraie life. Ce qui est évidemment un peu le principe de la fiction : nous renvoyer notre débilité à la figure, de préférence bien amplifiée histoire qu’on se rende compte à quel point on est des ânes bâtés. Big Bang : mission, accomplie !

Non mais vous avouerez que c’est désolant, quand même. Je veux dire… clairement… vous avez deux personnages qui, à défaut de vivre une passion dévorante, passent du bon temps ensemble, s’éclatent au pieu, sont complices comme c’est pas permis malgré tout ce qui les sépare à la base… je veux dire… Penny qui cite l’Empire contre-attaque, quoi !!!

Ce qu’il y a de chiant avec les séries, c’est que des fois, les personnages sont aussi débiles que dans la vraie life. Ce qui est évidemment un peu le principe de la fiction : nous renvoyer notre débilité à la figure, de préférence bien amplifiée histoire qu’on se rende compte à quel point on est des ânes bâtés. Big Bang : mission, accomplie ! Non mais vous avouerez que c’est désolant, quand même. Je veux dire… clairement… vous avez deux personnages qui, à défaut de vivre une passion dévorante, passent du bon temps ensemble, s’éclatent au pieu, sont complices comme c’est pas permis malgré tout ce qui les sépare à la base… je veux dire… Penny qui cite l’Empire contre-attaque, quoi...

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Posted by on Mai 25, 2010 in The Big Bang theory | 21 comments

103 : Acafellas

Tiens, je me demande comment j’ai pu avoir envie de voir la suite de Glee après cet épisode. Qu’est-ce que je me suis emmerdée en le revoyant ! Plus chiant, tu meurs. Bonjour les grosses musiques de merde et le truc qui tourne autour de Will, le personnage aussi charismatique qu’un demi-bulot neurasthénique. Son paternel, ça a beau être Victor Garber, ce qui fait vaguement de lui le frangin de Sydney Bristow, franchement mais on lui foutrait des claques histoire qu’il se secoue et arrête d’être gentil comme ça. Même quand il néglige le Glee-club, même quand il est con et chiant avec son regard de cocker spaniel, on a envie de lui bourrer les babines de susucre.
Bref. Habituellement, il m’indiffère gentiment mais là, il m’a exaspérée, volant un temps d’écran précieux à ma chère Sue Sylvester. (Qui est caricaturale, oui je sais, mais bon, c’est pas comme si on était dans Six Feet Under ou autre drama familial hyper-réaliste, je vous ferais dire.)

Tiens, je me demande comment j’ai pu avoir envie de voir la suite de Glee après cet épisode. Qu’est-ce que je me suis emmerdée en le revoyant ! Plus chiant, tu meurs. Bonjour les grosses musiques de merde et le truc qui tourne autour de Will, le personnage aussi charismatique qu’un demi-bulot neurasthénique. Son paternel, ça a beau être Victor Garber, ce qui fait vaguement de lui le frangin de Sydney Bristow, franchement mais on lui foutrait des claques histoire qu’il se secoue et arrête d’être gentil comme ça. Même quand il néglige le Glee-club, même quand il est con et chiant avec son regard de cocker spaniel, on a envie de lui bourrer les babines de susucre. Bref. Habituellement, il m’indiffère gentiment mais là, il m’a exaspérée, volant un temps d’écran précieux à ma chère Sue Sylvester. (Qui est caricaturale, oui je sais, mais bon, c’est pas comme si on était dans Six Feet Under ou autre drama familial hyper-réaliste, je vous ferais...

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Posted by on Mai 24, 2010 in Glee | 7 comments

215 : Jacksonville

J’espère ne pas avoir à trop me justifier sur le fait que je ne regarde aucune autre série avec autant de passion en ce moment que Fringe, pas même Doctor Who dont le trio me fatigue.
Non parce que si vous voulez que je vous refasse le film de Vancouver, pas de souci, je ne m’en lasse pas ! Alors pas la peine de dire : « Oui, mais bon, la qualité blablabla, la crédibilité, blablabla, la cohérence ceci cela blablabla. »
Inutile. Mettez-vous à ma place dix secondes… je crève littéralement à l’idée de voir le final et les scènes que j’ai vu tourner. Et forcément, à force de croiser les acteurs et de les voir dans la peau de leurs personnages, ils me sont devenus immensément sympathiques. Sans compter les décors que j’aime comme si c’était chez moi et la nostalgie qui m’étrangle chaque fois que je vois un sapin. (Heureusement qu’il n’y a pas de canards.)
Du coup, les épisodes précédents, c’est vrai que je les ai regardés avec tendresse. Mais celui-ci, rounoudidiou ! Il m’a vraiment scotchée.
Déjà, l’intro bien sympa dans le monde parallèle, le séisme et…

J’espère ne pas avoir à trop me justifier sur le fait que je ne regarde aucune autre série avec autant de passion en ce moment que Fringe, pas même Doctor Who dont le trio me fatigue. Non parce que si vous voulez que je vous refasse le film de Vancouver, pas de souci, je ne m’en lasse pas ! Alors pas la peine de dire : « Oui, mais bon, la qualité blablabla, la crédibilité, blablabla, la cohérence ceci cela blablabla. » Inutile. Mettez-vous à ma place dix secondes… je crève littéralement à l’idée de voir le final et les scènes que j’ai vu tourner. Et forcément, à force de croiser les acteurs et de les voir dans la peau de leurs personnages, ils me sont devenus immensément sympathiques. Sans compter les décors que j’aime comme si c’était chez moi et la nostalgie qui m’étrangle chaque fois que je vois un sapin. (Heureusement qu’il n’y a pas de canards.) Du coup, les épisodes précédents, c’est vrai que je les ai regardés avec tendresse....

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Posted by on Mai 24, 2010 in Fringe | 12 comments

Ah ah ah…

Ce qui me plaît, chez Fringe, c’est qu’ils ne cherchent même pas à cacher où ils tournent. Genre dans l’épisode où Walter fait sa superbe démonstration devant un parterre de chiards terrifiés, Astrid évoque ouvertement le Science Museum. Il s’agit du Science World de Vancouver (a.k.a. la boule de golf) où j’ai moi-même passé un après-midi pluvieux à tripoter tout ce qu’il y avait à tripoter.

Un épisode plus tard, Walter réclame, éperdu, qu’on le conduise au Centre for the Performing Arts… bien aisé ! Puisque le Chan Centre for the Performing Arts est tout près, à UBC, la fac de Vancouver. D’ailleurs, ils n’ont même pas planqué le nom du truc, c’est tellement plus commode.

Ce qui me plaît, chez Fringe, c’est qu’ils ne cherchent même pas à cacher où ils tournent. Genre dans l’épisode où Walter fait sa superbe démonstration devant un parterre de chiards terrifiés, Astrid évoque ouvertement le Science Museum. Il s’agit du Science World de Vancouver (a.k.a. la boule de golf) où j’ai moi-même passé un après-midi pluvieux à tripoter tout ce qu’il y avait à tripoter. Un épisode plus tard, Walter réclame, éperdu, qu’on le conduise au Centre for the Performing Arts… bien aisé ! Puisque le Chan Centre for the Performing Arts est tout près, à UBC, la fac de Vancouver. D’ailleurs, ils n’ont même pas planqué le nom du truc, c’est tellement plus...

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Posted by on Mai 22, 2010 in Fringe | 10 comments

Humeur du jour

Trop bien. Mon nouveau coach à la gym, c’est David Boreanaz. En plus jeune. En plus beau. En plus tout. J’ai frôlé la syncope.

Trop bien. Mon nouveau coach à la gym, c’est David Boreanaz. En plus jeune. En plus beau. En plus tout. J’ai frôlé la...

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Posted by on Mai 21, 2010 in Humeur du jour | 1 comment

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