Humeur du jour
Le problème quand vous êtes l’aînée, c’est qu’un jour, votre ptit frère fête ses trente ans.
Le problème quand vous êtes l’aînée, c’est qu’un jour, votre ptit frère fête ses trente...
La SuiteLe problème quand vous êtes l’aînée, c’est qu’un jour, votre ptit frère fête ses trente ans.
Le problème quand vous êtes l’aînée, c’est qu’un jour, votre ptit frère fête ses trente...
La SuiteAh, enfin des réponses ! Ca commençait à faire un moment que je me demandais quel était le problème de ce bon roi Uther. Effectivement, il y a de quoi être un peu agacé, on le serait sans doute à moins.
Donc Uther est veuf, on s’en doutait, c’est déjà pas top drôle. Ensuite, Uther a perdu femme lors de la naissance d’Arthur. Ce qui explique un peu les élans surprotecteurs du king à l’égard de son fils unique. Mieux encore, visiblement, enfanter était un petit souci chez le couple royal vu qu’il a fallu avoir recours à la magie… en la personne de Nimueh. Hop, on raccroche tous les wagons, c’est-y pas magique, justement ?
Problème : la magie, c’est bien, mais quand il est question de vie ou de mort, ça rigole plus. La pauvre Ygraine a donc payé de sa life la naissance de son fils. Je sors mon mouchoir.
Dans la foulée, le roi, on s’en doute très fâché, a fait tej tous les sorciers du pays si ce n’est occire, et la bonne Dame Nimue qui faisait partie de la cour a été remerciée comme une manante. Comme si ça ne suffisait pas, le beauf d’Uther, le sire Tristan de Bois, a débarqué pour lui demander des comptes concernant la mort de sa frangine et vas-y que je te provoque en duel, faquin. Uther lui fit la peau, avant de faire jurer à Gaius (tiens donc) de ne jamais rien répéter de toute l’histoire.
Arthur est donc le produit de quelque diablerie et il me sied, oh voui, il me sied de savoir que cette magie qu’Uther déteste tant a servi à produire un héritier à Camelot. L’ironie est splendide et j’espère bien que Gaius aura un jour les cojones de jeter ça à la face du king si jamais Merlin se fait pincer.
Bref, l’histoire est très chouette et à mes yeux dédouane presque totalement Uther. De toute façon, même dans ce Camelot où baguenaudent bisounours et autres petits poneys, Uther est un roi du moyen-âge et c’est pas en jouant les pères Noël qu’on se construit en royaume. Nope. C’est en guerroyant, en ne montrant jamais la moindre faiblesse, en se faisant craindre de ses sujets et de ses ennemis, en étant terrible mais respecté. Et encore, je trouve encore Uther limite bien gentil.
Enfin, je l’aime bien, Uther. De toute façon Anthony Head est tellement énorme que je ne peux pas ne pas l’aimer, il est trop classe et heureusement qu’il est là pour gronder un peu la marmaille de temps en temps sinon on n’en sortirait pas. Il incarne parfaitement l’image du père des quatre petits scorpions, j’adore.
Et cet épisode déborde tellement d’amour pour son fils que ça m’en a tordu la boyasse.
Ah, enfin des réponses ! Ca commençait à faire un moment que je me demandais quel était le problème de ce bon roi Uther. Effectivement, il y a de quoi être un peu agacé, on le serait sans doute à moins. Donc Uther est veuf, on s’en doutait, c’est déjà pas top drôle. Ensuite, Uther a perdu femme lors de la naissance d’Arthur. Ce qui explique un peu les élans surprotecteurs du king à l’égard de son fils unique. Mieux encore, visiblement, enfanter était un petit souci chez le couple royal vu qu’il a fallu avoir recours à la magie… en la personne de Nimueh. Hop, on raccroche tous les wagons, c’est-y pas magique, justement ? Problème : la magie, c’est bien, mais quand il est question de vie ou de mort, ça rigole plus. La pauvre Ygraine a donc payé de sa life la naissance de son fils. Je sors mon mouchoir. Dans la foulée, le roi, on s’en doute très fâché, a fait tej tous les sorciers du pays...
La SuiteJe suis bien consciente de me répéter et limite de devenir gavante, mais j’adoooore Merlin. J’adore la série parce qu’elle est facile, accessible et reposante sans être désespérément neuneu. Mais surtout, j’adore le personnage qui est une crème absolue de ptit gars, qui respire la gentillesse et l’intelligence et qui est confronté à des trucs super compliqués alors qu’avec sa gentillesse et son intelligence, sa vie pourrait être si simple.
Je suis bien consciente de me répéter et limite de devenir gavante, mais j’adoooore Merlin. J’adore la série parce qu’elle est facile, accessible et reposante sans être désespérément neuneu. Mais surtout, j’adore le personnage qui est une crème absolue de ptit gars, qui respire la gentillesse et l’intelligence et qui est confronté à des trucs super compliqués alors qu’avec sa gentillesse et son intelligence, sa vie pourrait être si...
La Suite« I swear by my pretty floral bonnet, I will end you. »
(Captain Malcolm Reynolds, Firefly)
« I swear by my pretty floral bonnet, I will end you. » (Captain Malcolm Reynolds,...
La SuiteC’est assez extraordinaire le pouvoir que peut avoir un Docteur. Je regardais le premier épisode de l’ère Smith avec mon frère cet après-midi, et comme je l’avais déjà vu (l’épisode, pas mon frère, hein), j’en ai profité pour loucher vers le grand couillon qui va fêter ses trente ans dimanche et surveiller ses réactions. (C’est un fan acharnée de Ten.)
Eh ben croyez-moi si vous voulez, mais passé la rigolade du début avec Matt et ses grandes pattes qui gigotent dans tous les sens, le grand couillon a gardé le bec ouvert et le regard fixe pendant dix bonnes minutes, respirant à peine, avant de se mettre à braire de rire quand Eleven trempe son poisson pané dans la crème anglaise.
C’est fou, non ? J’ai eu l’impression d’être catapultée vingt cinq ans plus tôt.
Difficile de savoir s’il a aimé ou pas étant donné qu’il ne parle pas, mais en tout cas, Amelia Pond l’a scotché.
C’est assez extraordinaire le pouvoir que peut avoir un Docteur. Je regardais le premier épisode de l’ère Smith avec mon frère cet après-midi, et comme je l’avais déjà vu (l’épisode, pas mon frère, hein), j’en ai profité pour loucher vers le grand couillon qui va fêter ses trente ans dimanche et surveiller ses réactions. (C’est un fan acharnée de Ten.) Eh ben croyez-moi si vous voulez, mais passé la rigolade du début avec Matt et ses grandes pattes qui gigotent dans tous les sens, le grand couillon a gardé le bec ouvert et le regard fixe pendant dix bonnes minutes, respirant à peine, avant de se mettre à braire de rire quand Eleven trempe son poisson pané dans la crème anglaise. C’est fou, non ? J’ai eu l’impression d’être catapultée vingt cinq ans plus tôt. Difficile de savoir s’il a aimé ou pas étant donné qu’il ne parle pas, mais en tout cas, Amelia Pond l’a...
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