208 : The sins of the father
Ouhlala. Ouhlala épisode adoré. Episode qui soulève encore plus de questions qu’il n’en résout (limite frustrant, d’ailleurs) mais purée, quel pied. Alors attention, review-fleuve.
Déjà, trop bien, on commence par l’adoubement d’une bonne poignée de chevaliers (dont un certain Caradoc, hi hi hi, ah ah ah) ce qui est toujours sympatoche quand comme moi on a fantasmé dès l’âge de sept ans sur les récits de Sir Walter Scott.
Et là, bam. Survient un super chevalier mystérieux hyper badass qui commence par nous liquider quelques gardes histoire de montrer c’est qui le chaif dans c’te baraque.
Ouhlala. Ouhlala épisode adoré. Episode qui soulève encore plus de questions qu’il n’en résout (limite frustrant, d’ailleurs) mais purée, quel pied. Alors attention, review-fleuve. Déjà, trop bien, on commence par l’adoubement d’une bonne poignée de chevaliers (dont un certain Caradoc, hi hi hi, ah ah ah) ce qui est toujours sympatoche quand comme moi on a fantasmé dès l’âge de sept ans sur les récits de Sir Walter Scott. Et là, bam. Survient un super chevalier mystérieux hyper badass qui commence par nous liquider quelques gardes histoire de montrer c’est qui le chaif dans c’te...
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