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107 : The imperfections of memory

J’imagine que les trois quarts des gens qui ont vu cet épisode l’ont trouvé ennuyeux à pleurer. Eh bien moi pas du tout ! Au contraire, je n’ai pas décroché une seconde, j’étais fascinée. Surtout par Amanda Graystone. Il faut bien le dire, cette dame ne sert pas à grand-chose. Sauf que si. Un personnage fait d’émotion pure… et le seul, quasiment, qui nous raccroche encore à l’attentat du premier épisode. Eh oui. Tout ce petit monde a bien avancé depuis. Amanda Graystone pas du tout. Elle qui giflait sa fille de si bon coeur avant qu’elle n’explose dans le train, elle en est toujours à caresser les livres qui lui ont appartenu, à se raccrocher à la moindre incarnation de ce qui a été la chair de sa chair. Pendant que les pères font connerie sur connerie avec leurs rejetonnes virtuelles, Amanda, elle, reste suspendue dans le temps.
Joué par une autre actrice, ça aurait pu être chiant à en mourir. Mais je trouve décidément Paula Malcolmson éblouissante. Ca me met presque mal à l’aise tellement elle EST Amanda Graystone. Quel rôle terrible à jouer. La moindre fausse note et tout est à refaire. Elle n’a pas le droit à l’erreur… et elle n’en commet pas une seule. J’avoue, chaque larme qu’elle verse est comme un poignard, pour moi. J’ignore à quoi elle fait appel pour réussir à jouer ces scènes aussi bien. En tout cas, sa performance est stellaire. Elle me touche en plein coeur.

J’imagine que les trois quarts des gens qui ont vu cet épisode l’ont trouvé ennuyeux à pleurer. Eh bien moi pas du tout ! Au contraire, je n’ai pas décroché une seconde, j’étais fascinée. Surtout par Amanda Graystone. Il faut bien le dire, cette dame ne sert pas à grand-chose. Sauf que si. Un personnage fait d’émotion pure… et le seul, quasiment, qui nous raccroche encore à l’attentat du premier épisode. Eh oui. Tout ce petit monde a bien avancé depuis. Amanda Graystone pas du tout. Elle qui giflait sa fille de si bon coeur avant qu’elle n’explose dans le train, elle en est toujours à caresser les livres qui lui ont appartenu, à se raccrocher à la moindre incarnation de ce qui a été la chair de sa chair. Pendant que les pères font connerie sur connerie avec leurs rejetonnes virtuelles, Amanda, elle, reste suspendue dans le temps. Joué par une autre actrice, ça aurait pu être chiant à en mourir. Mais je trouve décidément Paula Malcolmson éblouissante. Ca...

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Posted by on Sep 17, 2010 in Caprica | 8 comments

Welcome to Camelot !

(Au cas où, si des personnes qui passent par ici se reconnaissent sur des photos et ne veulent pas y figurer, un petit mail et je floufloute ! J’ai essayé d’éviter autant que possible de photographier les gens mais bon… des fois, c’est un peu pas possible. Donc voilà !)

Eh ben dites donc, si après mes petites folies printanières, on m?EUR(TM)avait dit que j’assisterais de nouveau à un tournage aussi rapidement, j?EUR(TM)aurais bien rigolé ! Sauf qu?EUR(TM)à l?EUR(TM)époque, je ne connaissais pas encore Merlin, ma série guérisseuse de déprime. Et je connaissais encore moins le château de Pierrefonds.
Forcément, sachant que le tournage de cette série aux puissantes vertus thérapeutiques se passe en partie en France, ça me titillait. Alors quand j?EUR(TM)ai appris que ma charmante collègue blogueuse Lorna s?EUR(TM)y rendait, j?EUR(TM)ai sauté sur l?EUR(TM)occasion ! Et nous voilà toutes les deux à Pierrefonds hier. Un peu un coup de tête, j’ai pris mes billets de train lundi.

Réveil à 5h du matin, train, changement de gare, TER, récupération dans la pampa, GPS… A onze heures, la miss gare sa caisse dans le patelin tant convoité. Là, vous êtes excitée comme une puce, vous avancez dans ce bled charmant et calme et zeeeen… il vous prend des envies de poser un congé sans solde pour y passer trois mois dans une baraque avec jardin et un ordi pour écrire vos mémoires. (C?EUR(TM)est là que vous vous souvenez que vous n?EUR(TM)avez pas 76 ans.)
Grimpette, grimpette, grimpette?EUR? vous admirez le truc parce que c’est vachement beau et puis c’est Camelot, quoi…

(Alors vous m’excuserez pour la qualité des photos, c’est lamentable. J’ai eu la flemme de prendre le réflex – tant mieux parce que debout toute la journée avec ce machin autour du cou, je l’aurais foutu à la poubelle – et comme une naze, j’ai appuyé sur le bouton « macro » en début de journée, donc c’est tout vérolé, une horreur. Et si vous trouvez que la lumière est complètement différente d’une photo à l’autre, c’est normal, il a fait un temps insensé, froid avec des rafales puis super ensoleillé genre aaaaah, fait chaud, puis tout couvert avec trois gouttes de pluie puis grand ciel bleu. N’imp. Pour finir, j’en ai également pris quelques unes avec mon Desire, donc l’ensemble est tout à fait hétéroclite et pas très glorieux. Et puis oh, hein, bon, tu vas assister à un tournage tu passes pas ton temps à prendre des photos, tu profites, aussi. Les photos de Lorna sont sûrement nettemement meilleures car je la sens beaucoup plus centrée et moins brouillon que moi… ce qui n’est pas difficile, je sais. Donc dans quelques jours, tous sur son blog pour voir ça !)

Pouf pouf, vous passez le premier portail et là, stupeur. Vous avisez deux trois gars qui remballent des props. De toute évidence, une scène a été fraîchement tournée?EUR? voyez donc, nous sommes au village de Camelot et c?EUR(TM)est là que Colin se fait régulièrement bombarder de tomates. *recueillement* *indispensable photo de ouam devant l?EUR(TM)outil*

Autant le dire : vous avez trois pauvres bottes de paille, trois baraques qui se battent en duel et une brouette toute déglinguée, paf, voilà votre décor. On se croirait au village des Schtroumphs !
Et puis matez-moi un peu ces gros malins ! Pour faire croire qu?EUR(TM)il y a encore des maisons au dessus, ils collent un carré avec des briques peintes et go, go. (Trop la rigolade, quand j?EUR(TM)ai vu ça.) Autant dire qu?EUR(TM)ils doivent sacrément cadrer serré. L?EUR(TM)avenir nous confirmera que c?EUR(TM)est le cas.

(« Poussez-vous encore un peu, vous êtes dans le champ… encore un peu, encore un peu, là ! C’est bon, merci ! »)

Donc nous arpentons avec plaisir Camelot-Village et grimpette, grimpette, grimpette?EUR? oh oh ! Des drapeaux aux couleurs de la royauté ! On frétille.

Et encore plus quand on aperçoit le sommet de quelques tentes du genre de celles où les chevaliers se reposent entre deux joutes d?EUR(TM)un tournoi. Tout ceci s?EUR(TM)annonce donc au mieux !
Tellement qu?EUR(TM)en fait, on n?EUR(TM)entrera pas au château de la matinée. A l?EUR(TM)entrée même, à dix mètres à tout casser de la boutique cadeaux, on entend des épées qui s?EUR(TM)entrechoquent. Je n?EUR(TM)ose même pas envisager que ce puisse être un personnage principal qui s?EUR(TM)échine à faire dzoing dzoing. Non, du tout, c?EUR(TM)est juste Arthur Pendragon, quoi.

Alors là, mais l?EUR(TM)hystérie. Difficile de rester digne devant Arthur Pendragon version chevalier. On n?EUR(TM)en croit pas notre bol. Deux heures qu?EUR(TM)on va y passer (hors évanouissements) à admirer un Bradley James ULTRA-concentré répéter d?EUR(TM)abord sa chorégraphie avec le maître d?EUR(TM)armes (ou bien juste un cascadeur, mais il est tellement doué que j’en doute) puis enchaîner deux duels.

Ca n?EUR(TM)a pas vraiment rigolé, je peux vous le dire. On a vu le bestiau répéter au ralenti, c?EUR(TM)est déjà impressionnant. Mais lancé à pleine vitesse, franchement, j?EUR(TM)ai poussé des hurlements muets parce que la caméra tournait?EUR? c?EUR(TM)est terrifiant !!! Et hyper dangereux !!! Ils y vont de toutes leurs forces, sauf bien entendu pour les coups de poings et les coups de pieds (quoique j?EUR(TM)ai vu Bradley se manger un fameux coup dans l?EUR(TM)estomac). Honnêtement, ça nous a vraiment assises. On pensait que la caméra améliorait largement la violence du truc, mais pas du tout, c?EUR(TM)est limite l?EUR(TM)inverse, on se dit que c?EUR(TM)est de la fiction et tout, mais sur place, c?EUR(TM)est incroyable.

D’ailleurs, le maître d’armes (?), qu’est-ce qu’il lui a mis dans la gueule ! En se marrant, lui qui manie l’épée comme si c’était qu’un cure-dent, purée, je peux vous dire qu’il a passé une sacrée matinée, le Bradley.

(Il joue au moins un des deux adversaires. Je me demande si ce n’est pas également lui qui manie les deux sabres. Je ne pense pas… )

Beaucoup d?EUR(TM)admiration pour le jeune homme, en tout cas. Qui est évidemment encore plus beau en vrai.

(Yes, that?EUR(TM)s a very very fine ass, husband ! )

Je peux vous dire que quand Arthur Pendragon salue la foule après avoir mis un adversaire KO, vous avez juste envie de HURLER « ouaaaaaais ! » avec les figurants.

Un sourire, enfin !
C’était assez fun de voir Bradley s’échiner devant une seule tribune, j’imagine déjà le boulot de post-prod qu’il va y avoir pour donner l’impression qu’ils sont des centaines, là-dedans. Trop rigolo aussi de croiser des gens en costume, tous Français, d’ailleurs, aux quatre coins du château. Et les voir piquer un roupillon entre deux scènes ou prendre leur petit goûter… la journée doit être sacrément longue.
J’ai aussi repéré les épées de rechange d’Arthur…

J’en aurais bien chopé une pour ma collection personnelle, mais je crois que ça ne se fait pas trop.

Enfin bon, ça plus l’ambiance bien familière des caméras et de tout le bataclan, j’adore, y a rien à faire, je me demande vraiment ce que je fous de l’autre côté de la barrière, dans ces cas-là.

Très intéressant aussi de voir fonctionner une équipe franco-anglaise. Et franchement, tout le monde avait l’air très sympa et très pro. Je suis toujours un peu mal à l’aise à l’idée de les déranger, davantage même qu’à Vancouver où ça tourne dans les rues de la ville et où la gestion des passants coule de source. Là, à certains moments, je me suis sentie un peu voyeuse, moi qui suis la première à détester quand il y a des visites de ma boîte et qu’il faut bosser sous l’oeil des touristes. Donc vraiment, si certains d’entre vous se décident à y aller, il faut vraiment se montrer civilisé et ne pas gêner… ils bossent comme des fous, il faut se faire aussi discret que possible. Perso, la prochaine fois, je pense que je laisserai l’appareil photo au placard.

(Pareil, je serais bien repartie avec un clap, mais bon… )

Ca tourne visiblement en péloche, donc. (Ca n’intéresse personne sauf moi, j’imagine.)

Au bout de deux heures, tout ce petit monde est parti déjeuner, sauf Bradley qui était attendu par une autre unité. Dure dure la vie de héros.
Je n?EUR(TM)ai pas réussi à savoir combien d?EUR(TM)équipes exactement filment à la fois, ça m?EUR(TM)aurait bien intéressée. (Sauf que je suis trop timide pour demander.) J?EUR(TM)imagine que pour rentabiliser le déplacement, ils doivent tourner beaucoup de scènes en même temps. Ca se confirmera par la suite.
Une petite photo de l’entrée du château aux couleurs de Camelot, ce qui rend SUPER bien…

Et nous voilà parties nous restaurer tout en n?EUR(TM)en revenant pas de notre chance. Franchement, on n?EUR(TM)aurait vu que ça, ça valait déjà le déplacement.

(Sorci was here !)

Et hop nous voilà de retour. Tiens donc, ils sont revenus, qu’on se dit. Sauf que non. Cette fois , c?EUR(TM)est Pendragon Senior qui ? »uvre et là?EUR? eh ben là, on a juste frôlé la syncope, quoi.

La CLASSE de ce type, c?EUR(TM)est inimaginable. Il est royal, vraiment, une manière de se tenir même quand ça ne tourne pas?EUR? waouh. Super impressionnées, les gonzesses. Et en plus, histoire d?EUR(TM)enfoncer le clou, il est HYPER sympa. Toujours en train d?EUR(TM)éclater de rire (ce qui est super communicatif, d?EUR(TM)ailleurs), de plaisanter avec tout le monde et même de se tourner de temps en temps vers nous (ce que Bradley a très peu fait). Ok, pour ce qu’on en a vu, sa chorégraphie était nettement moins compliquée.

En parlant de son duel?EUR? question à cent boules. Vous reconnaissez ce jeune gaillard, là ?

Je suis assez fière car je l?EUR(TM)ai très vite identifié et je ne crois pas m?EUR(TM)être trompée, je checkerai au moment de la diffusion de l?EUR(TM)épisode. Après tout, la dernière fois qu?EUR(TM)on l?EUR(TM)a vu il était nettement plus… dodu.
Ca n’empêche pas Dudley Dursley d’étaler proprement le King.

(Eh ben alors, papy, on fait une petite sieste ?)

On y a bien repassé une heure, en se demandant pourquoi diable Uther est forcé de prendre l’épée pour affronter ce genre de petite frappe?EUR? sauf qu?EUR(TM)entretemps, figurez-vous qu?EUR(TM)on a un peu été troublées par ce qui se passait à quelques dizaines de mètres plus haut, sur le petit chemin qui sent la noisette.

On distingue des armures, une tête blonde qui ne peut être que celle de notre Prince, puis des boucles qui ne peuvent être que celles de mon futur époux le Sire Leon. (Vous croyez qu?EUR(TM)il serait venu embrasser sa promise ? Pffff, la chevalerie, de nos jours?EUR? )
Soudain surgit une paire d?EUR(TM)oreilles qui ne peut qu?EUR(TM)appartenir à Colin Morgan, même de loin, mon ? »il de rapace sait qu?EUR(TM)il n?EUR(TM)y a pas d?EUR(TM)ambiguité possible. (Enfin disons que j?EUR(TM)ai surtout reconnu sa veste et son écharpe.)

C’est un tantinet frustrant.

Ben je peux vous dire que quand le Morgan est dans le coin, il est nettement plus rigolard, le Bradleychouxe. Ouaich. D?EUR(TM)autant qu?EUR(TM)avec Rupert Young et ?EUR » horreeeeeeur ?EUR » Santiago Cabrera, ça fait une sacrée équipe. On retrouvera d?EUR(TM)ailleurs le « Boy?EUR(TM)s band » (entendu tel quel de la bouche de Bradley) en train de se détendre la cote de mailles au soleil dans la cour du château.
Maintenant, j?EUR(TM)imagine que vous ne me croirez pas si je vous dis que mon appareil est tombé en panne de batterie à peine ils descendaient de la voiture pour passer à vingt centimètres de nous et rejoindre le châtal. Si. Mais bon. Au moins, on les a vus de très près et Colin est aussi choupinouxe en vrai qu?EUR(TM)à l?EUR(TM)écran. Peut-être même plus. Et très souriant. Et il a failli m’éborgner avec ses pommettes.
Voyant tout ce petit monde entrer dans le châtal, on s?EUR(TM)est dit, ah tiens, un châtal, si on allait le visiter, héhéhé.
Donc on a payé (enfin, surtout moi, la plus de 25 ans ) notre entrée et on s?EUR(TM)est lancées à la découverte de Pierrefonds-Châtal. Impressionnant. Magnifique. Le plus du décor de la série rend ça incroyablement vivant et mignon.

(Aaaaawww… )

Par contre, le cadrage de la caméra agrandit beaucoup la cour, ouiche, ça a l?EUR(TM)air immense à l?EUR(TM)écran, ça l’est nettement moins en vrai.

Et puis tous ces Angliches qui essayent d?EUR(TM)assurer en français, c?EUR(TM)est fabuleux. « Je n?EUR(TM)ai pas le thon. » Euh, oui, le thon c?EUR(TM)est bon, par contre, le thon c?EUR(TM)est de l?EUR(TM)argent, ça marche pas trop, trop.
Visite expresse de quelques pièces avant de retrouver le boy?EUR(TM)s band dans la cour.

(Bradley, Santiago, Rupert… toujours les mêmes.)

Pis c?EUR(TM)est qu?EUR(TM)on est un peu fatiguées alors on reste là quelques minutes à reposer nos papattes et à soupirer comme des bienheureuses en observant le ballet des travailleurs.

(Et en échafaudant des théories sur tout ce qu’on a vu.)

Jusqu?EUR(TM)à ce qu?EUR(TM)un bruit de bottes retentisse?EUR? on tourne la tête et VLAN. Anthony Head qui nous passe devant en nous lançant un graaaaand sourire. A peine le temps de s?EUR(TM)en remettre qu?EUR(TM)il repasse dans l?EUR(TM)autre sens et bis repetita ! Ca paraît con et incroyablement groupie à deux balles mais c?EUR(TM)était un super chouette moment.

Colin nous a fait le coup d?EUR(TM)un peu plus loin (en version « chuis concentré, j’bosse ») et puis en quittant le château pour cause de fermeture, on a croisé Angel Coulby?EUR? pfouaaaah, le CA-NON ! En plus, c?EUR(TM)est pas pour spoiler ni rien, mais elle portait une robe inédite rose ravissante et je crois bien avoir vu ?EUR »mais je ne pourrais pas le jurer- une sorte de cercle doré dans ses cheveux. (Pas d?EUR(TM)inquiétude, ce n?EUR(TM)était point une couronne.)
Une apparition magnifique que nous n?EUR(TM)avons pas eu l?EUR(TM)occasion d?EUR(TM)immortaliser, ça aurait été très grossier de la croiser d?EUR(TM)aussi près et de lui balancer l?EUR(TM)objectif dans la figure.
Pour finir, je vous mets une photo que je pense très spoiler after the jump. Je pense qu?EUR(TM)on tient là le cliff de la fin de saison 3.
Et sinon, une dame là-bas m?EUR(TM)a assuré que le feu vert pour la saison 4 avait été donné et que toute l?EUR(TM)équipe serait de retour pour commencer à la filmer en avril 2011 ! Comme je pense qu’elle bosse soit au château soit pour la prod’, ce doit être vrai !

Voilà, et tout de suite, ZE photo?EUR?

(Au cas où, si des personnes qui passent par ici se reconnaissent sur des photos et ne veulent pas y figurer, un petit mail et je floufloute ! J’ai essayé d’éviter autant que possible de photographier les gens mais bon… des fois, c’est un peu pas possible. Donc voilà !) Eh ben dites donc, si après mes petites folies printanières, on m?EUR(TM)avait dit que j’assisterais de nouveau à un tournage aussi rapidement, j?EUR(TM)aurais bien rigolé ! Sauf qu?EUR(TM)à l?EUR(TM)époque, je ne connaissais pas encore Merlin, ma série guérisseuse de déprime. Et je connaissais encore moins le château de Pierrefonds. Forcément, sachant que le tournage de cette série aux puissantes vertus thérapeutiques se passe en partie en France, ça me titillait. Alors quand j?EUR(TM)ai appris que ma charmante collègue blogueuse Lorna s?EUR(TM)y rendait, j?EUR(TM)ai sauté sur l?EUR(TM)occasion ! Et nous voilà toutes les deux à Pierrefonds hier. Un peu un coup de tête, j’ai pris mes billets de train lundi. Réveil à 5h du matin, train, changement de gare, TER, récupération dans la...

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Posted by on Sep 16, 2010 in These are the voyages... | 46 comments

612 : Remorse

« WE’RE NOT GAY ! »

Un petit mot sur cet épisode de House de la saison 6… parce que la demande en mariage m’a absolument achevée. C’était grandiose, jubilatoire. Et je ne peux pas dire la joie que ça me fait de les voir s’installer ensemble et se chamailler… juste, au fond, pour se rappeler au bon souvenir de l’autre et ne pas tomber dans un train-train trop ennuyeux. C’était splendide, tout simplement.

« SAY YES ! »

Et la gueule du Wiwi quand il vient s’asseoir, après avoir saboté le rencard de House…

« WE’RE NOT GAY ! » Un petit mot sur cet épisode de House de la saison 6… parce que la demande en mariage m’a absolument achevée. C’était grandiose, jubilatoire. Et je ne peux pas dire la joie que ça me fait de les voir s’installer ensemble et se chamailler… juste, au fond, pour se rappeler au bon souvenir de l’autre et ne pas tomber dans un train-train trop ennuyeux. C’était splendide, tout simplement. « SAY YES ! » Et la gueule du Wiwi quand il vient s’asseoir, après avoir saboté le rencard de...

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Posted by on Sep 14, 2010 in House M.D. | 8 comments

520 : The devil you know

Oh, j’ai failli avoir peur ! Non en fait j’ai vraiment eu peur. Rétrospectivement et objectivement… moué moué, si on fait le compte, il ne se passe pas des masses de choses dans cet épisode. Ou bien s’il s’en passe, c’est fouillis et comme on fait passer le tout avec des méthodes employées douze mille fois, ça donne l’impression qu’on a déjà vu cet épisode.
J’ai parfois le sentiment que vingt minutes auraient été largement suffisantes pour y caser les petites choses qui nous sont racontées ici. D’ailleurs, j’ai trouvé la première moitié relativement chiante. Bien heureusement, Mark Sheppard vient secouer un peu tout ça. Une fois de plus, et un peu à la manière de l’archangelot de l’épisode précédent, il écrase littéralement sous sa semelle Jared et Jensen ; le problème avec ce type, c’est que c’est un guest qui prend de la place. En plus, et c’est bien normal, on lui taille un personnage qui est à la hauteur ou presque de son phénoménal talent. Alors forcément, c’est le Crowley-show du début à la fin.

Oh, j’ai failli avoir peur ! Non en fait j’ai vraiment eu peur. Rétrospectivement et objectivement… moué moué, si on fait le compte, il ne se passe pas des masses de choses dans cet épisode. Ou bien s’il s’en passe, c’est fouillis et comme on fait passer le tout avec des méthodes employées douze mille fois, ça donne l’impression qu’on a déjà vu cet épisode. J’ai parfois le sentiment que vingt minutes auraient été largement suffisantes pour y caser les petites choses qui nous sont racontées ici. D’ailleurs, j’ai trouvé la première moitié relativement chiante. Bien heureusement, Mark Sheppard vient secouer un peu tout ça. Une fois de plus, et un peu à la manière de l’archangelot de l’épisode précédent, il écrase littéralement sous sa semelle Jared et Jensen ; le problème avec ce type, c’est que c’est un guest qui prend de la place. En plus, et c’est bien normal, on lui taille un personnage qui est à la hauteur ou presque de son phénoménal talent. Alors forcément, c’est le...

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Posted by on Sep 14, 2010 in Supernatural | 6 comments

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