502 : Rich
M’enfin… c’est fou, ça ! Je suis super étonnée par la tournure que semble prendre cette cinquième saison de Skins, moi ! C’est dingue un tel virage de la part de cette série jadis si sulfureuse. Perso, je ne m’en plains pas, je suis complètement abasourdie de lire des gens qui râlent parce que cette saison manque de sexe ou de drogues dures. Perso, après avoir suivi les deux premières saisons, s’il y a bien une chose dont je suis persuadée, c’est que ce n’est pas là qu’est l’âme de Skins, mais plutôt dans l’exploration des affres de l’adolescence… quelle qu’elle soit. Et si on a à faire à une couvée plus soft et moins extrême, le message peut être tout aussi fort, l’interprétation aussi magistrale et la réalisation aussi réussie. Tous les ados ne sont pas suicidaires, camés ou anorexiques, après tout.
Et de fait, étonnamment, je ne me suis pas ennuyée une seconde devant la rencontre inattendue entre le métalleux Cousin Machin et le petit Cygne crevé alias Felindra Tête-de-tigre.
M’enfin… c’est fou, ça ! Je suis super étonnée par la tournure que semble prendre cette cinquième saison de Skins, moi ! C’est dingue un tel virage de la part de cette série jadis si sulfureuse. Perso, je ne m’en plains pas, je suis complètement abasourdie de lire des gens qui râlent parce que cette saison manque de sexe ou de drogues dures. Perso, après avoir suivi les deux premières saisons, s’il y a bien une chose dont je suis persuadée, c’est que ce n’est pas là qu’est l’âme de Skins, mais plutôt dans l’exploration des affres de l’adolescence… quelle qu’elle soit. Et si on a à faire à une couvée plus soft et moins extrême, le message peut être tout aussi fort, l’interprétation aussi magistrale et la réalisation aussi réussie. Tous les ados ne sont pas suicidaires, camés ou anorexiques, après tout. Et de fait, étonnamment, je ne me suis pas ennuyée une seconde devant la rencontre inattendue entre le métalleux Cousin Machin et le petit Cygne crevé alias Felindra...
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