Cette perle est un spoiler de la fin de la saison 3 de True Blood. Chech’, cache-toi les zyeux et les zoreilles !
Cette perle est un spoiler de la fin de la saison 3 de True Blood. Chech’, cache-toi les zyeux et les zoreilles ! Franchement, j’en reris rien que d’y...
La Suite
*soupir*
Puisqu’on parle de Sherlock, j’étais, jusqu’à il y a quelques jours, en pleine crise d’angoisse sherlockesque. Sachant Watson en train de se faire pousser les poils des pieds pour aller arpenter la Terre du Milieu avec ses treize Nains, je redoutais le pire pour la saison 2. Eh bien sachez que selon le showrunner lui-même – Mark Gatiss, donc – la saison 2 sera filmée en mai et diffusée en automne. Martin Freeman n’aura qu’à s’épiler les orteils !
*soupir* Puisqu’on parle de Sherlock, j’étais, jusqu’à il y a quelques jours, en pleine crise d’angoisse sherlockesque. Sachant Watson en train de se faire pousser les poils des pieds pour aller arpenter la Terre du Milieu avec ses treize Nains, je redoutais le pire pour la saison 2. Eh bien sachez que selon le showrunner lui-même – Mark Gatiss, donc – la saison 2 sera filmée en mai et diffusée en automne. Martin Freeman n’aura qu’à s’épiler les...
La SuiteAh. Tiens. Il se pourrait, j’ai bien dit il se pourrait, que cette saison 2 ait enfin commencé. Au bout de six épisodes à regarder ces couillons de la Cinquième Colonne s’agiter dans tous les sens, c’est pas trop tôt. Franchement, le pauvre John May doit faire triple axel sur triple axel dans sa tombe. (S’il est vraiment crevé et il serait bon que ce ne soit pas tout à fait le cas.)
Enfin bon.
Je dois avouer que dans cet amoncellement de médiocrité, j’ai réussi à admirer un peu la blonde Erica. Elle a beau avoir un boulet de fils et un boulet d’ex-mari sur les bras (sans parler des planches pourries de pseudo-résistants dont elle est entourée), elle assure, quand même.
Ah. Tiens. Il se pourrait, j’ai bien dit il se pourrait, que cette saison 2 ait enfin commencé. Au bout de six épisodes à regarder ces couillons de la Cinquième Colonne s’agiter dans tous les sens, c’est pas trop tôt. Franchement, le pauvre John May doit faire triple axel sur triple axel dans sa tombe. (S’il est vraiment crevé et il serait bon que ce ne soit pas tout à fait le cas.) Enfin bon. Je dois avouer que dans cet amoncellement de médiocrité, j’ai réussi à admirer un peu la blonde Erica. Elle a beau avoir un boulet de fils et un boulet d’ex-mari sur les bras (sans parler des planches pourries de pseudo-résistants dont elle est entourée), elle assure, quand...
La Suite« Quelle est la meilleure saison de Battlestar Galactica, Sorcière ? »
Chère lectrice, cher lecteur,
Voilà une question bien compliquée et qui mériterait de longues heures de réflexion. J’ai bien envie de te répondre que la saison 1 – la plus synthétique, la plus nerveuse – qui ne compte que treize épisodes, est la plus efficace. Elle s’achève avec un de mes deux épisodes préférés de la série et LA scène de télévision qui restera à jamais gravée dans ma mémoire.
Ce qui n’enlève rien aux suivantes. La deuxième est d’une noirceur splendide et recèle des pépites, par exemple l’arc Pegasus.
La troisième est peut-être ma préférée parce qu’elle ose beaucoup de choses, explore tout ce qu’il y a à explorer, transcende des personnages merveilleux et surtout offre aux acteurs l’occasion de briller comme jamais. (N’est-ce pas, Monsieur Hogan ?)
La quatrième et dernière saison, je ne m’en suis pas encore remise, à vrai dire.
« Quelle est la meilleure saison de Battlestar Galactica, Sorcière ? » Chère lectrice, cher lecteur, Voilà une question bien compliquée et qui mériterait de longues heures de réflexion. J’ai bien envie de te répondre que la saison 1 – la plus synthétique, la plus nerveuse – qui ne compte que treize épisodes, est la plus efficace. Elle s’achève avec un de mes deux épisodes préférés de la série et LA scène de télévision qui restera à jamais gravée dans ma mémoire. Ce qui n’enlève rien aux suivantes. La deuxième est d’une noirceur splendide et recèle des pépites, par exemple l’arc Pegasus. La troisième est peut-être ma préférée parce qu’elle ose beaucoup de choses, explore tout ce qu’il y a à explorer, transcende des personnages merveilleux et surtout offre aux acteurs l’occasion de briller comme jamais. (N’est-ce pas, Monsieur Hogan ?) La quatrième et dernière saison, je ne m’en suis pas encore remise, à vrai...
La SuiteFranchement, je suis restée littéralement assommée par cet épisode. J’étais pourtant on ne peut plus dubitative en voyant arriver ces trois quarts d’heure consacrés à la peu engageante Mini et je me demandais bien ce qui allait pouvoir en ressortir à part un énoooorme vide. C’est là que c’est malin. Episode trois, tout juste le temps de trouver le personnage suffisamment infâme, mais pas trop, histoire qu’on puisse encore changer d’avis… et paf !
D’abord, c’est tellement bien filmé que j’ai eu du mal à résister à la fascination qui s’est emparée de moi aussitôt que j’ai mis un pied dans l’univers rose bonbon de la donzelle.
Franchement, je suis restée littéralement assommée par cet épisode. J’étais pourtant on ne peut plus dubitative en voyant arriver ces trois quarts d’heure consacrés à la peu engageante Mini et je me demandais bien ce qui allait pouvoir en ressortir à part un énoooorme vide. C’est là que c’est malin. Episode trois, tout juste le temps de trouver le personnage suffisamment infâme, mais pas trop, histoire qu’on puisse encore changer d’avis… et paf ! D’abord, c’est tellement bien filmé que j’ai eu du mal à résister à la fascination qui s’est emparée de moi aussitôt que j’ai mis un pied dans l’univers rose bonbon de la...
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