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108 : Four Thanksgivings and a funeral

Y a pas à dire, les fêtes de fin d’année, du côté de chez Betty, ça prend une dimension assez particulière… Hilarante, devrais-je dire. Avec de grands moments super jouissifs… Comme quand les deux timbrés (Marc et Amanda, pour ne pas les citer) prennent d’assaut le bureau de Wilhelmina pour se blinder la tronche de champ’ et finissent par passer des coups de fil anonymes là où il ne faudrait pas…

Mais avant tout, comme dirait ce bon vieux Michel Sardou : elle court, elle court, la mâââlâââdiiiie d’amouuuuur…

(De rien, c’est gratos, ça fait plaisir… )

Y a pas à dire, les fêtes de fin d’année, du côté de chez Betty, ça prend une dimension assez particulière… Hilarante, devrais-je dire. Avec de grands moments super jouissifs… Comme quand les deux timbrés (Marc et Amanda, pour ne pas les citer) prennent d’assaut le bureau de Wilhelmina pour se blinder la tronche de champ’ et finissent par passer des coups de fil anonymes là où il ne faudrait pas… Mais avant tout, comme dirait ce bon vieux Michel Sardou : elle court, elle court, la mâââlâââdiiiie d’amouuuuur… (De rien, c’est gratos, ça fait plaisir…...

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Posted by on Mar 11, 2007 in Ugly Betty | 6 comments

106 : Egeria

Voilà, l’épisode manquant à cause des captures de leur mère qu’elles étaient foirées. Grrrr…

Bon, comment dire… ? WHAT A FUCKIN’ GOOD SHOW !!!

Sérieusement. Je vous mets au défi de trouver quelque chose de plus enthousiasmant et de mieux gaulé que ce truc. Ok, à la base, ils ont quand même un scénar en béton, thanks to our ancestors les Gaulois, les Romains, les Hispaniques, tout ça. Mais tout de même. J’ai toujours adoré les vieux péplums, ils me faisaient franchement vibrer quand j’étais gosse, mais là, c’est mieux que tout. Parce que même avec cette histoire qu’on connaît par coeur, ils arrivent encore à nous surprendre. En mêlant aussi habilement Histoire et fiction, chaque rebondissement nous plonge dans la perplexité, la consternation, ou l’euphorie. Bref, c’est super bien dosé, et j’enrage de me dire qu’il me reste aussi peu d’épisodes à voir.

Voilà, l’épisode manquant à cause des captures de leur mère qu’elles étaient foirées. Grrrr… Bon, comment dire… ? WHAT A FUCKIN’ GOOD SHOW !!! Sérieusement. Je vous mets au défi de trouver quelque chose de plus enthousiasmant et de mieux gaulé que ce truc. Ok, à la base, ils ont quand même un scénar en béton, thanks to our ancestors les Gaulois, les Romains, les Hispaniques, tout ça. Mais tout de même. J’ai toujours adoré les vieux péplums, ils me faisaient franchement vibrer quand j’étais gosse, mais là, c’est mieux que tout. Parce que même avec cette histoire qu’on connaît par coeur, ils arrivent encore à nous surprendre. En mêlant aussi habilement Histoire et fiction, chaque rebondissement nous plonge dans la perplexité, la consternation, ou l’euphorie. Bref, c’est super bien dosé, et j’enrage de me dire qu’il me reste aussi peu d’épisodes à...

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Posted by on Mar 10, 2007 in Rome | 2 comments

316 : My husband, the pig

Ah la bonne, très bonne idée de nous faire un épisode « Desperate Husbands ». J’en rêvais depuis longtemps, mais je n’étais pas allée jusqu’à espérer qu’on nous… déterre Rex !!!

Ce qui est génial, c’est que le traitement est très « maryalicien », mais avec la touche de rage très vandekampienne. Bref, super bien fait, jusque dans les envolées lyriques de la description de sa propre famille.

Et en parlant de la famille Van de Hodge, il y a du nouveau…

(Comment c’est bien fait pour sa gueule, à c’te p’tite punaise de bois de lit !!!)

Ah la bonne, très bonne idée de nous faire un épisode « Desperate Husbands ». J’en rêvais depuis longtemps, mais je n’étais pas allée jusqu’à espérer qu’on nous… déterre Rex !!! Ce qui est génial, c’est que le traitement est très « maryalicien », mais avec la touche de rage très vandekampienne. Bref, super bien fait, jusque dans les envolées lyriques de la description de sa propre famille. Et en parlant de la famille Van de Hodge, il y a du nouveau… (Comment c’est bien fait pour sa gueule, à c’te p’tite punaise de bois de lit...

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Posted by on Mar 10, 2007 in Desperate Housewives | 7 comments

Les coulisses de "Litmus"

Où vous apprendrez ébahis que le jeune Socinus devait clamser dès la minisérie, eh voui. D’ailleurs, il s’y fait occire, mais sa mort est coupée au montage. Moralité, le voilà ressuscité et prêt à embrasser une noble destinée : celle de sauver le Chief des entrailles pénitentiaires du Galactica. Applause.

Pour les raisons qui poussent le jeune blanc-bec à se sacrifier pour Tyrol, ils sont partis du principe que le Chief était un peu comme un grand frère pour lui, un grand frère qui l’aurait aidé par le passé. Ca expliquerait son dévouement à la limite de l’aveuglement, d’ailleurs…

Où vous apprendrez ébahis que le jeune Socinus devait clamser dès la minisérie, eh voui. D’ailleurs, il s’y fait occire, mais sa mort est coupée au montage. Moralité, le voilà ressuscité et prêt à embrasser une noble destinée : celle de sauver le Chief des entrailles pénitentiaires du Galactica. Applause. Pour les raisons qui poussent le jeune blanc-bec à se sacrifier pour Tyrol, ils sont partis du principe que le Chief était un peu comme un grand frère pour lui, un grand frère qui l’aurait aidé par le passé. Ca expliquerait son dévouement à la limite de l’aveuglement,...

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