Doctor Who
103 : The unquiet dead
Ouééééé, après les mannequins-zombies du premier épisode, voilà des VRAIS zombies ! Enfin presque…
Roh, la mémé qui se relève dans son cercueil, j’ai adoré !
Oh, grand-mère, comme vous avez de grands yeux !
Bon, à part ça, je ne vais pas vous le cacher, oui, j’ai survécu aux affligeants épisodes 4 et 5, et si j’avais déjà une légère tendance à aduler l’association Docteur/Rose, ben là, c’est bon, il n’y a plus de retour possible. A quoi ça tient ? A pas grand-chose, en fait. A l’enthousiasme des deux personnages, tellement curieux de tout découvrir ensemble, à leur insouciance, comme si rien ne pouvait leur arriver quand ils sont ensemble, et puis à leur joie de partager leurs aventures avec l’autre.
Ok…
Alors, j’ai aperçu une ou deux photos du deuxième (dixième) Docteur, et en fait… attention… il est plutôt… mimi… Quand il ne fait pas son sourire et ses yeux flippants, là.
Mais vue de chez moi, Eccleston est quand même vachement plus rassurant. Même quand il fait son sourire un peu flippant.
(Ca doit être les yeux bleus, ça… )
Bon sinon, j’en suis à l’épisode 7. Non, ne tapez pas !
102 : The end of the world
Alors, si l’attaque des mannequins-zombies était quand même super osée pour un premier épisode… que dire de la destruction de la Terre dans le deuxième ?!?
(Et là, je me suis dit : « Nan. Ils vont pas oser nous faire exploser la Terre sur du Britney Spears. » Ben c’est pas passé loin. )
Bref, plusieurs choses que j’ai adorées, dans cet épisode. D’abord, la fraîcheur de Rose qui s’émerveille de pouvoir voyager dans le futur, comme une enfant au pied du sapin de Noël.
Et puis lorsqu’arrivés cinq billions (milliards ?) d’années dans l’avenir, le Docteur et elle admirent la Terre…
101 : Rose
(Merci à Popo qui sait vendre une série comme personne… Franchement, je n’en reviens pas que personne n’ait défendu cette série plus tôt et avec une passion suffisante pour attirer mon attention… Vous êtes des dégonflés. )
Attachez vos ceintures, donc, car aujourd’hui la Sorcière commet l’impensable : elle franchit l’Atlantique.
Vrai, je pensais que ça ne m’arriverait jamais sur ce blog et que ce que j’aurais de plus européen ici, ce serait Jamie Bamber et Hugh Laurie… ce qui est déjà très bien.
Alors, attention ça déménage.