Doctor Who
213 : Doomsday (bouhouh)
Bon, je ne vous le cache pas, cette review, ça devait être l’une des plus dures que j’aie jamais faites. C’est très dur de tuer un personnage qu’on adore… Et puis finalement, je crois que j’ai enfin surmonté la disparition de Rose… Je ne sais pas trop pourquoi. Il y a un moment où on arrête de pleurer. Elle me manque toujours, mais j’arrive à repenser à la dernière scène de cet épisode sans avoir les larmes aux yeux. Donc il y a du progrès.
En voiture, Simone.
211 : Fear her
(Marge, c’est pas personnel, je te jure !)
Argh. Merde. On ne nous l’avait jamais fait, le coup du gamin à noyer, dans un épisode de Doctor Who. Fallait bien que ça arrive un jour. Enfin, à deux épisodes de la « fin », ça fait un peu chier, quand même.
Dans ces cas-là, je ne sais pas vous, mais moi, j’enclenche le mode survie et je décide de profiter à fond de ce qu’il y a à profiter. A savoir ici l’ambiance encore aérienne entre les deux lascars… étant donné que l’Apocalypse va s’abattre sur leurs tronches (et les nôtres) dès le début de l’épisode suivant… Gloups.
"Yah timorrrous beastie… "
Rah, la tronche (et la voix !) de cet imbécile quand il demande s’ils sont en Ecosse !
Bon, à mon avis, il force un poil son propre accent écossais, hein… Mais j’adore les faux/vrais accents… Sacré David.
210 : Love and monsters
Ouch. Compliqué, cet épisode. Pour un tas de raisons.
La première étant bien sûr que le Docteur et Rose jouent les figurants (vu que les acteurs étaient occupés à filmer le remarquable arc précédent). Ce n’est pas inintéressant, bien au contraire, mais c’est super frustrant. Parce que, par ZEUS, il reste QUATRE EPISODES ! QUATRE EPISODES ! On veut les voir, on veut qu’ils soient ensemble, on veut en profiter, nom d’un hanneton cagneux !
Alors on attend, on attend, on attend, et au bout d’un moment, on comprend qu’on attend un peu en vain, alors on se fait une raison.
Mais pour une cinglée obsessionnelle comme moi, c’est un peu pas facile.
209 : The Satan pit
O joie, ô suprême félicité. Quand je pense qu’il aura fallu descendre jusque dans les entrailles de l’Enfer et vaincre le Maudit pour enfin tenir la déclaration d’amour absolue, ça me fait des frissons rien que d’y repenser.
Cette série a vraiment tous les culots.
Nous faire vivre les plus belles choses possibles pour ensuite nous poignarder en plein coeur… c’est DEGUEULASSE !
Blasphème…
Popo, t’avais raison…
Alors, je râle, j’admoneste, je peste, je vous fais chier, je le sens… et pourtant, je sais qu’il n’y a jamais de premier visionnage idéal (et en ce moment, ça ne risque pas de l’être), mais je l’avoue publiquement : oui, Doctor Who me fait presque oublier BSG.
Je ne pensais pas écrire ça un jour.
Oh mon Dieu, je suis une infidèle !!!
(Et comment ils arrivent à faire ça avec une série familiale ? Ptain, j’en sais rien, mais ils sont forts, les cons.)