La WitchWeek n°3
Elle est bien maigre, ma WitchWeek du jour, j’en aurais bien fait deux en une à la fin de la semaine, mais bon… A vrai dire, la semaine dernière a été une semaine de merde. J’ai jonglé entre ruminations, quintes de toux, sprints professionnels, aménagement de mon nouveau donjon (ça n’en finira jamais, il faut que je me fasse à l’idée que je n’aurai sans doute une cuisine qu’en 2015) et juste… blah.
Je veux dire, de quelque côté que l’on regarde, en ce moment, c’est pas bien folichon, et il me prend de grandes envies de claquer un petit Higitus figitus pour que ça se range tout seul puis de sauter sur mon balai pour aller à Oz voir si j’y suis.
Enfin, entre-temps, ça va quand même un peu mieux. Heureusement !
Du coup, de quoi pourrais-je bien vous parler ? Mmmmh, tiens, je pourrais vous raconter que j’ai converti une nouvelle brebis à BSG et que j’ai reçu des SMS sur la moustache d’Adama de façon fort tardive, ces derniers temps. (Généralement accompagnés d’un fiévreux : « Est-il envisageable que tu me files la saison 3 demain SINON JE CASSE TOUT ?! »)
Ce qui est, vous l’avouerez, du haut de notre Olympe de vieux briscards, tout à fait désopilant. 
Du coup, je me suis moi-même refait quelques épisodes, que j’ai trouvés ô combien merveilleux. « Pegasus », notamment, et puis la fin de la saison 2, et puis l’évacuation de New Caprica. J’ai bloqué à « Unfinished Business » parce que je suis lâche.
A part ça, j’ai également regardé un petit Fringe et comme j’ai du mal à avancer vers la fin. Je vous parlerai de cet épisode dans les jours qui viennent, bien qu’il ne m’ait pas laissé un souvenir impérissable. Mais comme entrer dans la tête de Walter quand il est sous acide vaut son pesant de Farscape… hé hé hé.
Et puis un soir de désoeuvrement, je suis restée au bureau tardivement et là, la fameuse brebis et moi-même avons atterri devant une pizza et « une série qui manque à ton palmarès » (ce qui m’a horriblement vexée), à savoir The Mighty Boosh.
What the bloody frak.
En tout cas, maintenant, je sais qui est Noel Fielding. Et Noel Fielding plus une pizza, c’est plutôt sympa, je dois dire. C’est très con, mais qu’est-ce qu’on se marre. Ces Anglais sont décidément, au choix, des dégénérés ou des génies (des dégégénies ?), je ne sais pas. En revanche, ça aurait probablement mérité un verre de pinard par-dessus. Voire deux. (Voire trois.)
Côté Blog, j’attends le dégel. Enfin, le re-dégel. Non mais on avance, je vous jure. Enfin, eux ils avancent, moi j’ai du mal, mais je me force.
Allez, bonne fin de semaine à tous, et que celle-ci soit un peu plus riante. Merde, quoi. Ca commence à faire douze fois que je regarde « Raiponce », c’est dire.
PS : On va évidemment faire comme si Tom Hiddleston était encore sur le marché et qu’il ne se tapait pas LA gonzesse qui va reléguer toutes ses collègues au rang de pathétiques pintades enfarinées. On va faire comme si. OK ? OK. Heureusement que Game of Thrones nous a donné signe de vie. Quoique je me demande s’il faut s’en réjouir, en fait. Ah ah ah.
