Categories Menu

310 : Similitude

Oui, je sais, je me suis maté six épisodes cette nuit, nuit blanche pas due à une série-addiction mais plutôt à un dos en compote…

Ouh que c’est intéressant, cet épisode !! Ouhlala ! Ouh ça se précise ! Ouh ça commence à schlinguer sérieux ! Ouh c’est pas beau !!! Ouh les vilains Frankenstein !!

Bon, dites donc, ça fait pas un peu longtemps qu’on n’a pas vu Trip torse nu ?

La foule : « Siiiiii ! »

Ben le problème, c’est que Trip est mort !

A ce stade de l’épisode, j’aurais bien trépigné, tapé des pieds, hurlé et flanqué la télé par terre, mais il était cinq heures du mat’, j’étais à moitié paralysée et j’avais déjà bien pleuré. Moralité, ma douleur est restée muette !

Mais tout de même :

-génériqueuh-

Two weeks earlier. Voyez-vous ça. Sympa l’épisode qui commence en sachant que dans deux semaines Trip va mourir !!

Très curieusement, cette vision a eu des vertus anesthésiantes immédiates et m’a inspiré de tout autres sentiments !!!

Et ces deux crétins sont en train de parler de réacteurs de distorsion et autres trucs super sexe !!!

lol, Trip qui dit que finalement, c’est pas très difficile, le yoga vulcain…

Paulette : « We haven’t gone to the most challenging postures. »

Trip : « Weeeell… I’m always up for a challenge ! »

Je crois que cette fois, il a compris…

Bon en fait, suite à des bricolages et autres soucis qui me sont sortis de la tête, Trip se mange une grosse explosion dans la gueule pour empêcher que ce ne soit le vaisseau qui explose tout entier…

Donc il est dans le coma, et il va pas s’en sortir. Et en plus, Enterprise est coincé dans un nuage de je sais pas quoi que les réacteurs marchent plus, je ne sais quoi, et que forcément sans Trip, c’est chaud !

Du coup, Phlox trouve une solution franchement assez dégueu. Un clone. Grâce à je ne sais quel bestiole tordue, il peut en fabriquer un qui évoluera en 15 jours de bébé à pépé, et sur lequel il pourra prélever certains tissus sans lesquels chouchou passera l’arme à gauche à coup sûr. Bouh ! C’est moche ! Mais bon…

Et hop, ni une ni deux… Baby Trip !

Et un Phlox-smile, un !

Et ce qui est bien, c’est que Trip-bis récupère en cours de route toute la mémoire de Trip. Ce qui est encore plus dérangeant, en fait. Mais bon, Phlox et Jonathan lui confient vite que son utilité est de se faire découper le crâne pour sauver l’original. Donc ça va.

Mais du coup, ado, il commence à bricoler sérieusement en ingéniérie. Et il commence même à légèrement draguer Paulette, à l’inviter au cinoche ou à dîner, ce qui lui vaut naturellement le fameux regard de la bouse vivante…

Alors on sait que Trip c’est un coeur pur, tout ça, mais alors Trip-bis, c’est encore pire. Pareil, en mieux ! Sans doute parce qu’il sait qu’il est juste de la chair à canon et qu’il est voué à disparaître dans la semaine. Et qu’il est irrémédiablement dévoué, ce garçon.

Seulement, ça commence à l’ennuyer de devoir y passer.
Parce qu’en plus, y a un autre souci. Trip-bis, il en pince un max pour Paulette.

Et même que c’est une vraie balance parce qu’il va dire direct à madame que Trip il commençait à plutôt bien aimer les petites séances nocturnes ! Et que… « You’re all I think about, if you see what I mean. »

Ca c’est l’équivalent du « OH MY GOD ! » vulcain.

Ah on fait moins sa maligne, maintenant !!

Grâce au super plan de Trip-bis, l’Enterprise s’en sort sans trop de dommage. Et Trip-bis il a bien envie d’en profiter pour se faire la malle en douce, mais c’est Trip, il a un ptit coeur d’or, donc il reste. Et franchement, trop dur de voir Jonathan qui veut sauver son Trip à lui qu’il a, mais que ça lui tord le bide de devoir tuer le clone pour ça, surtout que le clone il est… euh ben tout pareil, et qu’il voudrait bien prendre la place du vrai qui est toujours dans le coltard !

Jonathan reconnaît même qu’il est prêt à le traîner jusque sur le billard avec un flingue sur la tempe s’il le fait pas de lui-même…

Super intense, cette scène. Pauvres loustics. Tous les deux.

Trip-bis : « You’re not a murderer. »
Jonathan : « Don’t make me one. »

C’est boooooo !
Ca faisait longtemps qu’on n’avait pas eu du bon drama comme ça ! Depuis le début de saison, en fait !

Bon, ben, Trip-bis va passer ses derniers instants dans son ingéniérie chérie puisque « The two things I most care about are in this room. »
Vlan dans tes dents, Paulette.
Et là, sublime, le visage de Paulette qui se tord pendant un quart de poil de cul de seconde ! Paulette est au paroxysme de l’émotion !!

Donc c’est là que Trip-bis tente de se tirer… et puis il change d’avis, parce que finalement, il n’a pas tellement envie de passer le reste de sa life dans une navette pourrie, à pisser dans une bouteille…
Je ne peux pas m’empêcher de me dire que cette allusion à « Shuttlepod One » est due à une question posée à une Convention. Et pour enfoncer le clou, Trip-bis sort à Jonathan, qu’il n’y aurait qu’une chose pire que ce genre de fin, être enfermé dans une navette pourrie avec Malcolm !! Donc super mignon, et en plus, fuck, c’est pas lui qui a vécu ça, c’est Trip, le vrai, donc c’est hyper émouvant. Et donc finalement, il décide d’aller se faire charcuter et au moment de se rendre sur le billard…

Toc toc !!

C’est Paulette que ça lui démange tout de même un peu, mine de rien !

Keuquine !

Ah, quand Trip va apprendre ça !

Zou ! Notre Trip est sauvé… Paulette à viré environ 72 000 de ses balais et j’ai gagné mon pari !
C’était tromeugnon, tout de même. Et j’ai fini mon horrible nuit blanche là-dessus…
Sur ce je vais oser une petite sieste !

Posted by on Mai 4, 2006 in Star Trek : Enterprise | 2 comments

2 Comments

  1. Mmmmh… dans le fond cet épisode me fait un rien penser à "Michael", dans SGA… Connor perdu, qui se bat pour son identité…

  2. Ouais, la scène avec Archer dans la cabine du vrai Trip m’a vraiment fait penser à Michael. Ca lui va bien au pépère d’être un peu moins dans le léger et le cucul, parfois.

Post a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Top