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311 : H-Con-172

Je me régale d’avance à l’idée de rédiger cette note, vraiment… De purs moments de délire, de purs moments de bêtise, de purs moments de courage.
Ouaip !

On entre dans le vif du sujet avec Leo et son avocate Jordan qui rencontre Cliff Calley.

Il est venu proposer un deal : arrêter tout si Bartlet accepte de reconnaître publiquement que ce qu’il a fait est mal et qu’il a menti. Je ne connais pas le terme exact en français, en fait, je suppose qu’on ne peut pas parler de blâme… Leo est furieux. Il est hors de question que Jed accepte ça. Quitte à devoir répondre à la question de ce salopard de Gibson. Il refuse de sauver sa peau en faisant couler le président. Parce que finalement, c’est un peu ça que lui propose Cliff…

Pendant ce temps, Sam a réuni pas mal de monde… En fait, un livre doit sortir trois semaines plus tard, signé par un type qui a brièvement bossé à la Maison Blanche et qui déballe un paquet de dossiers assez éhontés… et très personnels. Chacun doit lire un ou deux chapitres où il est question de sa vie privée. Et surtout rédiger un dossier pour empêcher la parution du torchon… Extrait ?

« Bartlet was playing a round of golf with Toby Ziegler, the prickly, mumbling Communications Director whose inner, bitter darkness spelled the breakup of the one
marriage we know about. »

loooool !!! Pauvre Toby !! Mumbling Communications Director ! Pardon, mais c’est juste trop lui !!

C.J. : « It was miniature golf, wasn’t it ? »

Josh, lui, n’est pas très attentif… A peine sorti de cette réunion avec ses deux chapitres sous le bras, il aborde Toby pour lui demander s’il connaît Amy Gardner, et surtout, s’il connaît un sujet valable qui lui permettrait de la rappeler avec un bon alibi. Arf… alors là, pardon, mais Joshua Lyman, merde, c’est trop fort ! Ce crétin n’ose pas la rappeler pour lui demander de sortir avec lui !!! Joshua Lyman qui a toujours réponse à tout et qui fait plier tout ce qui s’appelle sénateur ou député ! Trop fort ! Mais bon, voilà, Josh il est complètement paralysé…

Josh : « She’s got… I really… I’m… bewitched ! I’m ensorcelled ! »

Du coup, il appelle, avec un prétexte minable, pour essayer de lui extirper un entretien… Il laisse un message. La belle rappelle, et par un triste hasard, Donna ne se souvient plus comment on fait pour transférer les appels !

Ca se met à papoter plutôt gentiment, jusqu’à ce qu’Amy lui demande pourquoi il a besoin d’elle. Et là, black-out total, le pauvre Josh ne sait même plus quel était son prétexte…

Ah oui, les congés parentaux. Ouf !

C’est mignon comme tout… et surtout, qu’est-ce qu’il a l’air nouille !!! C’est magnifique ! Arf arf arf !

Bon, ahum… *s’essuie les yeux*

J’adore la manière qu’à Leo de mugir le prénom de sa pauvre assistante… qui a une tête à ça d’ailleurs, avec sa bouille ahurie…

Leo : « MAAAAAAARGAREEEEET ! »

Cette fois, c’est Jordan qui vient voir Leo, et qui lui reproche de ne pas l’écouter… C’est son avocate, et Leo a tendance à l’oublier, c’est pas bien !

Et surtout ce qu’elle veut, c’est l’aider… Mais Leo n’en démord pas, il ira jusqu’au bout, il ne veut pas que le président reconnaisse qu’il a menti, car il n’a jamais menti.

Le soir tombe, sur la Maison Blanche, la neige aussi, d’ailleurs… Josh a rencart à 23h avec Amy… A 22h45 comme prévu, Donna lui sonne les cloches et là… fziouuu ! On entrevoit passer un Bip Bip le Coyote encravaté… Donna a beau tenter une diversion, rien à faire, il est déjà parti !

Et à ce moment-là, le téléphone sonne. C’est Cliff qui demande à Donna de la rejoindre. Non, qu’elle dit, sûrement pas. Si si, c’est important et pas hors la loi. Nan !

Oui mais si… Et même que Donna y va.

Cliff lui demande d’arranger une entrevue avec Josh, c’est super important, même si c’est juste au téléphone… Donna refuse, c’est pas possible. Cliff insiste à mort… C’est pour Leo. Et là Donna percute que c’est Cliff qui a fait suspendre l’audience… Que c’est lui qui fait tout pour ne pas que Leo plonge…

Pendant ce temps, Romeo a rejoint sa Juliette…

Seulement l’affaire tourne vite au vinaigre quand Juliette se rend compte que Romeo est assez con pour l’avoir manipulée et inventé un bateau pareil juste pour lui faire perdre du temps…

Heureusement, le téléphone sonne. Ooooh, c’est Donna !

Et le nom de Cliff Calley fait apparaître sur son front un bon milliard de rides.
Et mon Josh de larguer un bifton sur la table, de bredouiller de très vagues excuses et de se glisser jusqu’à la porte.

A la Maison Blanche, il chope le Leo et tente de lui faire changer d’avis… Ptain, il est pénible, Leo, quoi !

Enfin non, c’est juste qu’il n’y a qu’une personne qui puisse lui faire changer d’avis…

Jed tente sa chance à son tour… Pas évident… Mais il reconnaît lui-même qu’il avait tort, qu’il n’aurait pas dû cacher cette affaire…

Il demande à Leo d’accepter le deal…

Pendant ce temps, le sieur Lyman rentre en son terrier… Et trouve sa Juliette assise sur les marches devant sa porte… Uh uh uh… Elle s’est énervée un peu vite, tout ça, tout ça…

Blablablablablabla… Mon Dieu faut voir la tête qu’il fait aussitôt qu’il voit qu’elle se rapproche… Genre : « Oh mon Dieu, cette femme va m’embrasser, qu’est-ce que je dois faire ??? »

Ben t’attends, gros crétin !

D’ailleurs, ça rate pas…

Gnarl !!!

Et Joey Lucas, alors ? Et Donnatella Moss ? Trois années à tortiller du cul et c’est pour finir avec la première radasse qui passe ??? C’est du joli !

(Cela dit quand je vois comment il s’y prend comme un manche, je ne suis pas TELLEMENT étonnée !)

Et le pire ? C’est que je crois bien que ça risque de marcher avec cette Amy Machin…

Cela dit, avant même de mettre la langue, elle se barre aussi sec !

Scène de fin avec Leo et Jed…

Sur fond de :
Whereas, in his conduct of the Office of the President of the United States Josiah Bartlet has engaged in a course of deceitful and dishonest conduct designed to impede and deny the disclosure of vital matters of public concern, the United States Congress hereby condemns him for acting in a manner contrary to his trust as President to the great prejudice of the cause of justice and to the manifest injury of the American people.
Gloups…

Posted by on Juin 21, 2006 in The West Wing | 5 comments

5 Comments

  1. Romeo et Juliette se sont embrassés? c’est le principal alors ^^
    "Cela dit, avant même de mettre la langue, elle se barre aussi sec !"

    ah oui ça c’est pas gentil ^^ :p

  2. C’est pas simple, leur affaire ! Mais j’avoue que je me suis bien poilée… Ah par contre, j’ai balancé mes tongs sur la télé ! Ca généralement, c’est pas bon signe ! 😀

  3. des tongs en Sibérie ? tu fumes que du tabac toi?

  4. Me suis permis d’éditer parce que tout le monde ne sait pas où j’habite et c’est pas plus mal ! 😉 Dis donc, d’abord ! C’est une des villes les plus chaudes de France… quand il fait beau… :p Non sérieux, aujourd’hui il fait un temps de merde… et mes chaussons lapin je les garde pour l’hiver ! Quant à ce que je fume, ça ne te regarde pas !!! 😀 Par contre, quand il commence à voler des tongs… en général c’est le prélude à des envolées plus pittoresques : paquets de mouchoirs, sous-verres, coussins…

  5. Bon finalement, y’en a d’autres qui ont eu Monica Lewinsky, Jed il a la sclérose en plaques. C’est un peu la même chose.

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