420 : Evidence of things not seen
Woho… Ca faisait plus d’un mois que je n’avais pas regardé un épisode de MaMaisonBlanche. Le dernier épisode que j’ai regardé c’était… Le 22 août… Vers 10h du mat’… Et j’avais strictement rien compris. Ahum.
Hop hop, j’avoue avoir légèrement sauté celui où cette parvenue d’Amy Gardner se fraye un chemin jusqu’au bureau de la Première Dame. Merci bien, mais moi, Amy Gardner, j’en ai soupé…
Bon bref, ça joue au poker, tout ça, c’est bien rigolo, ambiance décontractée du gland comme dirait un de nos potes, hein ?
Sauf que là, d’un coup, je lève un sourcil et laisse échapper un « gnurf ? » suivi de l’incontournable et inimitable « gnihiii ! ».
C’est LE épisode avec Matthew Perry !!!
D’ailleurs, il faut bien le dire, c’est assez déconcertant de voir NOTRE Chandler… qui ne sort pas une seule Chandlererie… Ca pour le coup, ça vous la coupe…
En plus, c’est qu’il est vraiment bon acteur !
J’irais même jusqu’à dire que franchement, il est devenu très très mignon. Et pourtant, c’était pas gagné…
Et je crois que je ne suis pas la seule à être de cet avis…
Après ce soupir d’intense satisfaction, je me renfonçai dans mes coussins avec Tino (non, ne me demandez pas, vous ne voulez pas savoir… ) jusqu’à ce que… OH… MY… GOD… MAIS CA VA PAS, NON ???
On regarde tranquillement un petit épisode pépère, c’est dimanche, on est cool, là, avec son oreiller, son Tino et… ET là, alors que C.J., Will et Toby s’amusent à lancer des cartes sur les fauteuils de la salle de presse… PAN PAN !
Rien de grave, heureusement. Et là-dessus, des petits moments sympas, comme l’allusion de Josh à ses sueurs froides devant l’orchestre de Noël, puis Charlie et Debbie dans le bureau ovale. Drôle sans être lourdingue. Juste parfait.
A propos de Josh… S’il n’y a pas encore échange de salive, en tous cas on peut dire qu’ils respirent de plus en plus d’un même souffle…
C’est touchant de voir Donna se faire autant de souci pour Josh, aller jusqu’à appeler le psy… Malgré toutes les vacheries qu’elle lui balance, elle a vraiment la tendresse d’une mère, pour lui…
Et enfin, coup de maître de Bartlet, lors d’un entretien téléphonique mémorable avec le président russe. J’ai adoré. Bartlet jamais là où on l’attend, qui ose, et finalement, qui ne laisse pas tellement le choix. Ouaip, très fort.
Votez Bartlet !
Dernière remarque sur cet épisode, avant d’attaquer la fin de la saison : c’est trop poilant d’entendre Willl évoquer Cheyenne Mountain. Oui, bon, le contenu n’est pas très drôle (les missiles coréens, toussatoussa) mais pour un gater, c’est « uhuhuh » assuré.
Et la fille du président, elle va bien ?
Oh, un comm ! Merci Arnaud ! Pour le moment oui, elle va bien.