105 : The ram has touched the wall
Ah mes amis, quelle déroute…
C’est le début de la fin, malgré les tentatives de trève…
D’ailleurs, en revoyant cet épisode, je me suis rendu compte que c’était ce coquin de Posca qui donnait à César l’arme pour attaquer Pompée et les sénateurs… soi-disant parce que Pompée fait l’offense à César d’accepter la trève mais ne veut pas le rencontrer face à face. Petite occasion pour César de faire son offensé et de demander réparation sans passer pour un tyran, puisque c’est là le danger. Sacré Posca. Je comprends presque pourquoi Marc-Antoine se l’est gardé, celui-là.
A part ça, Atia qui charrie son fils parce qu’elle croit qu’il est l’amant de César, c’est… Fiou…
(Mais quelle, quelle… beurk ! Et en même temps, elle est drôle !)
Pullo, toujours très classe…
J’ai bien aimé la scène où Vorenus annonce à sa fille qu’il va pouvoir payer sa dot en vendant ses esclaves et qu’elle va pouvoir partir vivre avec son mari. Déjà, c’est l’occasion pour Vorena d’ouvrir la bouche.
Et j’aime beaucoup la réaction éperdue de Niobe, folle d’angoisse à l’idée de voir partir non seulement son aînée mais également son plus petit, supposé être l’enfant de sa fille. Pauvre Niobe…
Et puis la scène entre Servilia et César, rah… Tellement tendre…
Voilà, c’est là que je suis tombée amoureuse de Jules…
Non mais ce regard de velours, quoi… Regardez-moi ça !
Dommage que ça ne dure pas… Mais bon… Lady Calpurnia veut bien tolérer certaines choses, mais la discrétion, c’est un minimum…
D’autant que César ne peut pas se permettre de divorcer d’elle…
Alors zou, rupture sèche.
J’étais sciée qu’il la frappe. Je ne m’en souvenais pas du tout. Bon, c’est elle qui commence mais waouh, il la tabasse grave, quand même. Et en même temps il faut bien ça pour justifier la rage froide qu’elle va déployer pour le faire tomber.
J’ai presque envie de la plaindre. Quel tourbillon infernal, à partir de maintenant…
Ah, le tandem Octave/Pullo. J’adore…
La tête et les muscles. J’ai été super surprise au début de voir Pullo confier ses soucis au sujet du ménage Vorenus… Mais Octave a l’air tellement content de pouvoir lui dire ce qu’il en pense. Bien sûr, ça va déboucher sur une scène terrible et limite insoutenable, mais quelque part ça nous arrange bien.
Pendant que de son côté, Vorenus tisse lentement la toile de certains de ses ennuis de la saison 2 avec Erastes Fulmen.
Il faut bien manger. Et sa petite femme lui est reconnaissante de se vendre à ce bâtard.
Elle ne se doute pas que son amant est sur le point de se faire découper en menus morceaux par Pullo. Cette scène est terrifiante. Parce qu’on découvre de quoi Pullo est VRAIMENT capable quand quelque chose le dérange. Je ne parle même pas d’Octave. Ce personnage est admirable, il conjugue encore la tendresse et la timidité d’un adolescent et la froide intelligence d’un futur souverain. Effarant, mais jouissif. Pour Pullo, c’est d’autant plus troublant qu’il recule presque quand Octave lui dit de torturer Evander, puisqu’il n’a jamais fait ça. Enfin bref. En plus, tout de suite on sait qu’Evander va mourir, et comme le dit Octave, ce n’est plus que la question de la manière avec laquelle il va mourir. Donc il avoue tout, le bébé, tout… Bref, atroce…
Mais fabuleux. Cette série est vraiment remarquable. Et cet épisode grandiose. Encore un tournant… Avec la malédiction terrifiante de Servilia contre Atia et César.
Je me rappelle plus si c’est dans celui-là ou le suivant qu’Atia veut dépuceler Octave… Ca c’était fort de roquefort aussi !
Le suivant, Egeria ! 😉 Mais ça doit être dans celui-là qu’elle lui fait bouffer des couilles de taureau fraîches. Eeeewwwww !
Attia ne veut pas dépuceler Octave elle-même !… Ca serait un peu beaucoup, même pour elle. Mais elle l’envoie au bordel avec Pullo, ce qui nous fait une scène hilarante.
Quant au meurtre d’Evander, je crois que ce qui anime Octave, c’est surtout la curiosité. Sa mère l’a charrié au sujet de sa virilité, et donc il veut voir ce que ça fait de tuer un homme. Il ne connait pas Evander, il s’en fout complètement, il veut juste vérifier s’il en est capable, même si c’est Pullo qui tient le couteau…
Rappelons aussi que les graffitis sur les murs représentant César et Servilia, c’est encore une belle idée de la gentille Attia, non ?
D’ailleurs, la scène entre César et Servilia, moi je l’ai comprise comme une façon pour César de "brûler ses bateaux"… Il aime Servilia, c’est évident, mais en la frappant, il s’assure qu’elle ne voudra plus jamais de lui, et que donc lui ne sera plus jamais tenté par elle. Ciaran Hinds est excellent dans cette scène.
Rem: pour Posca, si je me souviens bien, il est grec, non ? La crème de la crème des esclaves…
Oui, bien sûr que César aime Servilia, c’est évident, le fait qu’elle l’agresse, c’est l’occasion rêvée pour lui de faciliter la rupture, ce n’est pas nouveau, dans une série… 😉 Et les graffitis, oui, à la fin on apprend que c’est Atia qui en est l’auteur (indirectement, bien sûr). Pour Posca, je ne sais pas, mais en VF ils lui ont fait un de ces accents !!! (J’ai écouté un peu, pour voir… pas été trop choquée, ça va.)
sympa cet épisode!!!
d’abord, on voit le début de la relation fraternelle entre Octave et Pullo!! ils sont mignons les deux, et Octave est encore magnigique d’intelligence!!
ensuite, le petit Posca, comme je l’adore!!
et Atia, je crois qu’à chaque épisode, elle manipule quelqu’un!!! comment elle réussit à ce que Cesar lache Servillia!!
sinon, je me demande quand la saison 2 va reprendre?! ils ont du faire une pause de mi saison!! je suis trop impatient!
Ce soir, je crois !