Yeurk…
Et en même temps, à l’époque, j’aurais mieux fait d’essayer d’interpréter cette photo au lieu de casser toute ma vaisselle…
Je veux dire, ça manque clairement de passion, la Dualla, elle est déjà presque nostalgique, et son Lee, il a clairement d’autres choses en tête. Ouarf ouarf ouarf. Cela dit je DOIS reconnaître que c’est une jolie photo. Là.
Alors là, je dois dire que je suis d’accord, sûrement pas pour les mêmes raisons 😉 j’ai jamais compris ce ship… Enfin, si, mais comment c’est arrivé, c’est du nawak
Alors autant je me fiche de qui copule avec Lee, autant j’aime pas qu’on me colle des ships qui tombe comme un cheveu sans queue ni tête sur de la choucroute
Si tu veux comprendre, je te conseille de lire ma note sur Black Market et sur ses scènes coupées. Désolée, mais c’est d’une logique absolument implacable, même si ça ne te plaît pas. Ni à moi. Et ce n’est pas juste parce que Lee n’est pas avec Kara, en ce qui me concerne. Je les ai toujours presque préférés en copains.
Ayé a lu… Et je crois bien que je les ai vues ces scenes coupées…
Alors je comprends la logique du point de vue de Lee (et encore) mais par contre pas trop pour Dualla
(en même temps, j’ai besoin d’une piqûre de rapple de la s2, mais mes dvds sont en prêts et j’ai que jusqu’au 210 sur mon pc)
Les épaules de monsieur, quand même… ça me rappelle la remarque que tu avais faite pour je ne sais plus quel épisode : "des fois, BSG, c’est un vrai film porno…de bras". Loool
Elle, Ava ? Arf, elle le dit elle-même : c’est un Adama, comme son père. Ca suffit amplement pour allumer la convoitise chez Dualla !
c’est vrai que finalement cette photo est bien caractéristique de leur état d’esprit de la saison: la perplexité pour Lee avant de trouver enfin sa voie en fin de saison, et Dualla qui sent bien que tout ça c’est une erreur mais bon on ne recule pas quand on peut se mettre avec un Adama… alala quelle opportuniste celle là
Même sa copine Cally le reconnaît, c’est dire. Cela dit, elle aurait peut-être pas dit non, c’te punaise-là !!!
moi j’attends avec impatience quand elle se rendra compte que biiiiiiiiip. (acte de modération, désolée, moi aussi j’ai hâte, mais sur une photo de la saison 2, ça craint… )
Snip snip, désolée !!! Plan laugh quand même !
beurk beurk et re beurk…
Enfin, j’espère qu’on en a vraiment fini avec ce couple dont on nous aura montré toute au long de la saison à quel point il était basé sur des illusions. Maintenant qu’Apollo est devenu adulte, il n’a plus besoin de se réfugié dans les jupons de la demoiselle.
La motivation de Dualla est simple: Lee est bogosse, c’est pas dur de le convouter lol. ça plus le fait que c’est le fil à son papa, le calcul est vite fait…
Pour Lee, j’ai bien compris la scène coupée mais je ne reste qu’à moitié convaincu, d’autant plus que si Ron a décidé de ne plas inclure la scène ce n’est sans doute pas pour rien!
Enfin bref, ce couple n’a jamais respiré l’amour de toute façon!
aujourd’hui, je me suis dis qu’on pouvait comparer certaines séries actuelles, et surtout BSG de notre Dieu Ron, à des poèmes de Baudelaire, Rimbaud ou autres!!
en effet, au lycée, on analysait chaque ligne, pour voir les assonances, alitterations, metaphores filées… et quand on regarde BSG, on peut vraiment faire la même chose, voir que tout s’enchaine, que tout est imbriqué parfaitement!!
donc je pense qu’après des études de lettres modernes, de poésie, on devrait mettre des études sur les séries et films cultes!
bon, c’est pas en énorme rapport avec la photo, plus avec les coms sur le pourquoi du comment de ce couple?!
Je suis absolument d’accord Raoul.
Cà existe déjà d’ailleurs pour le cinéma, ça s’appelle de l’analyse filmique et on y apprend à décortiquer comment la manière de filmer et de monter un film permet de traduire des idées. Mais, les séries de qualité comme BSG mériteraient tout à fait d’être aussi au programme.
argh oui effectivement c’est une photosaison 2 désolée… pfff j’ai plus toute ma tête! C’est peut être de tout avoir vu à la file, pour moi BSG c’est un truc tout continu finalement!
Ouais, j’ai revu hier soir avec une copine A day in the life, Dirty hands et Maelstrom, et elle qui ne les voit qu’une fois et avec pas mal d’écart, j’ai dû lui rappeler plein de trucs super importants. Là par contre, on va enchaîner direct cette semaine les trois derniers, comme ça, hop, tranquille. Dans Dirty Hands, j’ai noté un « like grand-father, like grand-son » de Roslin particulièrement intéressant, d’ailleurs.