509 : Abu el Banat
Ce sont des choses qui arrivent, mais je n’ai pas tellement aimé cet épisode. Un épisode de fête, pourtant, si c’est pas un malheur. A trois semaines de Noël, le président attend ses trois filles et son petit-fils pour allumer les décos de la Maison Blanche. Eh ben ça se passe pas tout seul !
Alors, pourquoi la Sorcière, elle aime pas trop ce zode-là ? Eh ben parce que la Sorcière, elle aime pas trop les trois dindes, là. Elizabeth, l’aînée, elle est bien gentille, mais son discours n’est pas super cohérent. Ellie, alias Casper le gentil fantôme, n’a pas un sou de jugeotte et chaque fois qu’elle est à l’écran, je suis prise d’un irrépressible baillement, et Zoey, plus tarte tu meurs… et après cinq ans, non, on ne peux plus attribuer cette insoutenable légèreté de son être à son jeune âge.
Bref, trois fifilles pourries gâtées qui nous font un cirque pas possible pour UNE fois qu’elles peuvent avoir un dîner avec toute leur famille à la Maison Blanche.
Des claques, mes amis, des claques.
Surtout quand on pense que peu de temps avant, la petite dernière a été enlevée et aurait pu clamser. Pardon, mais voilà, quoi, ce sont des instants qu’il faudrait chérir. Eh ben non.
Ok, Jed, il est pas simple. Ok, Abbey, c’est pas une sainte. Mais là, ils font l’effort. Bref, les trois péronnelles, là, c’est pas mes copines.
D’autant que grande nouveauté, Elizabeth soutient son falot de mari, candidat à la députation. Oups, que ça fait du côté de chez Josh quand ledit époux va lui annoncer la bonne nouvelle. C’est que ce n’était pas prévu, mon bon ami, le parti avait choisi quelqu’un d’autre qui, sauf votre respect, a la bouteille et les épaules pour.
Dans la foulée, Jed conseille à sa fille de se présenter ELLE, elle qui a l’ambition, le talent et tout ce qu’il faut pour cela. Madame de prendre ses grands airs. Bien bien bien.
A côté de ça, on a Gus, haut comme trois couilles à genoux, qui fait la tronche parce que son papy (qui est, rappelons-le, président des Etats-Unis, et pas du club de pétanque de Trifouillis les Flots) ne passe pas assez de temps avec lui. Que le papy en question doive régler, en marge de toute cette psychose familiale, une crise d’ordre international et un débat sur l’euthanasie qui le met lui-même face à sa propre maladie et mortalité, non, ça, ça ne lui vient pas à l’esprit, à Gus, haut comme trois couilles à genoux.
Bref. Après avoir allumé les mumières sans Gus, privé de dessert, Jed finit quand même par aller faire une séance de jour/nuit/jour/nuit avec le troll. Pfiiiiouuuuu ! Il est bien gentil, je trouve !
Et les trois grâces trouvent enfin le moyen d’échanger un sourire. Limite on en espérait pas tant, et ces deux dernières scènes sauvent presque l’épisode.
Et concernant le titre, Jed l’explique à sa secrétaire, Debbie :
« Fifteen years ago we took a trip to Egypt. All five of us. Saw the Pyramids and Luxor and then headed up into the Sinai. We had a guide, a Bedouin man, who called me ‘Abu el Banat’. And whenever we’d meet another Bedouin, he’d introduce me as Abu el Banat. And the Bedouin would laugh and laugh and offer me a cup of tea. And I’d go to pay them for the tea and they wouldn’t let me. ‘Abu el Banat’ means ‘Father of daughters’. They thought the tea was the least they could do. »
C’est mimi. Pauvre Jed.
Hum deux ans plus tard…^^’
Bon alors cet épi au secours, c’est pas le niveau de la saison 5 du tout. J’ai juste eu envie (et parfois je l’ai fait) de mettre le truc en avance rapide pour ne pas hurler après ces trois demoiselles particulièrement énervantes.
Bon la scène du cadeau de noel entre donna et josh m’aura au moins provoqué un sourire mdr!
Merci encore pour les reviews, ça permet en plus, un récapitulatif de l’épi quand on a pas le courage d’endurer certaine scènes XD
Wahow je viens de capter qu’on était en 2010 donc ça fait même quasiment trois ans plus tard…Bref c’est inutile comme commentaire, mais ça m’a perturbée là d’un seul coup donc je rectifie histoire d’essayer d’assimiler la date XD!