Actor’s Studio, acte 2
Emma Thompson, donc ?
Quel showman, n’empêche, il est hilarant. En même temps, on sent à quel point il se demande ce qu’il fout là. Je crois qu’il s’étonne tous les jours du succès de sa série. J’ai lu dans un papier qu’au début, il pensait que House ne tiendrait pas un mois à l’écran. Je crois aussi qu’il ne supporte pas de se voir à l’écran. Personnalité trouble et intéressante, que celle de ce monsieur. Pas étonnant que ce soit lui qu’on ait choisi pour incarner ce névrosé en blouse blanche. Enfin, façon de parler puisqu’il n’en porte jamais.
(Je dois avouer que parfois, l’humour anglais en vient quand même à me dépasser… très légèrement… sur les bords… oh, pas souvent… mais parfois… Cela dit, on dirait que ça fait le même effet à Mr Laurie… )
mon english étant resté très baccalauréesque, le sous-titrage serait le bienvenu !!!!
Sinon prête pour V, petite soricère?
Fin prête ! 😀 Pour le sous-titrage, désolée, j’en fais suffisamment pour me nourrir, je passe mon tour ! Cela dit, les expressions de HL, à elles seules, valent le détour. Dans l’extrait, Stephen Fry est méconnaissable. Enfin, la gueule n’a pas beaucoup changé, c’est plutôt le reste. Ce qui est intéressant, aussi, c’est la colonisation des acteurs brits (et australiens) de la téloche américaine. Entre Bamber et Callis, la Lawless, Laurie et Jesse Spencer (un Aussie, lui aussi), Fry qui fait le guignol dans Bones, et j’en oublie plein plein… remarquable.