[DOCTOR WHO CONFIDENTIAL] 604 : Bigger on the inside

? » joie. Deux fois, j’ai paumé mes captures. DEUX FOIS !
Faut être douée, tout de même ! Du coup, je me retrouve avec trois/quatre pauvres images !
J’ai quand même refait les captures de Neil Gaiman qui va chercher son petit dej’, c’est le passage que j’ai trouvé le plus sympa. Ce petit camion où on prépare à bouffer pour des dizaines de personnes, qu’ils soient dame-pipi ou scénariste star, et qu’on déplace aussitôt qu’on change de lieu de tournage, ça a un charme fou ! Et les quelques chiffres que nous donne le chef-cuistot sont spectaculaires : notamment 360 oeufs par semaine et 3 kilos de champis par jour.

Sinon, j’ai bien aimé que ce making-of s’articule autour de Neil Gaiman lisant son script à l’intérieur de la salle de contrôle, moi qui adore qu’on me raconte des histoires, j’ai trouvé ça très chouette. Jusqu’au « End credits » de la fin.

D’ailleurs, le titre est trop mignon. On ne s’est jamais douté à quel point il était « plus grand à l’intérieur », ce Tardis.
C’est quand même un putain d’honneur d’incarner ce personnage à l’écran, et visiblement, Suranne (ma Suranne, ne vois-tu rien venir ?) Jones en est tout à fait consciente.

Suranne : That’s me !

Je ne sais pas si vous avez vu « Single father », avec David Tennant. Que ce soit le cas ou pas, vous vous amuserez d’apprendre que la nana avec laquelle il se console de son deuil… c’est Idris ! Mes yeux. Ils saignent. Suranne Jones a donc tâté deux Docteurs contemporains. Si j’étais Chris Eccleston, je ferais gaffe à mes fesses !

Puisqu’on parle de « ça », aujourd’hui, Beth Willis est obligée de se farcir le plus vieux producteur exécutif mâle du lot. Elle semble bien pensive.

(Moff’ : Ce que j’aime bien, avec Beth, c’est qu’elle a de bonnes grosses miches !)

Attention, changement flagrant !

Ah ah, on ne nous la fait pas, à nous !
Bon, je crois qu’il n’est pas utile de revenir sur la rencontre entre Moffat et Gaiman qui a abouti à cet épisode. Cependant, j’ai bien aimé le fait que le showrunner ait flairé en l’écrivain un fan de Doctor Who. D’ailleurs, cela crève les yeux, il est ravi d’être là, le Gaiman et nom d’un chien, il connaît sacrément bien son sujet !

Steven Moffat : This guy is a Doctor Who fan I can tell it, smell it !

On n’échappe évidemment pas à un petit clip sur « You sexy thing ». Et j’avoue, ça me fait toujours un petit quelque chose de revoir nos deux Docteurs précédents papouiller leur Tardis.

Enfin, l’anecdote que j’ai trouvée délicieuse, c’est que la console du Tardis de secours a été conçue par une petite fille de douze ans qui a remporté un concours. Alors là, ça, c’est trop mignon.

(Au passage, on se croirait dans mon salon. Des Tardis et des Daleks partout, plus MES percus sud-américaines, dites donc !)

Voilà ! Bon, moi, j’avoue, j’ai hâte de me pencher sur GoT. J’espère pouvoir poster ma review avant… la semaine prochaine ! Me voilà à nouveau libre comme l’air après deux semaines un peu chaotiques. Je vais peut-être pouvoir mater quelques fins de saison !