405 : The road less traveled
Aloooooors. Merci à Mark Verheiden de me donner à rédiger une fois de plus, à l’occasion de cette mi-mi-saison (mimi), une super review qu’elle déchire et qu’on n’y comprend rien… Ahum.
Bienvenue, donc, à bord du Bounty. Où ça se révolte un max et où on est loin du goût de paradis. Ah ah ah.
Hem.
Bien contente de retrouver Kara et sa troupe de mauvais sujets après un gros épisode très branché Galactica. Franchement, je trouve que Kara n’est pas aidée.
C’est tout à fait fascinant de constater à quel point tout le monde tente de lui mettre des bâtons dans les roues. A se demander si le vieux n’a pas fait exprès de coller à bord de son vaisseau-poubelle tous les pires branleurs dont il ne voulait plus.
– Helo : sans doute le meilleur élément, mais tellement coincé dans son rôle d’XO modèle qu’il ne se rend pas compte que BORDEL, mon grand, mais vous êtes au bout du chemin, là ! Il faut qu’il se passe quelque chose car les machines comme les humains sont épuisés et ne dureront plus longtemps. Oui, c’est prendre des risques, mais ces risques sont devenus nécessaires parce qu’après tant d’années à sillonner l’espace, il faut oser les coups de folie. Et ça, même Adama l’a compris.
Bref, Helo, superbe, grand, mais qui au moment de trancher, recule de trois très pénibles pas et décide que non, il n’est pas prêt. Helo qui a épousé un cylon. Helo, merde, quoi.
– Athéna : alors elle, mais c’est juste… du… dé… lire. Ca me scie le derche. Cette meuf est tellement devenue humaine qu’elle fait toutes les conneries livrées avec le pack !!! LE cylon de l’équipage qui est le premier à freiner des quatre fers quand il s’agit d’une alliance potentielle avec ses propres frères et soeurs ! On aura tout vu. C’est passionnant, mais ça m’a donné envie de me taper la tête contre les murs. Athéna, Athéna, Athéna… Finalement, ce sera peut-être ton allégeance envers le vieux qui te perdra. Et tu as bien la mémoire courte, toi qui as moisi en cellule pendant de si longs mois, désespérant que l’on croie enfin en ta sincérité…
– Felix : LA mauvaise idée ! Flanquer Felix Gaeta à bord du Demetrius comporte une certaine logique, mais c’est oublier que l’ardoise est particulièrement chargée entre lui et Kara. Si de tous, il y en a bien un qui me fait une peine immense, c’est lui. Il avait une telle foi en Gaius, en la Terre, il était tellement le petit officier parfait et brillant. Et aujourd’hui, il ne reste de lui que cet homme cynique et blasé qui ne croit plus en rien et qui promène son regard vide et las dans une mission qu’il juge absurde. Comme il est dur de voir notre héros de la résistance s’enfoncer de plus en plus dans la vilenie alors qu’on était si fiers de lui.
– Seelix : deuxième TRES mauvaise idée. Alors elle, de toute façon, c’est plié. Avec le retour de Kara, c’est aussi le retour de la reine des pilotes (dont de toute évidence, elle ne fera jamais partie) et Anders qui s’éloigne encore un peu. Et ça, Diane Seelix, ça commence à faire beaucoup, pour elle. Finalement, tout semble vouloir se conjuguer pour qu’elle reste une sous-merde, même après avoir ôté ses mains du cambouis. Ca craint du boudin, et même que Kara lui vole son baquet sur un caprice. Alors là, c’en est trop.
– Le trouf’ qui n’arrête pas de râler : lui, c’est le fusible qui va sauter aussitôt qu’il sera nécessaire de tuer quelqu’un. C’est le mauvais génie de la bande, le premier à l’ouvrir bien grande histoire que nos autres personnages ne se fassent pas trop mal voir dès le début.
– Sam : le seul qui peut encore faire basculer toute l’affaire, mais comment ? Et surtout, est-ce que ce sera pour les bonnes raisons ? Porteur d’un secret dont il est le seul à avoir connaissance, il n’y a qu’en sortant de sa mollesse de bon toutou que ça marchera. Pathétique quand il surprend Kara en train de se faire platoniquement papouiller par Leo.
– Les meufs, alias Jean Barolay et le sergent Mathias : fusibles itou, à ce qu’il semble. Je compte sur la fidélité de Jean envers Sam pour faire levier si nécessaire. Un peu triste pour Mathias. Encore un personnage qu’on connaissait depuis le début et qui nous quitte. Combien encore comme ça ?
– Hot Dog : il est bête. Gentil mais bête. Il suivra du côté où ça gueulera le plus fort.
Bref. Comment voulez-vous qu’on fasse quelque chose de ces gens-là ? D’office ils ont décidé que c’était bullshit, cette mission. Ils n’ont même jamais fait semblant d’essayer d’y croire, à part Helo.
(De très belles scènes entre eux, en passant. Je me suis souvenue avec nostalgie de leur balade sur Caprica… )
Certes, Kara est gonflante, son retour est louche, sa démarche totalement insensée, sa manière de procéder pour le moins nébuleuse. Certes, en matière de PR, elle a encore bien du boulot. Mais le fait est qu’elle n’est pas aidée.
Pourtant, il n’est pas difficile de voir qu’il se passe des trucs chelous. Je veux dire, PAF, Kara prend un viper, et en moins de dix secondes, elle vous extrait Leoben d’un chasseur lourd. Qui serait assez con pour ne pas se rendre compte que c’est quand même un tout petit peu bizarre ?
Kara : Leoben ?
Leoben : I’m here for you, to offer a truce between cylon and human. And a chance for you to complete your journey.
Wouhouh !
Enfin, le retour de Leoben, grand mind-frakker devant l’éternel.
Bon, je ne suis pas de ces forcenés qui se régalent de voir Leo tripoter Kara (il y en a, et un paquet), mais leurs échanges sont toujours passionnants. Et je soupçonne Katee d’être un peu impressionnée de jouer face à lui.
(Perso, je le serais. Il est un poil flippant, CKR.)
Et puis Leo nous balance un florilège de léobenismes. Collector.
Morceaux choisis :
Leoben : God has taken your hand and purged you of the questions, the doubt. Your journey can finally begin.
(J’adore la peur et la fascination qu’il provoque chez Kara… )
Leoben : All of your life… you forced back the truth by lashing out at everyone around you. Anesthetizing yourself with ambrosia and empty affairs. But you’ve lost the taste for those petty things.
Leoben : I look at you now, I don’t see Kara Thrace. I see…an angel blazing with the light of God. An angel eager to lead her people home.
Et le pire, je pense, c’est que Kara sait qu’il a raison.
C’est pourquoi le plus improbable se produit : Kara Thrace est prête à faire un pacte avec les cylons.
L’autre scène de folie à bord du Demetrius, c’est bien sûr celle où Leoben et Sam font connaissance. Je n’ose imaginer ce qui doit se passer dans la tête d’un homme quand il aperçoit la femme qu’il aime comme manipulée par un personnage aussi monstrueux (à ses yeux) que Leoben.
(Il faut dire que flippant, ça l’est, pas de doute. Flippant et magnifique. Gros écho de la scène de la peinture dans « Maelstrom ». Et en passant, ne seraient-ils pas en train de gribouiller le « Ship of Lights » de BSG 78 ?)
Mais cette conversation… sacrebleu.
Leoben : You and Kara, did you get things worked out ? Because you should. You weren’t meant to be enemies.
Sam : No. That’d be you and me. (Sam, Sam, Sam. Ne te fais pas plus bête que tu ne l’es.) What do you want from Kara ? (Bon, si tu insistes.)
Leoben : The same thing I’ve always wanted. For her to understand her destiny.
Sam : That’s not good enough.
Leoben : It’s good enough for her. What is the most basic article of faith ? That this is not all that we are. C-bucks rule.
Sam : What did you just say ?
Leoben : Forward guard, right ? I saw a couple games. You were good. Yet after all the celebrity and acclaim, what were you ? Just another face selling magazines…another piece of scoreboard trivia, and you always knew you were destined for more. You were just waiting for your singular moment of clarity. (In… cro… yable.)
Sam : Well, maybe I just found it.
Leoben : You kill me, Kara’s dream dies with me.
Sam : I don’t think so. I think you download into another Leoben body and you spew more lies.
Leoben : No one’s coming back. We were lured out of resurrection range. Ship was attacked. We survived. The baseship was damaged. We were set adrift.
Sam : What are you talking about ? Who attacked you ?
Leoben : War has broken out between the cylon. Battle lines have been drawn… between those who embrace their nature and those who fear it.
Sam : Good. You can blow yourselves to hell for all I care.
Leoben : That’s one way, that’s one way. There’s another. An alliance. Allow our paths to converge. You save us from our savage brothers. And our old one, the hybrid, will show Kara the righteous path. And together, they’ll lead us to the promised land. Together, we will find earth.
Intéressant de se rendre compte que finalement, ce qui se passe chez les cylons se passe également chez les humains. Et même chez les Final Four, à une échelle quelque peu moindre. Certains chemins qui semblaient pourtant tout tracés se séparent… et d’autres destinées se lient.
Et la question qui se pose tout naturellement au terme de cette scène, c’est : mais nom d’un chien, Leoben sait-il que Sam est un FF ???
Le sait-il sans savoir, l’a-t-il appris par le biais des chasseurs, par celui de Caprica Six (pour autant que celle-ci ait capté Saul dans l’épisode précédent) ? En tout cas, l’anonymat des Final Four semble vivre ses dernières heures et ce n’est pas plus mal. Si Sam décide enfin d’embrasser sa nature profonde, comme le petit discours de Leoben le lui suggère, je pense qu’il pourrait enfin comprendre que sa mission est de protéger Kara et de l’emmener près de l’hybride. Pourvu que ce soit le cas. Qu’il renonce à ce comportement infantile et frénétique et qu’il accepte que oui, il est un cylon, et alors ? Ca peut servir, alors au boulot !
Je ne vois pas qui d’autre pourrait débloquer la situation inextricable dans laquelle Kara se trouve, avec tous ses hommes à présent retournés contre elle.
A mon avis, Leoben le sait. C’est pour cela qu’il a bien pris le temps de tout expliquer à Sam.
Et alors, à bord du Galactica, ça continue à progresser à une vitesse phénoménale.
Je pense que beaucoup de gens se laissent piéger par l’impression de lenteur qui se dégage de la réalisation des derniers épisodes. Et je pense que c’est voulu. Mais si on y regarde de près, il se passe mille fois plus de choses en terme de progression de l’intrigue et des personnages que durant les trois saisons précédentes réunies. On nous fait passer des messages tout à fait prodigieux. Regardez un peu cette scène où Tyrol, crâne rasé tel un forçat, fait tourner sa corde à sauter au son de la voix de Gaius Baltar, devenu un prêcheur dont les sermons sont maintenant diffusés sur les ondes de toute la flotte. Et lorsqu’il éteint la radio, son marmot se met à pleurer. Pour se taire une fois la radio rallumée.
Enorme.
A part ça, je pense que Tory va devoir faire très attention à ses petites fesses parce que de toute évidence, Tyrol va finir par découvrir qu’elle a un petit peu poussé Cally par l’airlock.
L’obstination du pauvre Chief me laisse un peu perplexe, surtout après sa superbe tirade de veuf dans l’épisode précédent.
Mais je trouve que sa nouvelle dégaine est très classe.
A part ça, j’espère que tout le monde a tiqué sur cette phrase de Tory, décidément en plein trip cylon : « Maybe it was God’s will. We don’t know why these things happen. But God does. And he has plan for us. For whatever reason, her death, our awakening… you gotta trust that it’s all for the best. »
C’est bizarre, la partie en gras me rappelle vaguement quelque chose !
Autre passage qui m’a presque fait bondir, le deuxième sermon de Gaius. Tory tout près, en pleine lumière, Galen à l’entrée, relativement bien éclairé. Tigh derrière lui, dans la pénombre.
A décrypter, c’est juste un pur plaisir.
Message du jour, donc : la vie à l’ancienne, ça ne fonctionne plus. Sans blague.
Gaius : What are you all doing here ? The reason that we are all here… is ’cause the old ways have failed us. It doesn’t matter if you’re a believer or a nonbeliever. It certainly makes no difference to me.
Intéressante formulation. Et qui m’amène à une question toute simple : quel est le degré de sincérité de Gaius, dans cette histoire ? Croit-il profondément à ce qu’il dit ? Parfois, je m’interroge. J’ai vraiment envie de croire que ces paroles sont les siennes, et non pas dictées par sa soif de pouvoir et d’influence. Mais c’est Gaius Baltar. Et on ne répond pas à cette question, tout à fait volontairement, je pense.
Sa démarche de vouloir retourner le Chief pourrait très bien être motivée par l’envie de taper dans le tas des personnes influentes à bord du Galactica. Tout autant qu’elle pourrait être initiée par quelque instinct divin.
Difficile à dire.
Concernant le Chief, ah, la scène délicieuse où il empoigne son flingue, près à se faire sauter le caisson. Comme j’ai pensé à la pauvre Boomer, et comme j’aimerais qu’on nous les réunisse tellement leurs réactions sont similaires.
Et alors que Boomer avait tiré, encouragée par le Gaius de l’époque, cette fois, c’est tout simplement pour serrer la main de l’ancien leader syndicaliste que l’ancien président débarque. Et mieux que personne, il explique ce qui est en train de se passer.
Gaius : In my own life, I joined the fleet as a scientist, as a skeptic, as supposedly a man of reason, only to have fate turn that all on its head. But I understand now that there is a purpose to it. We change. We evolve. (Hop, reprise du thème des cylons, « they were created by men, they evolved, and they have a plan. ») Maybe we even learn something along the way. I have committed unconscionable crimes, and I have been offered one last chance at redemption because I chose to accept my fate, not fight it anymore. (Boucle bouclée, comme chez les cylons.) I’m so sorry for your loss, chief. She was a very beautiful woman, your wife. I’m also told, quite spiritual. You know, I don’t expect you to believe me, but… I would very much like to have known her better.
Et bien sûr…
Je m’attendais presque à ce que la foudre s’abatte sur le Galactica à cet instant précis !
Je crois qu’il est de plus en plus clair qu’on s’en va en direction de deux courants : d’un côté, ceux qui acceptent de changer, ceux qui ont déjà changé, et de l’autre, ceux pour lesquels c’est inconcevable. Tout va se scinder, et ceux qui ne veulent plus avancer vont s’éparpiller. Les autres vont s’unir pour créer une grande force. Reste à savoir qui sera de la partie. J’ai terriblement hâte de voir une alliance cylons/humains. Pourvu qu’ils y arrivent, ce serait énorme.
Quant à la rencontre entre Kara et l’hybride, arf. Je pense que ça va lui faire tout drôle, à la vieille, comme l’appelle Leoben, quand son « Chosen One » va se pointer…
J’ajoute que je trouve le titre hyper bien choisi. Il me semble que la référence est une fois de plus biblique ou du moins mythologique. Emprunter le chemin le plus difficile et le plus chargé d’embûches est souvent le meilleur moyen d’accéder aux plus verts patûrages, contrairement au chemin bien tracé et recouvert de sable fin.
Il y a aussi ce poème de Robert Frost qui s’achève par ces mots : « Two roads diverged in a wood, and I took the one less traveled by, And that has made all the difference. »
Je crois que ça veut tout dire…
Bref, encore un épisode super complexe qui en raconte bien plus qu’il n’en a l’air à première vue. Je pense que la fin de cette demi-saison va être renversante. J’ai l’impression d’une prise d’élan vertigineuse. Et je dois bien avouer que dans cet épisode, la caméra de Michael Rymer aide beaucoup. Que ce soit dans la manière très tendre mais sans concession de filmer les personnages, ou dans l’ambiance suffocante du Demetrius.
Allez, la suite dans quelques jours. Je retiens mon souffle.
SCENES COUPEES
(Ajout du 21/12/2008)
Ah, on retombe dans de la grande scène coupée qui blablate et qui apporte de l’eau à mon petit moulin.
Tout d’abord, mais comment ont-ils osé nous priver des adieux de Mind!Six ??? Mais c’est une scène capitale, ça !
Elle confie quand même à Gaius qu’il est enfin devenu ce qu’elle attendait et qu’il n’a plus besoin d’elle, que d’autres veilleront sur lui. Bref, Gaius a fini sa croissance, il a enfin trouvé la foi, et Mind!Six n’en demandait pas plus.
Et c’est avec une sérénité surprenante que Gaius accueille la nouvelle. On peut même se demander si ce n’est pas lui qui la congédie.
Mind!Six : The way you are right now, that’s all I’ve ever wanted for you. But as one journey begins, others must end.
Gaius : You’re leaving me.
Mind!Six : You?EUR(TM)re not alone any more, Gaius. You?EUR(TM)ll be tested in ways you?EUR(TM)ve never imagined, but you have your faith now. There?EUR(TM)ll be other angels to help light your path.
Gaius : Thank you.
Et en le regardant s’éloigner, être accueilli par les acclamations de ses ouailles alors qu’il s’apprête à déballer son grand sermon, Mind!Six, lentement, s’évanouit, en bonne vision qu’elle a toujours été.
Ensuite, Helo et ses gonzesses à bord du Demetrius. Il n’est pas aidé, le pauvre Helo. Toujours à essayer de ménager la chèvre et le chou. (Je vous laisse le soin de deviner qui est la chèvre.)
Et là, Helo, tout comme nous, il en a un peu ras-les-sourcils que sa meuf, elle tire la tronche à longueur de temps. Même qu’il la secoue un peu pour la réveiller parce qu’elle est trop gonflante à toujours casser Kara que c’est sa potesse. Nan mé oh, à la fin.
Helo : You and me, we wouldn’t even be here if it wasn’t for her. (Good point !)
Sharon : That Kara, the one who found us on Caprica, she would’nt be drawing up plans to save a baseship. I know what the cylons are, Helo. I’ve lived their miserable emptiness, I don’t want to have nothing to do with them.
Ok, elle nous fait donc un caprice.
Et là, attention, ça va péter sa race.
Helo : You can’t deny what you are, Sharon ! (Wouhouh, Helo s’énerve ! )
Sharon : You want to know the sickest part ? This mission, as frakked up as it is, was the first time I feel accepted. No whispers, no look out for the cylon. I’m Sharon Agathon. Lieutenant in the colonial fleet.
*sigh*
Ok, n’importe quoi, donc.
Du coup, captain Agathon s’en va, tous bras à l’air (ronandidiousse, planquez le Dark Side ou il va y avoir du dégât !) voir l’autre forte tête qui, tout pareil, n’écoute rien de ce qu’on lui raconte.
Kara : I need you to look at me, Helo, and tell me the truth. What do you see ?
Helo : Someone who’s been through hell and back. Someone who?EUR(TM)s trying to find her way… find a way for all of us. We go back to the fleet, it does not mean that the search is over.
Kara : Those two months, when I was missing, I had a… a dream. Leoben was there, and my mother there, telling me things about myself, why I was here. I came back for a reason, Karl. I need to believe that.
Ok, donc pareil, laisse tomber.
Elles sont à baffer toutes les deux, mais je trouve ces deux scènes géniales parce que ça montre bien à quel point la mutinerie a dû être difficile pour Helo. A quel point il a vraiment tout essayé avec elles, surtout avec Kara, d’ailleurs, complètement dans son monde. A quel point il est juste à bout d’arguments.
Très très intéressant.
Excellent épisode ; même si on ne voit ni Adama, ni Roslin, ni Six, ni Lee… Je ferai davantage de commentaire plus tard 😉
Il est très bien cette épisode. Il m’a un peu rappeler la période dans farscape ou l’équipage était couper en deux et surtout le moment ou le second C. meurs et qu’Aeryn passe un moment sur la planète stange.
Je le savais que Leoben se pointrait a un moment ou a un autre. Et j’suis perduadée aussi qu’ils arriveront a leur but en s’associant. Je vois bien les Leoben, les Caprica et les Sharon s’associer avec les humains. Même si j’ai toujours un doute sur Athéna, comme tu dis elle est devenue trop humaine et elle me fait peur des fois.
Pendant l’épisode j’me suis posé la même question que toi, est ce que quelqu’un ici se rappelle qu’elle est un cylon et que ya pas si longtemps que ça elle était en prison.
J’ai tilté aussi quand Nikki s’est mis a pleurer quand la radio s’est arrèter, quand Gaius est arrivé dans la chambre du chief a la fin, j’aurais bien aimé voir la réaction du petit.
D’ailleurs, pour moi, depuis le début, le fait que les cylons ne peuvent se reproduire qu’avec les humains, c’était un indice sur ce qui allait se passer dans l’avenir. J’aimerais bien voir un peu Hera aussi.
As tu vu la promo du prochain épisode? tu devrais.
J’avais d’autres commentaires a faire mais j’ai pas le temps, super épisode en tout cas.
Je l’ai vue mais je n’en parlerai pas ici…
Je te trouve quand même dure avec les Démétriens. Ils n’aident pas Kara, mais Kara ne les aide pas non plus. La situation est extrême, et pour ma part, je mutinerais aussi, sans aucun moyen de croire Leoben comme coup de pouce du Destin.
Kara "pressent" le Gran Plan, the bigger picture, les autres ne l’imaginent même pas… C’est ça qui est intéressant aussi, montrer ça tout en gardant un oeil dans la réalité. Pour ma part je ne peux pas les blâmer…
Peut-être. Mais je ne vois pas ce qu’elle pourrait faire de plus. Adama s’est permis un coup de poker et aucun ne suit… Je trouve ça un peu décevant… C’est très humainement décevant… Comme si n’ayant pas eu la grâce d’être touché par Dieu, ils restaient tous gentiment sur la touche. Ce côté basique m’attriste. Ils sont en train de griller leurs dernières cartouches. Sinon, tu dis que je suis dure mais je crois que tu n’as pas compris que c’est davantage de la tristesse… Bref.
je vais plutot commenter ce que tu as dit dans ta review, comme à part ces points, je suis assez d’accord, et j’aurais pas dit mieux!!
pour tout le groupe du Bounty, contrairement à Adama, ils sont moins conditionnés pour voir le grand tableau, ils voient encore trop à leur propre échelle!! ça fait quand même un certain temps que Adama tient les destinés de l’humanité, donc il sait qu’il doit faire ce choix, laisser une chance à Kara!
concernant le choix de l’équipage, à la place d’Adama, à part Anders et Helo, c’est du casse tête!! et même les deux doutent trop pour lui faire confiance!
j’adore Mindtrick Leoben!! c’est magnifique! "I see…an angel blazing with the light of God" pour un peu, il cite la vieille hybride?!
"Anesthetizing yourself with ambrosia and empty affairs. But you’ve lost the taste for those petty things." la preuve, on l’a pas vu picoler, et le sexe avec Anders la laisse bizarre!
de l’autre côté, les FF sous l’influence de Gaius, ils évoluent chacun de leur côté, pour l’instant, je trouve qu’on a bien les trois courants : accepte, déjà accepté, refuse! et c’est d’une certaine logique!!
je me demande quand même comment il va réagir quand il comprendra pour Tory et Cally! ce qui m’étonne, c’est qu’il parle de Cottle, je crois, et que Cottle n’ait pas vu le trauma causé par la grosse baffe de Tory??!!
Disons que je ne suis pas sûre qu’ils aient été en mesure de récupérer un corps…
en effet, j’ai revu la scène, et je sais pas trop pourquoi j’ai imaginé ça?! Cottle lui a juste dit qu’elle prenait pas mal de medocs!
"Excellent épisode ; même si on ne voit ni Adama, ni Roslin, ni Six, ni Lee…"
Tiens, même pas remarqué. C’est que c’est quand même passionant, à bord du Demeteriustruc.
L’ancienne Kara me manque, la j’ai l’impression qu’elle a vraiment complètement pété les plombs.
C’est encore moi. Je m’adresse à toi car il est clair pour moi qu’une sorcière sait tout !
Qui sont les 2 BSG (Beautiful & Sexy Girls) qui encadrent G Baltar au début de l’épisode ?
Thanks !
Il y en a une (celle avec les fausses lèvres et les faux seins) qu’on a vu dans pas mal de shows, comme les 4400 et SG1, elle s’appelle Keegan quelque chose, je crois… C’est celle au moutard miraculé. L’autre, celle qui met la pâtée à Connor, je ne sais pas…
Mhhhhh t’as pas remarqué les étoiles dans les scènes dans l’espace 🙂
a74.fr/photo/galleries/pi…
Je n’ai pas les yeux partout… il faut voir quoi ? Tu l’as remarqué du premier coup, toi ? Ou tu as vu ça sur un autre site ? 😉
C’est Orion… Y’a des théories qui trainent justement sur la position de la flotte par rapport à la Terre maintenant… Mais n’oubliez pas : pensez aux chatons !
Ah oui mais on s’en tape, on sait tous qu’ils y sont, là, à la Terre. Je veux dire, ils ont le nez dessus, limite ils tournent autour depuis des semaines. Encore un niveau à débloquer et c’est dans la poche. Au boulot, Thrace !