313 : The verdict in the story
Rooooh…
Mais c’est un épisode avec plein de morceaux de namour, dedans, ça ! L’épisode typique qui vous laisse tout gloussant et comme réchauffé de l’intérieur. En plus tout commence avec un squelette contorsionniste et un fou rire de Bones.
Caroline : I did not know she could laugh.
Toujours le mot pour rire, Carolaïne !
Oh, qu’on se rassure. Ca ne va pas rigoler longtemps. L’inénarrable Caroline Julian, tewwwwible procureuse, a mis son plus joli chapeau pour annoncer que Booth et Bones ne peuvent plus travailler ensemble car le procès de papa est imminent. Et c’est un peu Booth qui a arrêté papa, donc bon. Conflit d’intérêts, tout ça.
Pareil pour les Squints qui doivent tous témoigner en tant qu’experts dans le meurtre de la grosse huile pourrie du FBI que Max Keenan est supposé avoir tué, éventré, incendié, bref. Moralité, Bones est livrée à elle-même.
De manière amusante, le plus atteint, c’est apparemment Sweets.
(Qui a réalisé le profil psychologique de Max, comme c’est intéressant. C’est moi où il est partout, Sweets ?)
Enfin, là où c’est pas mal, c’est qu’il fait quand même comprendre à Bones que son détachement vis-à-vis de l’affaire « papa » est quand même un peu louche.
Bones : I’m fine.
Sweets : If you were fine you would be balled up in a corner weeping or semi-catatonic.
(Traduction : « Toi, prends ta pelle et ton seau et lâche-moi l’hermine ! »)
Alors bon. Moi, les épisodes-procès, ça me gonfle un peu. Je trouve ça un peu longuet. C’est donc l’occasion d’observer certains trucs. Le trouble grandissant de chacun, notamment. Que ce soit du côté de Max qui regarde la Grande Faucheuse approcher de plus en plus à mesure que les preuves se font plus lourdes.
Lui qui clame toujours son innocence et qui a renoncé à la cavale pour être près de sa fille.
(Ryan O’Neal est vraiment parfait. Je n’aurais pas parié un kopeck sur lui.)
Du côté des Squints à qui ce travail passionnant n’a jamais autant pesé, eux qui sont aujourd’hui obligés de témoigner contre le père de leur amie.
Zack m’a d’ailleurs fait très plaisir en se plantant. C’est plutôt sympa de pouvoir toucher du doigt les limites de leur art.
Je ne parle même pas d’Angela, admirable, qui refuse d’intervenir et qui préfère encore passer la nuit en cabane.
Bien sûr que Bones se demande ce qu’elle a fait pour mériter une amie telle qu’elle. Personne ne mérite un amie telle qu’Angela.
Et puis il y a Russ, le frangin, dont le témoignage malheureux semble encore plus enfoncer Max, bien involontairement.
(Il faut dire qu’elle est douée, cette vieille dragonne de Caroline. Face à un grenadier pareil, pas facile de trouver une porte de sortie.)
Enfin, ça commence à sentir joliment le sapin pour Max Keenan.
Au milieu de tout ça, impossible de ne pas voir à quel point l’interdiction de se fréquenter pèse à Bones et Booth. Et vas-y que ça chuchote pendant le procès…
Les voilà séparés par le juge qui a dû les choper en train de lancer des boulettes… non ? C’est pas ça ?
Et vas-y que ça boit un café avec détachement en échangeant leurs recettes de tarte aux poires.
Jusqu’à ce que bien sûr, Booth débarque chez Bones pour en discuter. Rah, que c’est dur pour ces deux-là. Bien plus que Bones ne l’aurait imaginé. Surtout lorsqu’on découvre la véritable arme du crime chez elle.
C’est à partir de là que véritablement, l’épisode s’envole. S’il y a bien quelqu’un capable de retourner tout ça, c’est Bones. Aidée de Booth, bien sûr.
(Smouackos ? Non ? Bon. )
Hop, quelques habiles questions des avocats plus tard et voilà Bones tout aussi capable d’être la meurtrière que son père. Tout concorde. Et même qu’on nous assaisonne ça avec quelques images terrifiantes de Bones-la-tueuse.
Sacré coup de poker, pour Bones, qui n’hésite pas à tout risquer pour sauver son père. On ne l’aurait jamais imaginé au début de l’épisode.
Le tout appuyé par le témoignage de Booth, obligé par amitié de convenir que oui, Bones aurait pu avoir le temps et l’occasion de tuer la victime… même s’il sait qu’elle ne tuerait jamais.
Et puis une fois dehors…
Oh, ben voui, hein ?
Bien sûr, Max est acquitté. Fiou.
Et le long regard de Bones à son pote, à la fin, ah là là là, qu’il en dit long, celui-là.
On est encore passés à ça d’une grosse smackouille !
Bon, et maintenant que le vieux est sorti de cabane, claquez-nous un peu du gros Gormagon qui tache parce que là, je commence à légèrement m’impatienter, tout de même ! Que notre ogre adoré décide donc de compléter son tableau de chasse par un nonosse de Tempy, qu’on rigole un coup.
Je ne regarde pas Bones, mais la première photo me fait délirer. Ca arrive souvent ce genre de trucs, dans Bones ? 😀
Simple curiosité, il s’est retrouvé comme ça comment, le squelette ?
Sais plus… dans un pneu ? 😀 (Non mais on a vu plus tordu que ça, hein… Genre le cadavre liquéfié dans une baignoire de Destop, le cadavre sans os, tout élastique… et j’en passe !)
Hmmmmm une belle soirée romantique au coin du feu en compagnie d’Emily Deschannel (photo 17)…
Hors sujet, je sais, mais avouez qu’elle est toute mimi, non ? 😉
Je la trouve craquounette… Et j’adore ses beaux yeux transparents.
Chère petite sorcière, les héros de BONES ne peuvent pas être ensemble, sinon ANGELUS ve se réveiller…
Comment ça je me suis trompé de série ??? 😉
Mais si, mais si qu’ils vont être ensemble !
A la fin de la série alors et en espérant que Hart Hanson & co. aient retenu les leçons de SCARECROW & MRS. KING et MOONLIGHTING…
c’était un épisode superbe, vraiment Emily et David sont bien en symbiose, c’est palpable, et bravo à Ryan O’ Neil à mille lieux de "love story" il m’a bluffé.