422 : Lucifer rising

OH MON DIEU ! C’était quasi-orgasmique !!!

Enormément de choses étaient prévisibles (en tout cas, moi, je les avais prévues, au moins UNE absolument énorme). Mais d’une part voir ces choses-là devenir réalité, et d’autre part… ben c’est SPN, quoi, SPN dans toute sa splendeur, avec des personnages et des acteurs au sommet, de la « bromance » et des gaillards qui s’empoignent de partout, de la pouffe démoniaque… et surtout des révélations de FOLIE !

Et ça commence avec « Carry on wayward son »… Ptain, cette chanson, C’EST Supernatural !
Forcément, chair de poule dès le début et quelques « ooooh » en voyant les boys dans les bras l’un de l’autre. Dean émergeant de sa tombe m’a aussi fait sursauter. Comme quoi, je crois qu’il va falloir prévoir de revoir cette saison à tête reposée.

Et puis le « don’t you cry no more » et BLAM ! Enorme. Sont doués, quand même.

Bon, d’entrée de jeu, on a droit à du très lourd. Ilchester (!), 1972 (1972, hellloooo Mary Campbell !), couvent Ste Mary blablabla. (Décidément.)

Mais qui est donc ce brave padre qui ressemble gentiment à Roberto Benigni et qui fait pleurer les bonnes soeurs dans leur cornette ?

Azazel. Holy fuck !

Pas facile à gérer, pour moi, d’ailleurs, tellement Azazel est resté Fredric Lehne. Mais bon.

Dès lors, comme on sait faire 1+1 et qu’en plus, on s’en doutait légèrement, on comprend tout : Azazel avait prévu depuis le début de délivrer Lou (SiFaire). Et ce dès 1972, année où il a commencé à recruter sa petite armée dans laquelle se trouverait le gamin capable de briser le dernier Sceau, a.k.a. de tuer Lilith.

(Et là, vous avez le droit de m’applaudir vu que j’avais grave RAISON !)

D’où Mary Campbell, Sammy, le premier épisode… tenez, j’en ai la tête qui tourne.
Au fil de ces flashbacks, l’on découvre donc qu’Azazel a trouvé l’endroit au dessus duquel Lulu qu’il est aussi son papounet est enfermé et en liquidant de la nonne à plein sang, finit par parvenir à communiquer avec lui afin d’obtenir les modalités de son retour parmi nous.

Hop, on l’imagine bien aller ramasser ensuite Ruby… et la Lilith aussi, d’ailleurs.

Au passage, j’ai adoré cet ange qui surveille le tout.

Je sais pas pourquoi, j’ai pensé à Anna… à Mary, aussi.

Donc voilà. C’est fou d’avoir toutes ces réponses, d’un seul coup, de voir tout ça se mettre en place. Et de se dire que nos petits sont pris dans cette grande tourmente sans plus rien maîtriser.
Surtout qu’au début, chacun de leur côté, ils ont l’air tellement malheureux.

Poor babies.

Avec chacun un lourdingue sur le dos pour le secouer.

Oh oué. On peut commencer par Bobby… qui envoie du « princess » à Dean. Oh mon Dieu. J’ai hurlé. Il était plus de minuit mais j’ai hurlé. Non mais sans rire, qui d’autre oserait en moins de trente secondes traiter Dean Winchester, EL DEANO himself, de sale gosse, de petite princesse, et dans la foulée, s’en prendre à popa qui était un poltron de première ?

Bobby. Ce vieux Bobby.

Bobby : You stupid stupid son of a bitch ! Well boo hoo ! I am so sorry your feelings are hurt, princess ! Are you under the impression that family’s supposed to make you feel good ? Make you an apple pie, maybe ? They’re supposed to make you miserable ! That’s why they’re family !

Et la gueule de Dean qui est vraiment en train de se demander ce qui se passe, là.

On dirait qu’il vient de se prendre une gifle, pauvre bichou. Et c’est pas fini.

Bobby : You sound like a whiny brat, no you sound like your dad. Well, let me tell you something, your dad was a coward.
Dean : My dad was a lot of things Bobby, but a coward !?

(J’adore le visage qui se durcit aussitôt qu’on cause mal de son père. Décidément, il n’y a vraiment que lui qui a le droit de dire ou de penser du mal de John Winchester. )

Bobby : He’d rather push Sam away than reach out to him. Well that don’t strike me as brave. You are a better man than your daddy ever was so you do both of us a favor, don’t be him.

YAY ! Bravo Bobby !
Ok, c’est un peu rude et franchement, j’en ai ras le cul de voir Dean s’en prendre plein les dents à chaque fois, mais sans l’intervention de Bobby, là, je ne suis pas sûre qu’on aurait eu la fin qu’on a eue, et elle était tellement jouissive que… merci Bobby.
En plus, le vieux grizzly nous fait la grâce de ne pas crever, et même si je n’y ai jamais vraiment cru, ben j’avoue que j’étais inquiète pour lui, avec toutes ces rumeurs de trépas.

Evidemment, on ne peut pas compter sur la Ruby pour tenir le même discours à Sammy. Et même si elle l’encourage plutôt à faire connerie sur connerie, ça m’a touchée de voir à quel point le grand truc a encore des réserves sur tout ce qui est en train de se passer.
Cela dit, concernant la diététicienne de Lilith, elle est tellement flippante que personnellement, je lui aurais tanné le cuir direct.

Ouh, l’affreuse madame !

Je l’ai trouvé bon, d’ailleurs, le Jared, allant puiser dans ses vieilles mimiques de Sweet Sammy pour contrebalancer la flippe qu’il nous flanque quand il joue les tortureurs de démons.

Quant à l’autre tarte de Genevieve, ben elle est presque potable. M’enfin c’est peut-être juste parce que je me suis habituée à elle.

En tout cas, leurs scènes sont presque supportables.

C’est tout de même dommage que leur alchimie à l’écran reste aussi superficielle alors qu’entre Misha et Jensen, boaaaah. C’est insensé à quel point ces deux gars-là sont monstrueux, face à face. Dans un exercice qu’ils pratiquent quand même depuis le début de la saison, jamais on a l’impression de revoir deux fois la même scène.

J’en arrive donc à Dean, catapulté dans quelque salle d’attente céleste où les anges tentent de le faire patienter à grands coups de casse-croûtes, bibines et petites pépées.

J’ai absolument adoré les scènes de Zachariah. Cet acteur, il est monstrueux. Il arrive à mettre une tension dans cette atmosphère douceâtre, c’est génial. Et ses répliques sont d’enfer, assénées avec juste ce qu’il faut d’ironie, de fermeté et de froideur.

Zachariah : Have faith.
Dean : What, in you ? Give me one good reason why I should ?
Zachariah : Because you swore your obedience. So obey.

BOM ! Ambiaaaance ! Et le regard de Castiel. Nom d’un chien, si l’espace d’une demi-seconde il ne sait plus où se mettre, ses yeux, quand il les relève, c’est du délire.

Laissé seul, Dean en profite pour laisser un petit message à Sam, et… rah, c’est juste trop mignon, quoi. Rien à faire, ce type, il est juste… ben il est parfait, quoi. Il apprend tout le temps, il fait pas du sur-place, il avance, il surmonte, il baisse jamais les bras, et quand il le fait, un petit coup de pied au cul et ça repart. On lui a tout fait, et il est toujours là, à défier les autorités supérieures, à repousser les limites de ce qu’un humain est capable de faire… et toujours il revient vers ce grand con de petit frangin qui n’arrête pas de faire des bêtises. Même quand ce grand con de petit frangin lui a mis des mandales cosmiques dans le nez. Admirable, Dean.

Dean : Hey, it’s me, uh… look, I’ll just get right to it. I’m still pissed, and I owe you a serious beatdown, but… I shouldn’t have said what I said. I’m not Dad. We’re brothers, you know, family, and uh, no matter how bad it gets, that doesn’t change. Sammy, I’m sor… *biiiip* …rry.

Evidemment, ce serait trop beau si Sam pouvait entendre ce message tel quel. Mais cette rouchie-là, évidemment qu’elle le traficote de manière à ce que Sammy entende un tout autre discours. Elle a bien vu que le grand truc avait des petits moments de faiblesse et qu’il lui fallait un petit coup de fouet supplémentaire. Et ce petit coup de fouet, c’est forcément le frangin.
Dingue comme le fait qu’ils soient séparés, une fois de plus, leur porte préjudice.

Pauvre Sam. Ca m’a vraiment fait une peine infinie de le voir avec les yeux humides, tandis que cette hyène de Ruby…

Dean : Listen to me, you bloodsucking freak. Dad always said I’d have to save you, or kill you. Well, I’m giving you fair warning. I’m done trying to save you. You’re a monster, Sam, a vampire. You’re not you any more, and there’s no going back.

Mais pendant ce temps… oh là là, comment qu’on a droit à du lourd et comment que je suis trop CONTENTE d’avoir eu raison ! Je le sentais trop venir, et en même temps, j’osais pas croire que Kripke puisse aller si loin ! Mais si, bien sûr !
Ok, je m’étais demandée jusqu’à quel point les anges ne voulaient pas voir débarquer l’Apocalypse étant donné le mépris qu’ils semblent entretenir pour l’espèce humaine en l’état, mais avec le départ d’Uriel, je n’y pensais pas trop.
Cela dit, aussitôt que Zachariah lâche négligemment le morceau, j’ai été tellement fascinée par le jeu de Jensen, par la réaction de Dean, effondré, que j’ai presque plus rien écouté.

Mais qu’il est BON, ce garçon !

Zachariah : The Apocalypse. Poor name, bad marketing, puts people off when all it is, is Ali-Foreman… on a slightly larger scale. And we like our chances. When our side wins, and we will, it’s paradise on Earth. What’s not to like about that ?
Dean : What happens to all the people during your little pissing contest ?
Zachariah : Well, can’t make an omelette without cracking a few eggs. In this case, truckloads of eggs, but you get the picture. Look, it happens. This isn’t the first planetary enema we’ve delivered.

Phénoménale, c’te scène. J’en reste encore sur le cul.
Et Dean, effondré, qui voit tous ses espoirs balayés. Et puis Sam…

Dean : What about Sam ? He won’t go quietly, he’ll stop Lilith.
Zachariah : Sam… has a part to play. Very important part. He may need a little nudging in the right direction, but I’ll make sure he plays it.
Dean : What does that mean ? What’re you going to do to him ?
Zachariah : Sam, Sam, Sam. Marsha, Marsha, Marsha. Forget about him, would you ? You have larger concerns. Why do you think I’m confiding in you ? You’re still vital, Dean, we weren’t lying about your destiny. Just omitted a few pertinent details, but nothing’s changed, you… are… chosen. You’ll stop it. Just not Lilith or the Apocalypse, that’s all.

Uh uh uh !!! Là, La Sorcière est debout sur son lit, attendant la consécration.

Dean : Which means ?
Zachariah : Lucifer. You’re going to stop Lucifer. You’re our own little Russell Crowe complete with surly attitude. And when it’s over, and when you’ve won, your rewards will be… unimaginable. Peace, happiness, 2 virgins and 70 sluts.

Zachariah : Trust me, one day we’ll look back on this and laugh.

Baby ! I knew it ! Our little avenging angel !!!

All hail the great defeater !!!

Bon, sérieusement, et comme j’étais déjà persuadée que c’était à Sam de briser le dernier Sceau et de délivrer la bestiole, forcément, hop, double combo Alpha et Oméga, un qui brise le première Sceau, un qui brise le dernier, un qui libère Lou, un qui le tue, boucle bouclée, youhouh, j’aime pas les maths mais j’adore la symétrie, dans un récit !

Le pire, c’est que c’est méga-simple, en fait. Pas de complications ou si peu. Et pas vraiment de surprise. Juste la sensation que tout est en place, quoi.
Et comme on l’a aussi soupçonné en début de saison, God has left the building et il a laissé les clé aux cadres sup’. Bieeeen.

Bien sûr, Dean sait que s’il y en a un qui peut encore retourner sa veste, c’est Cas’. Et c’est encore un truc qu’on sentait venir depuis une bonne partie de la saison.

Castiel : We’ve been through much together, you and I, and I just wanted to say I’m sorry it ended like this.
Dean : Sorry ? It’s Armageddon, Cass. You need a bigger word than sorry.

Et mon admiration pour Dean ne faiblit pas. Je ne sais pas où il trouve la ressource de se jeter ainsi à la tête de Castiel qui pourrait le broyer en une demi-seconde, s’il le voulait.

Dean : You can take your peace… and shove it up your lily-white ass. ‘Cause I’ll take the pain and the guilt. I’ll even take Sam as is. It’s a lot better than being some Stepford bitch in Paradise.

Dean : You spineless, soul-less son-of-a-bitch. What’re you worried about dying for ? You’re already dead. We’re done.

J’ai d’autant plus trouvé géniale l’intervention de Cas’ qui retourne enfin son imper mité et qui nous flanque le Dino contre les murs.

(Et j’avoue honteusement avoir pensé : « Uuuuh, Cas’ likes it rough. » Oué, c’est bon, ça arrive à tout le monde de déraper, hein.)

Un petit coup de mojo angélique, et nous voilà débarrassés du Zachariah.

Vous avez pas tiqué quand Cas’ se coupe le bras ? J’ai trop pensé à Ruby, c’est exactement le même geste. Et en plus, c’est SON poignard qu’il donne à Dean !

Et aller trouver Chuck le prophète pour savoir où se trouvent Lilith, Sam et Ruby… ptain, c’est trop brillant.

Chuck en train de préparer l’Apocalypse en commandant une armée de call-girls, oh, non, Chuck !

Et qui peut pas s’empêcher de regarder débarquer son archange en tripotant Castiel, mais d’où ???

Bref, c’est énorme, et j’ai ri. A ce moment-là, alors que je sais que Dean est déjà en train d’essayer d’arrêter Sam, je ris.
J’vous jure.

Rah, quand Ruby se retourne, le regard échangé entre elle et Dean, ça m’a galvanisée.

Et puis Sam qui commence à rectifier Lilith et qui s’interrompt en entendant Dean hurler derrière la porte, raaaaah, c’est trop !!!

Mais la bouille, quoi !

Et trois secondes après, alors que d’un côté, Lilith se moque de lui (« You turned yourself into a freak, a monster, and now you’re not going to bite. I’m sorry, but that is honestly adorable. ») et que de l’autre, Ruby lui gueule dessus…

(C’est pas pour insister, mais j’avais quand même vachement raison la fois où je soutenais qu’il avait les yeux noirs en se servant de ses pouvoirs.)

Et ce n’est pas une surprise, Sammy tue donc Lilith. Et pendant quelques secondes, il savoure la victoire.

Et puis il se rend compte que…

Il se passe quelque chose de pas normal et…

Voyant Ruby sautiller partout, le triomphe pas modeste pour un sou, il comprend, le pauvre biquet. Ce qu’il vient de faire, et à quel point il s’est fait manipuler.

Sam : What the hell ?
Ruby : I can’t believe it.
Sam : Ruby, what’s going on ?
Ruby : You did it. I mean, it was a little touch-and-go there for a while, but you did it.
Sam : What ? What, what did I do ?
Ruby : You opened the door. And now he’s free at last. He’s free at last !

Ptain, le soulagement, l’euphorie qu’on lit chez elle… enfin elle tombe le masque alors que Sam est en phase de décomposition avancée !

Sam : No, no, no, no, Lilith, I stopped her, I killed her.
Ruby : And it is written, the first demon shall be the last seal. And you bust her open. Now guess who’s coming to dinner.
Sam : Oh, my God !

Ruby : Guess again.

Rah, you lying bitch !!!

Ruby : You don’t even know how hard this was. All the demons out for my head ? No one knew, I was the best of those sons-of-bitches, the most loyal, not even Alistair knew. Only Lilith. Yeah, I’m sure you’re a little angry right now, but, I mean, come on, Sam, even you have to admit, I’m… I’m awesome !

Blablabla, oui, tu es formidable, ma chérie. Dommage que tu t’écoutes un peu trop parler et que tu ne te rendes pas compte quand un grand frère en pétard s’apprête à t’embrocher comme une pintade !

(Oui, c’est flou, mais je voulais trop capturer son regard quand il entre pour liquider la connasse.)

Ruby : You’re too late.
Dean : I don’t care.

Le délice que ça doit être pour lui de lui enfoncer sa propre lame dans les entrailles pendant que Sam la lui tient.

So long, grognasse. Not gonna miss you at all.

Sam : I’m sorry.

Oh, mon pauvre Sammy, moi aussi je suis désolée pour toi.

Et alors là, LE big moment…

(Mo’, this one’s for YOU !)

Han là là, comment que c’est trop choupi quand, instinctivement, ils se chopent l’un l’autre, en même temps, en voyant la prison de Lucifer s’ouvrir. C’est trop adorable, ça en dit tellement long.

Dean : Sammy, let’s go.
Sam : Dean. He’s coming.

Et je jurerais… je jurerais que Sam n’a pas du tout envie de partir, en fait.

Qu’il est fasciné, même.

Contre toute attente, c’est donc sur du blanc qu’on finit cette saison.

White IS the new black.

Bref… c’était monstrueux. Quels que soient les petits travers, c’est super efficace, on sursaute, on couine, on rit, on larmoie. Quelle saison, quand même. Et à quoi va bien pouvoir ressembler la prochaine ???
Les boys en fuite, avec à leurs trousses les anges, Cas’ sur le siège arrière, Sammy maintenant en version démoniaque, Lucifer, l’Apocalypse !

Je suis ravie qu’on soit débarrassés des deux grognasses, mais je suis un peu triste pour Ruby, au fond. Genevieve Cortese n’a pas convaincu grand monde, mais je ne suis pas sûre que la Ruby de Katie Cassidy était supposée être une telle ordure. Je me pose vraiment la question…
En tout cas, c’est génial de constater que Dean et Sam se sont tous les deux fait royalement entuber. Ils sont quasi à égalité, à moins de faire la compète de celui qui a le plus déconné, il y a moyen qu’ils captent qu’ils DOIVENT bosser ensemble, s’équilibrer le mieux possible, s’écouter, même s’ils sont chacun d’un côté de la route, maintenant.
Après tout, si Sam a pu briser le dernier Sceau, c’est parce que Dean a brisé le premier. Donc bon.
Pareil, pour Dean, le passage à la caisse s’annonce intéressant. Si Sam est un démon, lui a juré allégeance aux anges. Que va-t-il se passer quand ceux-ci vont décider de le ramener par la peau de son délicieux ptit cul ?

En tout cas, j’ai hâte de le voir empaler le grand méchant Lu sur sa lance, notre Dino. Rah, c’te peinture, elle me hante. Pour mémoire, j’avais grave buggé sur l’épisode de la saison 2 où Dean s’arrête devant la peinture de Saint Michel en train de tuer le dragon… avec sa lance. J’avais eu un ptit flair sympatoche, ce jour-là.

(Oui, je me lance quelques fleurs, hein, vous m’excusez, je fais ma Ruby dix secondes… I’M AWESOME ! )

Enfin, l’Apocalypse est là. BRING. IT. ON.
Et Dean et Sammy, avec à dos tout ce qui se fait de bons ou de méchants… ben voilà, c’est extra. Et j’ai trop hâte de voir ça dans la saison 5, cet automne.

En attendant, je vais profiter de cet été pour marcher sur les traces de nos lascars à Vancouver, où est tournée la série. L’attente me paraît déjà moins insupportable rien que d’y penser !