107 : The dumpling paradox
Ah. Ah. Ca y est, La Sorcière va pleurer. Parce que La Sorcière trouve qu’il y a un personnage trop trop triste, dans cette série, et ce personnage qui me ferait sangloter des heures sur mes coussins (quand il ne me fait pas hurler de rire), c’est Howard Wolowitz.
Nan mais c’est terrible d’être aussi… eeeeeewwww… et de se croire irrésistible ! Ou du moins de faire croire qu’on se croit irrésistible ! Bouhouhouh.
(Ca vous fait pas ça, à vous ? Bande de sans-coeurs !)
En plus, il est vraiment hideux, pauvre garçon, j’ai rien contre les tronches à coucher dehors, mais là, c’est irrécupérable. Enfin du moins tant qu’il se coiffe comme ça.
Bon, on va dire que là, il couche. Ca lui coûte cher en cadeaux, mais il couche.
Leonard : Can’t you see that she’s using you ?
Howard : Who cares ? Last night she pulled off her blouse, and I wept.
Penny : Look, Howard, I know her, okay. She’ll sleep with anyone as long as they keep buying her things.
Howard : Really ?
Penny : Yeah.
Howard : Yay !
Du coup, Penny se retrouve à la rue, ou presque. Et comme il faut bien quelqu’un pour remplacer Howard lors de la soirée Halo 3 (qu’on ne saurait annuler ou déplacer, vous êtes malades, vous), eh bien zou, embarquons la Penny !
On remarquera au passage que le concept de l’abandon d’une soirée jeux vidéo pour s’envoyer en l’air échappe totalement au plus irrécupérable du groupe.
Leonard : Sheldon, think this through, you’re going to ask him to choose between sex and Halo.
Sheldon : No, I’m going to ask him to choose between sex and Halo 3. As far as I know, sex has not been upgraded to include high-def graphics and enhanced weapons systems.
Leonard : You’re right. All sex has is nudity, orgasms, and human contact.
Sheldon : My point.
(Ca donnerait presque envie de lui expliquer le pourquoi du comment par quelques exercices pratiques.)
Heureusement, Penny nous fait vite oublier cette pénible constatation.
Leonard : You know, Penny, we make such a good team, maybe we could enter a couple of Halo tournaments sometime.
Penny : Or we could just have a life.
Laaaaa mooooruuuuuue !
Moralité, Penny est à la rue. Et une fois la trépidante soirée terminée, il faut bien se rendre à l’évidence : Penny doit dormir sur le canapé de Sheldon et Leonard. (C’est là qu’on se dit qu’on va se marrer.)
Après avoir reçu les instructions de Sheldon pour un couchage de qualité optimale, extinction des feux pour la squatteuse. Et là, une des scènes qui m’a le plus fait mourir de rire dans ce début de saison…
Raj, qu’on avait tous oublié, y compris ses potes, avec son sandwich. Qui s’en va sans un bruit. J’en ris encore !
Le réveil de Sheldon m’a trop plu, aussi. Evidemment, ce cinglé-là se lève à 6h15 un samedi (hum, suis-je vraiment bien placée pour critiquer ?) et ça le contrarie beaucoup que la tête de Penny repose là où normalement il s’assied pour regarder… Doctor Who. Sans blague.
Leonard : What are you doing ?
Sheldon : Every Saturday since we?EUR(TM)ve lived in this apartment, I have awakened at 6:15, poured myself a bowl of cereal, added a quarter-cup of 2% milk, sat on this end of this couch, turned on BBC America, and watched Doctor Who.
Leonard : Penny?EUR(TM)s still sleeping.
Sheldon : Every Saturday since we?EUR(TM)ve lived in this apartment…
Leonard : You have a TV in your room, why don?EUR(TM)t you just have breakfast in bed ?
Sheldon : Because I am neither an invalid nor a woman celebrating Mother?EUR(TM)s Day.
Bref, sa matinée est gâchée. Pauvre Sheldon, comme je le comprends. J’ai moi-même dû visionner le final (fort lacrymal) de la saison 4 de Doctor Who dans ma chambre puisque mon frère ronflait sur mon canapé. Ca m’a beaucoup beaucoup contrariée.
Sheldon : I’ll watch the last 24 mintues of Doctor Who, although at this point it’s more like Doctor Why Bother.
En plus, le petit dej’ est raté. (« This cereal has lost all its molecular integrity. ») Bref, cénul.
La scène de fin est excellente aussi.
Coucou, on est là pour coucher avec vous !
Ah là là. C’est magnifique. Magnifique.
J’ai vu cet épisode 2 fois, eh bien les 2 fois j’ai hurlé de rire en revoyant Rajesh oublié dans la cuisine, parce que les 2 fois… ben je l’avais oublié aussi !!
Enorme !
Excellent épisode, y a guère que la scène un peu longuette du restau chinois qui est à zapper, le reste est délectable. Encore une fois la fibre nerd qui nous habite en prend cher (quoi que je sois pas aussi rigide que ces gensses là, j’ai pas vraiment un planning de divertissements, même si j’aime pas qu’on brouille mes plans. gnn)
Et pis Wolowitz : "When they perfect human cloning, I’m gonna order twelve of those" LOL
Je suis sur que lui il est pressé que les Cylons débarquent et qu’il y ait des Tricia Helfer par paquet de douze dans la rue 😀
Tu ne ferais pas une petite fixette, toi ? LOL
Oui, je l’avoue, je pense très souvent à Tricia Helfer en ce moment, va savoir pourquoi… LOL
Tiens, j’y pense, nos geeks de Big Bang ont "leurs" modèles de masculinité (cf épisodes à venir), mais on sait que dalle de leurs icônes féminines. Je me demande bien quel genre de femme fait frétiller des nerds aussi hardcore. Besides Nichelle Nichols of course…
Summer Glau ! Je parie que Summer Glau est sur leur liste plastifiée ! Ah, et toutes les incarnations de Catwoman ! LOL
Pinaise, mais t’en es rendue où toi ? A la fin de la saison deux je parie, hein ? 😀 Cépabien, téfièredetoi ?
ps : "i’m Batman" LOL
Ah non, je n’en suis qu’au 212 ! LOL
Euuuuuuuuuuh, je sais bien que l’on est pas sur Meeetik mais l’une des 4 qui poireautent à la porte de l’appart’ pourrait pas venir frapper chez moi ?
Knock, Knock, Knock, D.Back,Knock, Knock, Knock , D.Back,Knock, Knock, Knock, D.Back …. LOL
"Qu’y -t-il de mal à se lever à 6H30 ? même le samedi, dimanche ? "
La fin m’a vraiment fait rire au point de réveiller quelqu’un qui dormait à côté ; surtout avec le ‘Pourquoi tu as mis en pause ? – J’ai cru entendre quelquechose…’.
Sheldon regarde Doctor Who ! C’est un petit gars bien lui ^^
Nan mais le pauvre Raj je l’avais totalement oublié moi aussi…
Une semaine après avoir vu cet épisode, je tombe sur la capture de Raj’ et son sandwich, et je ris de nouveau comme une bécasse.
Atteinte, je suis.