Le Pot-Pourri très pourri… depuis le temps

Salut les gensses filles, les gensses garçons, et les gensses autres z’aussi !

Déjà, je voulais vous remercier d’avoir accueilli mon retour (sans doute éphémère, ne nous leurrons pas) avec autant de gentillerie, surtout sur Facebook, vous êtes des CHOUXES !

Ça fait quelques semaines que je rassemble des idées pour vous sortir un nouveau billet pourri, alors voici le fruit de mes intimes réflexions.

Cliquez donc !

Alors, je vous en parlais dans mon article précédent, ces derniers mois, mes obsessions tournent autour d’un type. Il s’appelle Lin-Manuel Miranda et son métier, c’est : Être de Lumière, Grand Guide Suprême de la Mignonnerie et Génie des Arts.

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C’est lui. L’équivalent humain d’un pain au chocolat.
Vous êtes plus ou moins obligés de le connaître car c’est lui qui a co-écrit la musique de Moana/Vaïana, et il sera bientôt dans Mary Poppins (wheeeeeeeeeeeee, à moi, à moi !) et dans plein d’autres trucs, autant vous dire que ça y est, l’univers a enfin reconnu son existence.
Ça fait des mois que je lui cherche des défauts, néant. (A part sa voix de canard à laquelle j’ai fini par m’attacher.)
À chaque fois, je ne lui découvre que de nouvelles qualités, ça me fatigue. Ah si : il fait de la pub pour Amex, et ça… j’avoue… eurk. Même si la pub est forcément ultra-mimi.
Bref, cet être malgré tout mirifique a écrit, composé et interprété une comédie musicale sur Alexander Hamilton, le mec qui a sa tronche sur le billet de dix dollars.

En hip-hop. Oui. Il a lu la biographie du gus, et ça a fait chboum là-dedans, il en a fait une comédie musicale toute en rap. En costumes d’époque et tout. Avec une distribution pour le moins… haute en couleurs. Genre dans le cast d’origine, y a UN fromage blanc, c’est Jonathan Groff dans le rôle du roi George III.
Donc déjà, on salue l’audace, l’ouverture d’esprit et le désir de refléter la diversité de l’Amérique moderne, d’autant qu’Alexander Hamilton était un immigrant parti de rien.

Meilleure réplique du truc.
Barack Obama a invité le cast d’origine à venir chanter à la Maison Blanche. Il y a des vidéos où tu vois le staff de la Maison Blanche qui a l’air, euh… perplexe, et Barry et Michelle qui swinguent à donf sur leurs fauteuils, et qui clairement se retiennent parce que bon, POTUS et FLOTUS, quoi !

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Enfin, tout ça pour dire que Lin Manuel Miranda est un trésor intergalactique. Donc je suis du mieux que je peux son actualité. Et là, un truc merveilleux est arrivé.

Le gars voyage en Écosse avec sa femme et…

Bon déjà, le truc en soi est drôle. Madame Hamilton est fan d’Outlander. Et là, Monsieur Outlander en personne lui répond ! Hi hi hi.

Ça aurait pu s’arrêter là, mais mondialisation oblige… réponse de Madame Outlander.

Prête à vendre Monsieur Outlander contre des billets pour Hamilton ! (Nan parce que c’est pas facile de réussir à la voir, cette putain de comédie musicale !) La boucle est bouclée, ça a fait ma journée, ma semaine, mon mois et probablement mon année : I’ll be in my bunk.

À part ça, excusez-moi mais il paraît que Patrick Stewart reprend son rôle de Jean-Luc Picard dans une nouvelle série Star Trek ?? I’LL DEFINITELY BE IN MY BUNK !
(Je n’ose y croire, franchement.)

Depuis ma couchette que je ne quitte plus, donc, j’ai décidé de me refader la Reine des Neiges parce qu’un truc, tout de même, me turlupinait sévère. Déjà, j’avais jamais vu la chose en VO, donc je voulais entendre Idina-Goddess-Menzel faire son taf. Et aussi Jonathan-Choupi-Groff qui double Kristoff. Ensuite… OK, je suis une vraie carne, mais je voulais bien écouter pour être sûre que c’était effectivement Kristen Bell qui doublait Machinette (la petite frangine de Machine). Et en l’écoutant chanter sa première chanson, là, où ça envoie du steak d’aigus, je m’exclame : « Y a pas moyen, c’est des menteries ! » (On ne m’appelle pas Sorcière pour rien.)

Du coup, je fonce sur Youtube histoire de… et là, ben mes cocos, je me suis bien faite eue. Voyez… y a des ptites fautes, ce qui prouve que c’est bien du direct, et que c’est bien Kristen Bell qui chante dans le truc, et même très très bien ! (Que je suis pas sûre que j’aurais fait aussi bien.)

(Le papi derrière qui est au max, hi hi hi.)

Et non, ils n’ont pas changé la tonalité, j’ai vérifié. (Oui, je suis une enflure.)
Voilà, j’ai de gros soucis, dans la vie, vous savez.

Sinon, comme il m’est apparu que certaines personnes ne connaissaient pas Kristen Bell avant « The Good Place », je trouve qu’il est absolument nécessaire de ressortir cette vidéo.

Ces gens ont le droit de savoir à qui ils ont à faire. Et de rigoler un bon coup. En pleurant un petit peu parce que c’est chou. Cette fille est cinglée, j’adore.

A part ça, pendant ces longs mois de coma bloguesque, j’ai eu le plaisir de découvrir l’Instagram de Mark Hamill. Alors… on ne va pas se mentir, le mec est une LÉGENDE. Je veux dire outre le fait que c’est un Jedi, chacune de ses publications me fait soit mourir d’amour, soit mourir de rire. Voilà, il est juste formidable de nature, on n’y peut rien. Et légèrement taré comme j’aime. D’ailleurs, Instagram ne s’y trompe pas et me balance toujours ses publications les plus récentes en haut de la liste. Si je pouvais les liker vingt fois, je le ferai.
Récemment, le truc qui m’a le plus fait marrer, c’est sa façon de souhaiter son anniversaire à Sebastian Stan. Je veux dire, on trouve tous (y compris Sebastian Stan) que Sebastian Stan est la réincarnation de Luke Skywalker et que si quelqu’un devait jouer, genre Luke Skywalker à trente ou quarante piges, ça devrait être lui.
Et donc…

Voilà comment me faire bramer de rire à même pas 6h30 du matin, les gars.
Blague à part, ça fait longtemps que ça dure, cette histoire de filiation.

Hi hi hi.

En parlant de familles qui voyagent dans l’espace, quand on demande à Peter Davison, ancien Docteur, beau-père de Docteur, et par le fait, grand-père d’enfants de Docteur (je sais plus, là), le truc le plus étrange qu’un fan lui ait offert, voilà ce que ça donne :

Ceux qui savent savent.
Et sinon, dites-moi que vous saviez que l’un des quatre enfants de David Tennant et Georgia Moffett se prénomme Wilfred. Vous chialez ? Ça tombe bien moi aussi.

Allez, je m’en vais consoler un peu mes verrues qui sont fort émues, et je vous fais bien des bises entre deux sanglots. Babaille !