WitchWeek (semaine 37)

Bien le bonjour chers minions !!

Bon, eh bien cette semaine j’ai été fort occupée, mais pas par des séries.
Pour faire court, je n’ai regardé en tout et pour tout que deux épisodes, mais comme il s’agit de deux séries que j’aime très fort, je vais vous en parler dans les grandes largeurs.

Si vous ne voulez pas vous spoiler les saisons en cours de Poldark et Masters of Sex, fuyez, pauvres fous.

Les autres, vous voulez du Billou et du Popol ? Cliquez, mais cliquez donc !

 

 

– Masters of Sex est de retour, yiiiiiiiih ! J’adooooore cette série. Bon, je trouve que Billou et Vivi sont devenus tout à fait à baffer depuis à peu près la saison 3, mais c’est pas grave, ça fait des mois que j’attends de voir où en sont nos deux têtes à claques, me voilà servie !
Alors par contre, apparemment, à un moment donné ils ont dû changer d’activité sans qu’on me prévienne, parce que voici le sous-titrage du « previously » chez OCS :

Mères porteuses ? Ah donc ils se sont reconvertis dans la procréation assistée ? Je ne savais pas.
(Autant vous dire que lorsque j’ai lu cette ânerie, je me suis dit que ça commençait bien, l’abonnement chez OCS.)

Bref ! Alors écoutez, bonne nouvelle : après s’être mangé un râteau STELLAIRE dans le dernier épisode de la saison 3, Billou s’est repris et va TRÈS BIEN !

Non, je déconne.
Il vit dans un hôtel miteux, est hagard, hirsute, hautement alcoolisé et ne communique plus que par des borborygmes. Ah, ben oui c’est ballot. Si comme beaucoup, il avait attendu d’être sûr d’avoir la brune avant de lâcher la blonde, ça ne lui serait pas arrivé.
Du coup, Billou est limite un peu suicidaire. Mais bon, heureusement, son accident de voiture ne lui vaut rien de plus qu’un petit procès, le retrait de son permis et le devoir de se rendre aux alcooliques anonymes.
Tout cela le fait bien entendu hautement chier et il ne se gêne pas pour le montrer.

(Non mais comme je kiffe Michael Sheen, vous z’avez pas idée.)
Pour faire bonne mesure, ce pauvre Billou – qui ne s’est pas changé depuis trois semaines – est limite obligé de casser un carreau pour rentrer chez lui essayer de se gauler quelques sapes.

Pour se rendre compte que Libby a tout fourgué au fripier du coin. Le temps de s’y rendre, un type lui a déjà piqué son veston.

Là, du coup, ça doit lui faire une sorte d’électrochoc.
Bref, Billou retourne bosser et se fait vertement recevoir par Betty qui est toujours géniale, par ailleurs, et qui a fait tourner la boutique pendant que les deux patrons étaient en vadrouille.

De retour à la clinique, Billou reçoit un couple qui connaît des problèmes de tuyauterie, et là, grand moment de billouterie :

En fait, le type kiffe les godasses et depuis qu’il est marié, ben bobonne ne porte que des charentaises donc ça marche plus.

Libby, elle, n’envisage pas encore de brûler son soutif, mais on a un bon début.

(Oh, Fig, de Orange Is The New Black !)

Quant à la jeune mariée, eh bien… le mari a visiblement disparu, et elle aussi s’alcoolise consciencieusement en solitaire dans un hôtel. Franchement, si c’était pour en arriver là, elle aurait pu rester avec Billou.
Finalement, elle décide de contacte le fameux Hugh Heffner pour lui proposer d’écrire une rubrique dans Playboy.

Et là…

(Si classe.)

Eh bien Hef lui dit OK, mais pas sans Billou. Parce que Masters & Johnson ou rien. Bien les boules.

Donc coincée. Sympaaaaa ! Non mais c’est bien, tu veux t’affranchir, faire des choses par toi-même mais non.
Grosse ambiance, donc.
Là où elle chie dans la colle, la Vivi, c’est qu’elle lui sort un truc du genre : « Non mais si on rebosse ensemble, qu’est-ce qui me dit que ça va pas être comme avant, hein ? »

Et là, Billou qui lui répond un truc du genre : « Bah en même temps, vu que tu m’as dit que tu m’aimais pas, voilà quoi. »

Allons, allons, vous allez me réconcilier tout ça, oui ???
Bon, du coup je me suis abonnée à OCS pour regarder ça tranquillement, ainsi que The Walking Dead qui revient bientôt. Avec Netflix, j’ai l’impression de cumuler les mandats, en fait ! Mais c’est pas mal, quand même. Malgré le sous-titrage approximatif et pas très professionnel, tsss tssss.

– Et puis le deuxième épisode de la semaine, c’est bien sûr le deuxième de la saison 2 de Poldark. Ouf ! Ils ne nous ont pas occis Francis ! Je vous jure, j’ai cru que c’était fini, moi ! Surtout avec l’infâme George qui fait du rentre-dedans à Elizabeth. Bouh ! Francis, c’est pas drôle, tes plans pourris, hein.

À part ça…

Rah là là, mais la détermination de Demelza prête à tout pour sauver son Popol de la corde, jusqu’à aller plaider sa cause à un juge inflexible.

Et à confronter l’infâme George qui fait tout pour que Popol soit pendu haut et court.

Et ce procès, bah bonjour le stress, franchement je n’ai pas respiré ou presque. (Alors que bon, on sait tous que si le gars est exécuté, la série s’arrête.)

Le docteur, toujours formidable.

Popol, toujours un poil agacé.

Demelza adorable et re-cloquée…

Et même Jud est un peu moins abruti que d’habitude.
Évidemment, notre Rossounet ne peut pas s’empêcher de s’animer lorsqu’il prend la parole. Au lieu de dire : « Nan mais c’est vrai, j’ai un poil déconné parce que mes gens ils ont les crocs, c’était un peu abusé et je me sens un peu merdeux même si c’était pour la bonne cause. »

Il part dans une tirade enflammée et conclut par un retentissant : « Même que si c’était à faire eh ben je le referais, votre honneur ! »
Rappelons au passage que Popol avait quand même dû fuir l’Angleterre et prendre l’uniforme parce que c’était ça ou la corde, à la base. Non mais je vous jure, il est foutu de nous refaire le même coup deux fois par saison, hein !
Bref, ça semble super mal engagé et ça s’échange des regards désespérés.

Sauf que le jury, apparemment touché par la folie, le déclare non coupable. Mais ouf, quoi !

Et là, tout ce qui me fait aimer cette série est condensé dans une petite scène, celle du retour du maître sur ses terres, avec une petite fête improvisée.

 

Trop magnifique. Simplicité, amitié et sincérité.
Hélas, clairement, dès la fin de l’épisode, on sent venir les soucis. Avec Ross Poldark, les choses ne sont décidément jamais simples. (Vous me direz, si elles l’étaient, on se ferait joliment chier.)

Voilà pour cette petite semaine. Si vous voulez savoir ce que j’ai regardé le reste du temps, rendez-vous mercredi pour un billetcinémamonothématique et pour autant très très fourni !