[DOWNTON ABBEY] 6×02

Mes petites biches, je pense que vous ne vous rendez pas compte à quel point j’aime cette série.
Un nouvel épisode de Downton, c’est toujours un instant précieux. Je dois en être à ma troisième intégrale, et je crois que je pourrais recommencer là tout de suite sans problème. Je ne nie pas les petits moments un peu mous qu’a connus cette série, mais quand c’est faiblard niveau scénar, il suffit de débrancher son cerveau et d’admirer la mise en scène, le détail dans les décors et les costumes, les cadrages soignés. Tout est si délicat et de bon goût, c’est somptueux. Et ça, je ne m’en lasse pas.

Ceci dit, je tiens à m’excuser d’avance pour cette review.
Nan mais vous allez comprendre.

Pardon !!

C’est marrant comme certains trucs restent gravés. Tenez, en voyant débarquer le type à vélo, dans cet épisode, je n’ai pas pu m’empêcher de me dire : « Le facteur : c’est jamais bon, ça ! »

Bah écoutez, là, pas de catastrophe à déclarer !
Par contre, on continue à repasser le journal du marquis. Sérieux, maintenant qu’il se sert directement dans le frigo, il peut pas lire son canard froissé comme tout le monde ??

Sinon, excusez-moi mais je suis très excitée par cette histoire de mariage. Franchement, autant le mariage de la cousine Rose, j’en étais contente parce que c’était un excellent moyen de s’en débarrasser, autant là, j’ai ENFIN l’impression qu’on a droit à un VRAI mariage ! Yiiiiih !

Et Mrs Hughes est tout simplement fabuleuse. Nan, elle veut pas se marier à Downton et toc. Tant pis si ça vexe leurs seigneuries, elle, elle veut se marier modestement, à sa façon. Et de rajouter à son fiancé dont les sourcils dansent littéralement la macarena :

Mrs Hughes : We’ll be doing it your way for thirty years, I know that well enough, but the wedding day is mine !

Yay, you go girl !!! Mrs Hughes FTW !!!

Notez qu’il moufte pas, le Carson.

Dans un autre genre, j’ai adoré la comtesse visiblement très occupée à sa broderie, qu’on dérange parce qu’une sous-merde d’aide cuisinière lui demande audience.

Cora : Quoi, cette paysanne veut me parler alors que je suis hyper occupée à broder mon torchon ? *soupir* Bon, ça va, laissez-la entrer.

Sérieusement. C’était assez sublime.

À part ça, j’ai décidé que cette review serait n’importe quoi, donc je vais passer au truc le plus important de cet épisode, à savoir : les couvre-chefs.
Et j’ai envie de dire : do it like Marigold !

Mais regardez-moi cet adorable chapeau cloche !!!

Je n’ai jamais vu un truc aussi exquis !

Bon, la mère Drewe à côté, pour une paysanne, elle ne se défend pas trop mal.
La comtesse a l’air d’avoir cent vingt ans, et Lady Mary… mmmh, peut mieux faire, je ne suis pas fan de ce marron caca d’oie.

J’ai envie de dire que visiblement, ça se refile de mère en fille, parce que Lady Edith déchiiiire ! Je kiffe le look d’Edith, cette saison, c’est un truc de malade. Cet teint de pêche, ce délicieux camaïeu de couleurs, ces gants, ce petit sac mignonnet et cette cape du dernier chic dont même la doublure est du meilleur goût… ma chérie, tou es souperbe !

La tante Rosamund, en revanche, a dû piquer le chapeau d’une clocharde endormie dans le parc, je ne vois que ça. D’ailleurs, toute la tenue est bizarre.

Le manteau, là…

N’exagérons rien.

 

Lady Mary, vexée, tente de remonter au score grâce cet intéressant galurin gris perle.

Ah si si, quand même.

Par contre, on est désolés pour Anna.

Enfin, la bonne nouvelle, c’est qu’on va nous la réparer pour qu’elle puisse nous pondre une flopée de mini-Bates.
Pendant ce temps-là, à la campagne, on se prépare pour… le salon de l’agriculture ! Youpiyoupi, allons manger du saucisson au cul de la vache !

Ouh là là, attention, c’est un festival. Papy Bob joue les enquêteurs des années 30, Georgie botte en touche avec une casquette (dégonflé), Mamie Cora n’a toujours pas capté qu’on était en 1925, Queen Marigold a tout compris avec sa frange et son camaïeux de couleurs neutres, et Edith me décevrait presque sur ce coup-là. (Et puis surtout, perdre la gosse dans la foulée, bravo, quoi.)

Aïe aïe aïe.

Les Bates devraient peut-être essayer d’échanger leurs galurins, je suis sûre que ce serait moins tragique !

Ah, là par contre, ça aurait pu être pire. Je dois dire que Thomas rocks super bien la casquette !

En revanche… je crois qu’on tient le pire du pire.

Oh là là, Baxteeeeer, mais où t’as trouvé cette horreur ???

Hum, je suis vraiment désolée !!!
Bref, pour en revenir à notre histoire, c’est que voyez-vous, Lady Mary a eu l’idée du siècle :

Aérer les enfants parce qu’ils sentent un peu la naphtaline. C’est comme ça qu’ils se retrouvent à la ferme des Drewe, les braves paysans qui ont recueilli la petite Marigold et qui sont grave dans le coup au sujet du petit accident de coucherie de Lady Edith. Oups !

Souvenons-en, la mère Drewe s’était vraiment entichée de la gosse, et ç’avait été un déchirement lorsque Edith était venue la récupérer.
En gros : il serait vachement temps que Mary soit au courant qu’elle n’est pas la seule à faire boogie-woogie avant d’être passée devant monsieur le maire.

Purée, Cora gâtise à mort !

Enfin, c’est comme ça qu’au salon de l’agriculture, on se retrouve avec une enfant en moins. Franchement, la panique de la pauvre Edith faisait peine à voir.

Cette histoire d’enfant née hors mariage était vraiment un sale plan pour tout le monde.

Pauvre Mrs Drewe qui se retrouve à devoir rendre la petite qu’elle a élevée.

Franchement pas glop, comme fin.
Mais a priori, maintenant qu’ils dégagent, on devrait pouvoir passer à autre chose.

Vivement que Marigold se mette à poser des questions sur son ascendance, tiens, ça pourrait être drôle !

Et pour finir…

Sérieusement, j’ai bien cru que la marquise allait sortir la télécommande de dessous la couette et allumer la télé à écran plat. Pour regarder les Reines du Shopping, bien sûr !

Désolée pour ce billet totalement décousu, je n’ai même pas bu ni rien, mais… trop de chapeaux, quoi !