Réplique du jour
« The leading lady doesn’t sweat, dear, she glows ! »
(Derek Wills, Smash)
« The leading lady doesn’t sweat, dear, she glows ! » (Derek Wills,...
La Suite« The leading lady doesn’t sweat, dear, she glows ! »
(Derek Wills, Smash)
« The leading lady doesn’t sweat, dear, she glows ! » (Derek Wills,...
La SuiteWoah, j’ai trouvé cet épisode génial. Il arrive pile à temps, une sorte de césure hors du temps, en plein milieu de saison, comme pour nous rappeler ainsi qu’à l’héroïne le pouvoir qu’exerce New York sur ceux qui y vivent (ou même ceux qui y passent, je peux vous le dire). D’ailleurs, Hannah elle-même résume très bien cette situation à la fin de l’épisode : « It’s like we’re all slaves to this place that doesn’t really want us. » C’est extraordinairement bien foutu. On voudrait voir ça comme une bouffée d’air frais, mais finalement, sans être caricaturée à l’extrême, on est saisi d’une sorte d’ennui gentillet face à cette province un peu trop bourgeoise, un peu trop normale, un peu trop lente sur les bords. Enfin, ce qu’il y a de bien, c’est qu’on peut toujours compter sur Hannah, en visite chez ses vieux dans le Michigan, pour ambiancer un peu le truc. Ouais, les valises, c’est trop mainstream. Hannah transporte ses effets dans un sac poubelle. Qui craque. Hannah rentre...
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