[SMASH] Billet "groupier jawohl herr General" : épisodes 104 à 107
Voilà, donc « Smash », c’est une de ces séries qu’on regarde avec passion (enfin, moi en tout cas, impossible d’en décrocher) tout en étant quand même bougrement agaçantes de partout.
Par exemple, c’est passé pendant les trois premiers épisodes, eh bien là, ça y est, Katharine McPhee me sort par les trous de nez ! Je ne peux plus blairer son côté mou de tout. Regard mou, sourire mou, gestes mous, voix mou… euh, molle. Et puis j’essaie d’être sexy et langoureuse, mais soit je finis raide comme un piquet en levant les bras devant la glace, soit je suis juste MOLLE de partout, aaaaarrrgh, beurk beurk beurk.
Vous me direz que du côté de l’adversaire, ce n’est guère mieux. Il y a la grande bouche, c’est sûr – mais euh pourquoi voulez-vous me manger madame, je ne vous ai rien fait, moi – mais c’est également très gênant d’assister à l’explosion en plein vol d’Ivy qui à force de se rencarder sur Marilyn devient littéralement Marilyn. Et pas un de ses bons copains gays pour la gifler et lui faire comprendre que son metteur en scène est un gros connard ?
Le Joker est de mon avis.
Bon, mais au moins, on sent Ivy consumée par son amour et son besoin viscéral d’être sur scène. Ce n’est pas du tout le cas de l’autre qui semble faire ça un peu parce qu’elle ne sait rien faire d’autre, et beaucoup parce qu’il faut bien se nourrir, ma bonne dame. Et ça, pour moi, ce n’est pas possible.
Pour en revenir au gros connard… eh bien, il faut qu’il arrête le gros connard. *AlerteIntermèdeChevelu*
Je lui décerne un bon 7 sur l’échelle capillaire de John Sheppard !
A part ça, je continue à pleurer abondamment devant les casse-croûtes à Times Square…
Et j’ai failli fondre en larmes devant l’appartement au 83ème étage que le Joker va visiter…
Pourquoiiiii ???
Sinon, dans la Grosse Pomme, les gens se mettent à poil devant d’immenses baies vitrées pour ensuite faire des cochoncetés adultères devant la moitié de la ville. Normal. C’est Manhattan, on est très décontractés du frifri, là-bas !
Et au passage, bonjouuuuuur.
Bon, sinon, je kiffe toujours bien Debra Messing, mais alors, son histoire d’amour contrariée est d’un BARBANT ! Mais quelle horreur !
Heureusement, entre NYC et l’ambiance studieuse du milieu, j’y trouve à peu près mon compte.
Et puis les chansons et les numéros sont vraiment bien. Par contre, c’est pas utile de faire chanter « this is a man’s world » devant sa glace à la pauvre quiche, là. Purée, la malheureuse… c’était pas aussi catastrophique que la version de la Quinn-Bitch dans « Glee » m’enfin ça n’en était pas bien loin.
Uhuhuh ça m’a fait rire et pourtant, ça fait longtemps que j’ai pas vu les épisodes ^^
J’suis plutôt d’accord avec tout ce que tu as dit sur la chose, c’est sympa mais pas trop des fois ! Après, ma vision est totalement biaisée, je l’ai vu "à plusieurs" et c’était devenu une sorte de jeu de s’enthousiasmer pour Smash alors j’ai fini la saison sur une note positive 😀
Je lui décerne un bon 7 sur l’échelle capillaire de John Sheppard !
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ses cheveeeeeeeeeeeeeeeeux !!!!
*commentaire très constructif* 😀
globalement d’accord avec toi. Le personnage de McPhee a tendance à m’énerver mais j’accroche énormément à ce voix. Même s’il y a de gros moins dans Smash, il y a tout le côté envers du décors qui est prenant. Les numéros mais aussi les aléas financiers, les auteurs et la page blanche et aussi tout un vocabulaire que je ne connaissais pas.
ça reste un plaisir. A voir ce que donnera la saison 2 avec une autre personne au commande. J’espère que ça ne sera pas une déception comme Glee l’a été à la reprise de la saison 1
PS : ne faudrait-il pas plutôt utiliser l’échelle capilaire de David capillairevu la nationnalité du monsieur ? 😉
John Sheppard fut le premier, il est donc MA référence, tout comme Mohinder Suresh est la référence en matière de bouletude ! Il faut des repères fixes, sinon on ne s’y retrouve pas, ma bonne dame ! LOL