[MERLIN] 407 : The secret sharer

Ah bon ?

Oh… mon… Dieu. Dites, vous êtes sûrs que c’est du bon Arthur Pendragon qu’on parle depuis le début ? Vous êtes sûrs qu’on ne s’est pas plantés et qu’en fait, il y a quelque part un AUTRE Arthur Pendragon qui attend désespérément qu’on vienne lui annoncer qu’il est l’Elu ??? Un qu’on aurait raté, un vachement intelligent et vachement moins blond qui comprendrait tout tout de suite tout ce qu’on lui raconte ? Un qui au bout de deux jours prendrait Merlin à part pour lui dire : « Dis donc, mon mignon, tu serais pas un peu sorcier, des fois ? » Un qui flanquerait Tonton dehors à grands coups de pompe dans le cul ? Un qui demanderait à ses chevaliers de passer un test de QI avant de les accueillir autour d’une table de forme circulaire ?
Non parce que là, c’est pas pour balancer mais… OH MON DIEU ARTHUR, C’EST PLUS POSSIBLE !!!

Et c’est pas tant qu’il soit bête que le fait qu’on ne voit pas bien comment d’un seul coup, ça pourrait s’arranger !

Enfin, rassurons-nous. Arthur n’est pas le seul à être complètement idiot… les autres aussi ! Un vrai festival !

Nan mais sérieusement. J’adoooore cette série, elle me rend gaga et je suis prête à tout lui pardonner parce qu’elle me fait rêver et qu’elle réveille chaque semaine la petite fille de dix ans que j’ai été, tout en faisant plaisir à la femme que je suis aujourd’hui. (Hello, shirtless knights !)
Mais entre deux crises d’aveuglement, reconnaissons quand même que les scénaristes, des fois, ils se montrent un poil méchants envers les personnages dans le but de faire avancer leur intrigue. Je sais que tous ces braves sont très gentils et bourrés de bonnes intentions, mais… on dirait quand même qu’ils ont tous été lobotomisés. Evidemment, du haut de mon Olympe de spectatrice, c’est facile d’aller chercher le bonnet d’âne parce qu’Arthur ne voit pas l’évidence. Finalement, est-ce qu’à sa place, je la verrais, moi ? J’en sais rien. (Quoique. Au loup-garou, je déchire.)
Une chose est sûre : de là où je suis, c’est extrêmement déplaisant !

Enfin bref. Malgré ça, pour reprendre une formule chère à un de mes odieux confrères : spoilons, mes amis, spoilons !

Bon. Vous êtes tous d’accord pour dire que Tonton est dans une mouise gratinée. Etre méchant, c’est mal. Mais être méchant tout en étant amoureux d’une Connasse qui ne sait même pas que vous existez, c’est… pathétique.

Et flippant.
Décidément, Tonton a tout faux.
En même temps, s’il n’était pas raide dingue d’elle, on ne voit pas bien ce qu’il foutrait là. Déjà que tous les « alliés » de Morgana font défection à la dernière minute soit parce que « Ah ben désolée, Arthur est trop sympa, je ne peux point l’occire » ou parce que « Ah, au temps pour moi mais tuer Emrys ça va pas le faire, je rejoins ses rangs, allez, tcha-tchao », si Tonton Agravain avait toute sa tête, en tant que Main d’un Roi que tout le monde adore, mais qu’est-ce qu’il irait se faire chier à cavaler dans les fougères avec une hors-la-loi ? Pour aller devenir Main d’une Reine que personne ne peut blairer ? Mais lol !
Du coup, cette inclination me le rendrait presque sympathique tellement c’est n’imp’, son truc !

Bon mais à force de lui caresser le visage, Tonton a réussi à rendre un semblant de vie à la Witch qui, sautant sur ses pieds, décide qu’il est temps de régler son compte à Emrys parce que ça commence à bien faire, les cauchemars.
D’ailleurs, elle est tellement bien rétablie que la voilà cavalant à toute blinde jusqu’à un magnifique fond vert château pour aller se faire tout plein de nouveaux copains !

(Morgana’s evil face n°1457.)

Cette grosse maligne-là va donc demander à un certain Alatar de Catha, lui-même magicien, de l’aider à zigouicher Emrys en soutirant des informations à Gaius, sans penser qu’à un moment donné, ça risque de le faire chier de se mettre à dos le plus grand sorcier de tous les temps.
Effectivement, je pense qu’on peut affirmer que Morgane est bien la frangine d’Arthur… ils ont décidément autant d’esprit l’un que l’autre !

Et la valse des guests continue puisque cette semaine, nous accueillons le papa de Billy Elliot ! Bonjour, mon brave !
Bref, la Connasse se paie les services de ce monsieur en échange d’un peu de quincaillerie.

J’ai bien aimé le parallèle avec la scène qui suit, où Arthur joue lui-même avec sa propre quincaille. Très joli. Mais ça, cette saison, point de vue visuel, on est gâtés. C’est super bien soigné, un pur délice pour les yeux.

J’aime !

Alors, notre Roi, comment qu’il va ? Oh ben pas très bien. Que voulez-vous, on vient le tirer du lit à 11h passées du matin pour qu’il aille faire son boulot de roi. Merde, sa grasse mat’ est foutue, quoi !

Arthur, tu es si sexy…

Mébiensûr.

En fait, j’ai compris. Vous allez voir c’est tout simple. Si, si, je vous jure, regardez plutôt : les scénaristes font un CONCOURS ! Mais oui, c’est une évidence ! Et ils comptent les points. Dix points pour un sous-entendu, vingt-cinq points pour Arthur torse nu, cinquante pour Arthur à oilp, soixante-quinze pour une allusion au fait de polir une épée, cent points pour un échange de regards intenses, cent cinquante pour des papouilles… inutile de dire que Lucy Watkins qui a écrit l’épisode précédent a touché le jackpot avec la fameuse accolade la semaine dernière !

D’ailleurs, sur quoi porte l’urgence du jour ? On vous le donne entre mille : le polissage.

Arthur : I don’t know anything about polishing !
Merlin : Fortunately, I do !

Sans blaaaaaague !

Et vous me remettrez cent cinquante points pour les papouilles totalement inutiles et néanmoins indispensables !

Normal, quoi ! Moi, je fais ça avec toutes mes copines, surtout quand elles sont à moitié nues. Quoi ? Pas vous ???

Et bien sûr, Arthur n’en finit pas de se saper.

Rah, il m’énerve mais… quand il veut, il peut être sacrément canon, tout de même.

Hum. J’en étais où ? Ah oui ! Tonton. Toujours très fin, Tonton vient donc rappeler à Arthur que… hello ? Traître ? Gaius ? Il se souvient, le cher souverain ?
Enfin ce qu’il y a de bien avec Arthur c’est que plus tu rappliques avec tes gros sabots, mieux ça marche !
On se retrouve donc avec une convocation un peu gênante aux entournures. Et là, notre grand roi brille par son assurance et son courage.

Trop la classe, Arthur. TROP. LA. CLASSE.

HOOOONTE, ARTHUR PENDRAGON ! HONTE SUR TOI !!!

Honnêtement, je ne sais plus comment l’excuser, moi. En plus, j’ai sincèrement de la peine pour lui, parce qu’il doit se sentir bien seul et s’en poser, des questions, juché sur ce fauteuil encore un peu trop grand pour lui.

Mais putain, il est quand même très con !
Mon petit Arthur, je vais te donner un conseil qui fonctionne super bien au loup-garou. (Ben quoi ?) Ecoute ton instinct. Si ton instinct, il te dit que c’est ton voisin de gauche qui est loup-garou… CRAME-LE CASH ! Mais si ce voisin t’assure que non, c’est ton voisin de droite… ben réfléchis avant de le condamner d’office !

Figurez-vous qu’il y a pire. C’est que Merlin aussi est temporairement victime de cette étrange maladie débilitante. M’enfin mon petit Merlin, c’est quoi cette faiblesse passagère ? Puisqu’on te dit que Tonton est de mèche avec la Connasse, il faut se montrer un peu plus prudent !

A fortiori quand le Tonton en question te balance du sourire mielleux en veux-tu en voilà !

Mais non, ce petit serin se ramollit totalement aussitôt qu’il est question d’offrir un beau cadeau à son bon ami. AU SECOURS, ils sont tous complètement demeurés, c’est la fin !

Forcément, le gamin occupé à « polir » le présent destiné à Arthur, hop, organisons en douce la fuite de Grand-Papy, ce qui ne fera que renforcer les doutes d’Arthur et permettra de le faire disparaître on ne peut plus discrètement. (Les fins stratèges que voilà !)

Bon mais rigolons un dernier coup au moment où retentissent les cloches qui annoncent la disparition de Gaius.

« – Euh, salut, kestufous là, exactement ? »
« – Oh rien, je te matais en train de dormir. »
« – Ah. OK ! »

La chance qu’ils ont dans c’te série, c’est qu’il y a certaines scènes qui rattrapent pas mal le reste. Et je dirais que celle qui arrive en fait partie, principalement grâce à Colin Morgan et à sa tronche d’ours en peluche, pour changer.

« Blablabla, tout s’explique, blablabla Gaius sorcellerie, blablabla l’avais dit, blablabla suis trop merveilleux et trop intelligent. »

Là-dessus, Tonton quitte la salle à longues enjambées viriles, et Merlin, il ne tourne même pas la tête vers Arthur, il ne lui claque pas une grosse scène ni rien, il reste de marbre, se contentant de lâcher un simple mais hautement accusateur : « How can you believe this ? »

Pauv’ choupi…
Non mais c’est vrai, quoi. Comment il peut croire ça ?

Merlin : He would not leave without saying goodbye to me.

Ca me crève le coeur. Et ça saute aux yeux que c’est la même chose pour Arthur.

Merlin : Agravaine has made this story up.
Arthur : I shall ignore that last comment.
Merlin : Because he?EUR(TM)s your uncle you will not see who he really is.

Arthur : Merlin ! I?EUR(TM)ve had my heart broken enough already today, I don?EUR(TM)t want to lose another friend.

Arthur : Gaius condemned himself. There’s no more to be said.

Nan mais ce môme. Il joue tellement bien que je le trouve de plus en plus beau !

En tout cas, chouette petite scène de ménage, bien glaciale. Arthur est visiblement très contrarié de voir Merlin aussi bouleversé, mais bon. Et Merlin est visiblement désespéré par la connerie de son mari roi… mais bon.
Ce qui est exaspérant, c’est qu’une fois de plus, Arthur n’y voit mie. Comme toujours, c’est à Merlin de se démerder. Et comme toujours… cela a tendance à me fatiguer.

Enfin bref. Raccrochons-nous au fait que… Colin Morgan, quoi.

Toi, mon petit, la caméra t’aime.
Et célébrons le fait que cette semaine, Guenièvre ne passe pas son temps soit à faire les lits ou à porter des cruches, voire à éponger le front d’un malade.

Pauvre bichon qui espérait que ce soit Gaius !

Pareil, ça m’a agacée, ça. Oh ben tiens, au fait, rappelez-vous, Gwen et Merlin sont amis ! Oup… vous aviez oublié ???

Enfin ça ferait presque plaisir… si Merlin ne nous claquait pas dans la foulée une AUTRE boulette grossière alors qu’il est en train de farfouiller dans les appartements de Tonton.

Très bonne initiative, on ne dira pas le contraire. Mais tout de même. Mon petit Merlin. Tu captes Tonton dans le miroir et tu ne te dis pas qu’il risque de faire de même, pour un peu qu’il n’ait pas tout à fait la tête dans sa chemise ?

(Mes amis, nous avons échappé de peu à un strip-tease tontonesque !)

Ca me SO?>LE qu’on fasse avancer l’intrigue à coups de boulettes des uns et des autres !
J’allais dire heureusement que Gauvain et ses cheveux débarquent pour venir soutenir le gamin.

Pareil, je l’aime beaucoup et je suis bien contente qu’on le voie un peu plus dans cet épisode… m’enfin le gars, il est capable d’identifier de quel endroit provient la terre rapportée par les bottes de Tonton et n’est pas foutu de voir qu’il se fait balader en le chopant penché sur le vieux avec un surin à la main ??? Et quand un ennemi se met à voltiger devant lui, il ne se pose pas trois secondes la question de savoir comment c’est possible ? Ca fait beaucoup, ça, mon petit Gauvain ! Il va falloir te dépêcher d’être formidâââble, toi aussi !

Bon mais pendant ce temps, figurez-vous que du côté de Grand-Papy, ça ne va pas bien fort. A vrai dire, il se fait même copieusement asticoter par la Witch et son compère.

C’est pas tout ça, mais il serait temps de divulguer la véritable identité d’Emrys, sinon, ça va sentir le grillé.

Pauvre Grand-Papy. Même sa magie ne peut pas grand-chose contre un truc pareil.

Je râle, je râle, hein… mais quelle performance de Richard Wilson. Il met tout le monde d’accord.
Au bout d’un moment, le pauvre Gaius finit donc par avouer. Par chance, à ce moment-là, la Connasse est partie pisser ou un truc du genre. C’est donc en tête-à-tête avec le monsieur écossais que la confession a lieu.

Gaius : His name is… MERLIN.

Aïe.

Gaius : For the Druids, legends are true. Merlin is Emrys. A man destined for greatness. A man who one day will unite the powers of the old world and the new. And bring a time that the poets speak of. A time of Albion.

Je vous jure, s’ils nous foirent l’avènement de Merlin, je fais un SCANDALE !
Là-dessus, le gars Tonton, ayant compris qu’il allait sous peu se faire calculer, décide de faire disparaître Grand-Papy histoire d’être tranquille. Sauf que…

« Hé mec, WTF ??? »

« Plaît-il ? »

« Ah oui, mais non, pas du tout ! En fait, c’est pour tester le dernier rasoir Gillette et ses 72 lames, pour nous les hommes ! »

« …. OK ! »

Bon, restons calme.
On va dire pour sauver l’honneur de notre Sir Gwaine qu’en fait, il doute très fort dans le dedans de lui mais que ça la foutrait mal d’équarrir le Tonton d’Arthur et qu’il se rattrapera plus tard. D’accord ?

Pendant que Sir Nunuchon et Tonton Agaga nous évacuent l’ancêtre, la Connasse, elle, est très contente d’avoir chopé Merlin.

Et fait un peu mumuse parce que vous comprenez, elle ne va pas se priver.

Sauf que là, au moment où elle demande à son « complice » de lui dévoiler l’identité d’Emrys, le gus, en regardant BIEN DROIT Merlin dans les yeux, déclare que oui, il sait qui c’est…

… mais que non, ça ne l’arrange plus trop de tout déballer. Sur ce, salut.

Pareil, jamais on l’avait vu venir.
Et l’autre sotte ? Le mec il fait tout son speech quasiment assis sur les genoux du môme et même pas ça l’effleure ? Doux Jésus, que ces gens sont des BUSES !

Enfin bon, au moins, Merlin en sort grand seigneur, de cette histoire. Non parce que le coup du gars qui s’agenouille devant lui… ah oui, ça fait très très plaisir !

Alatar : For I and others like me have dreamt of the world you seek to build. And we would gladly give our lives to help you do it.

Ca claque !

Allons, gamin, ne fais pas ton modeste !

Ce qu’il y a de bien aussi, c’est que la Witch continue à se faire tout plein d’amis ! C’est chouette, ça ! Ca va trop se bousculer à son goûter d’anniversaire !

Sur ce, rentrons donc à Camelot !

? » escalier bien-aimé !

Nous avons donc couché pépé et… devinez qui lui passe un linge humide sur le front ?

Tout va bien, je respire, je ne suis que calme et sérénité.

N’empêche que la dernière scène est vraiment super chouette. Quand vous laissez à Richard Wilson l’occasion de déchirer, même allongé sur une paillasse, il ne se gêne pas pour le faire.

Et je soupçonne Colin de kiffer à mort.

Gaius : I?EUR(TM)m ashamed.
Merlin : Why ?
Gaius : Your secret. A secret I thought I?EUR(TM)d protect with my life. (Aaaaaaawwwww.)

Merlin : Gaius, you could have died.
Gaius : What if Morgana had found out ?
Merlin : She didn?EUR(TM)t. She didn?EUR(TM)t count on Alatar?EUR(TM)s true loyalties.

Gaius : I worry that one day I?EUR(TM)ll let you down. (Aaaawww, Gaius, tu as déjà tellement fait !)
Merlin : My worry is Arthur.

Ouais. Ben y a de quoi s’inquiéter en effet !
Moi, j’avoue, devant cette scène, je me suis dit que si Grand-Papy venait à tirer sa révérence, ce serait affreux.
Et ce sera probablement le cas avant la fin de la série.

Arthur : I think I owe you two an apology.
Merlin : Not to me. To Gaius.

Allez hop, une ou deux blagounettes histoire de s’assurer qu’on est tous bien réconciliés.

Le petit échange de regards : « A tout de suite, ma biche, déshabille-toi j’arrive. »

Et là, LA scène. Nan parce que c’est quand même dégueulasse de nous avoir vendu cet épisode comme celui de la révélation à Morgana. Franchement dégueulasse. Finalement, ça ne fait en rien avancer le schmilblick, si ce n’est que Merlin gagne un allié là où la Witch en perd un. Mais CETTE scène… oh là là, qu’elle est importante. A condition bien sûr que cette énooooorme truffe d’Arthur Pendragon ouvre bien grand ses esgourdes. Je ne veux pas m’avancer, mais j’ai l’impression que ça atteint le cerveau.

Et on peut certainement reprocher bien des choses au roitelet, là, il est quand même adorable dans sa façon de questionner Grand-Papy au sujet de la mort d’Uther.

Arthur : There’s a matter that still concerns me. When you were asked about the sorcerer who killed my father, you lied.
Gaius : I did, Sire.
Arthur : You admit it ?
Gaius : I chose to protect him. I feared you would seek him out and execute him. That would have been a grave mistake. The sorcerer did not kill your father. He tried everything in his power to save him.

Gaius : Contained within this great kingdom there?EUR(TM)s a rich variety of people with a range of different beliefs. I?EUR(TM)m not the only one seeking to protect you. There are many more who believe in the world you are trying to create. One day you will learn Arthur. One day you will understand just how much they?EUR(TM)ve done for you.

CLAP CLAP CLAP.

Alors moi, hyper émue genre au bord des larmes, merci Richard Wilson. Et regardez la tête du prince roi qui est train de se dire : « Attends, là… il parle de qui ? De Tonton, c’est ça ? J’ai bon ??? »

Nan, j’déconne. Evidemment, je n’ose imaginer qu’il puisse d’ores et déjà se dire que peut-être, Merlin, blablabla… mais je pense qu’il a quand même un petit déclic, à cet instant précis. Enfin j’espère. Parce que sinon, on ne peut plus rien faire pour lui !

Voilà. Donc tout cela était assez agaçant !
Les incohérences, OK, je peux faire face, après tout, c’est « Merlin ». En fait, ce que je ne supporte pas, ce que je suis incapable de pardonner, c’est qu’on rende ces personnages que j’aime tant aussi inintelligents. Il doit bien y avoir un moyen pour qu’ils boulettisent sans avoir l’air de débiles légers, non ? Je veux voir Arthur douter, se poser des questions, je veux voir Gauvain réfléchir, Gwen se creuser les méninges et Morgana – qui a largement le temps de le faire – se regarder dix secondes et voir ce qu’elle est devenue. Cette unidimensionnalité est vraiment contrariante.
Du coup… autant en rire, ma foi !