[FRINGE] 401 : Neither here nor there
Eh ben voilà ! Très bien, cette reprise !
Déjà, pour commencer, je suis très fan du générique couleur ambre qui symbolise désormais l’association des deux mondes. Comme c’est futé !
Ensuite, je dois bien avouer que… hem… le petit Bishop ne me manque pas du tout. Ca tombe bien, il ne manque pas non plus aux autres personnages puisque pour eux, il n’a jamais existé !
De toute façon, il faut reconnaître que sans être là, il est tout de même omniprésent, d’abord par ses petites apparitions fantômatiques…
Arf.
Ensuite parce qu’on se répète en permanence : « Ca n’est pas pareil parce que Peter n’a jamais existé. » Et enfin parce qu’on tire un parallèle (parfois un peu relou, d’ailleurs) avec l’intrigue du jour qui, par chance, nous ramène l’agent Lincoln Lee au premier plan. Youpi !
Hnnnggggg, j’adore ce personnage ! Je crois que c’est un peu lui qui fait que Peter ne me manque pas le moins du monde. Il commençait d’ailleurs à un tout petit peu me gaver et je trouve que sur la fin, Josh peinait à assumer la dimension « prophète » de son personnage.
Du coup, c’trop bien, je suis ravie !
Comble de joie, son partenaire c’est… SHEPPI !!! Mais oui, Joe Flanigan, toujours équipé de sa merveilleuse paire d’oreilles pointues 100 % d’origine naturelle, et de son indomptable chevelure !
Quand je pense qu’à l’époque de « Stargate Atlantis », apercevoir l’elastique de son caleçon me comblait d’aise… regardez un peu comment on me le sert sur un plateau, aujourd’hui !
Oh, bonjour caleçon bleu de Sheppi, bonjour !
Bon, hélas, pas de bol pour Sheppi, il se fait un peu canarder au bout de trois minutes. Franchement, c’est pas très sympa. T’as un chouette guest voyageur de l’espace avec l’oreille frémissante et le poil brillant et tu le flingues d’entrée de jeu ? Fringe, Fringe, Fringe… viens là que je t’explique deux trois bricoles.
Ce qu’il y a de bien avec Seth Gabel – et on en a fait l’expérience la saison dernière Là-Bas -, c’est qu’il fait super bien les yeux du bon copain tout triste. Même si Ici, il est quand même affublé d’une fameuse paire de binocles.
La perte de son partenaire va péniblement réveiller certains trucs chez Olivia qui ne sait pas bien pourquoi, mais s’identifie quand même pas mal à ce qui arrive au pauvre loulou.
Olivia : There is no one else, there is just me.
Puisque je parle de la blonde, attention. Il va me falloir ma dose hebdomadaire de « Olivia et FauxLivia font un brin de causette » parce que franchement, c’est à hurler de rire. On croirait qu’elles sont à deux doigts de s’entrégorger à chaque seconde !
Qu’est-ce qu’on rigolerait si en plus, elles se souvenaient qu’elles se sont tapé le même mec !
Et en plus, c’est qu’elles s’envoient de ces joyeusetés dans les gencives !
Olivia : If you can’t trust the people you’re dealing with, what then ?
FauxLivia : You know, maybe I’m not the problem. Maybe it’s you. Maybe you are just incapable of trust.
Olivia : Interesting. Coming from the person who kidnapped me and stole my life. You know, being you and living your life only made me more homesick for my universe.
Je les adore ! Il faut qu’elles traînent ensemble plus souvent. Pourquoi pas un peu de shopping, par exemple, ou du yoga ? Ou une petite virée à la plage ?
D’ailleurs, notre Olivia, je ne c’est pas si je me fais des idées ou quoi, mais je la trouve vachement plus mordante, notamment à l’égard de Lincoln qui est pourtant tout mignon et qui pourrait faire un bon partenaire dans la Division Fringe.
Vous voyez ? Il tient déjà les pigeons mort de Walter !
Pour en revenir à Olivia, effectivement, si elle n’a pas eu l’occasion d’entreprendre le cheminement émotionnel qui a accompagné l’entrée de Peter dans sa vie, ça ne doit pas être très drôle de vivre dans ses pompes.
Lincoln : I’m coming with you.
Olivia : You keep going like this and you’re gonna talk yourself out of the Bureau.
Lincoln : I was at the first crime scene. Maybe I saw something that I haven’t told you yet. Maybe that’s why I came here.
Olivia : Okay, come. You can get fired later.
Bim !
C’est sympa de renouer avec la vieille formule – des enquêtes autour d’évènements paranormaux, ici, le retour des très classiques métamorphes – mais cette fois, dans le cadre d’un travail commun entre les deux univers, et sans Peter. Un véritable reboot qui donne l’occasion d’explorer de nouvelles dynamiques en revenant sur certains évènements qui ne se sont jamais produits et en intégrant un « nouveau » venu fortement plébiscité par le public l’an dernier. Honnêtement ? Je trouve que ça fonctionne à merveille et ce qu’il y a de bien, c’est que les possibilités sont infinies.
Et pourtant, qu’est-ce que ça m’avait fait râler, cette histoire de disparition.
En tout cas, ils ont intérêt à ne pas foirer l’intervention de Seth Gabel parce le personnage de Lincoln, de ce côté-ci comme de l’autre, a vraiment du potentiel et ce dans tous les registres. J’aime beaucoup son association avec Olivia et même si le parallèle entre leur histoire paraît parfois un peu forcé (une ou deux allusions auraient suffi au lieu de ce matraquage), ça fonctionne au poil.
Lincoln : We were partners for five years. He was like family. Something I never thought I’d find.
Tiens, tiens. C’est là qu’on se dit que Là-Bas, c’était quand même sacrément la rigolade, pour les agents de la Fringe Division !
Et en plus, Walter, quand même pas mal perturbé, se sent obligé d’en remettre encore une couche.
Walter : I don’t think there’s anything sadder than two people that are meant to be together and something that intervenes.
Ouais, ouais, bon bof. Perso, ça ne me choquerait pas qu’Olivia se console avec le binoclard. Après tout… Peter n’a jamais existé !
En attendant, notre ami Observateur, lui, semble plutôt perplexe. Le petit Bishop était censé avoir été totalement éradiqué, or, il continue à se manifester de-ci de-là. Voilà qui est étrange voire singulier.
Et il semblerait que Crâne-d’Oeuf n’ait pas très envie de régler ce petit problème d’apparitions.
Quant à Lincoln, après avoir abattu la copie de son pote, c’est fort logiquement qu’il fait son entrée dans le saint des saints.
Et il n’est pas au bout de ses surprises, ce petit mignon !
En somme, un chouette début de saison, pour moi… il va VRAIMENT falloir que je m’attelle à la suite !
Bon, hélas, pas de bol pour Sheppi, il se fait un peu canarder au bout de trois minutes.
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comme j’ai fait des bonds en le voyant ! The raison (avec McKay) qui m’a continuer Atlantis jusqu’à la fin. Sauf que partenaire avec Lincoln + enquête = je me suis dit que ça sentait le sapin pour lui. Je pensait pas que ça arriverait aussi vite.
Franchement une bonne reprise. J’aime bien voire la différence avec et sans Peter. Olivia n’est effectivement pas sortie de sa carapace et ressemble plus au glaçon de la saison 1. Mais elle n’est pas la seule affectée, Walter aussi. Même s’il n’avait pas un rôle majeur dans la résolution des enquêtes, Peter gérait très bien son père.
Fringe ne me déçoit pas, ça fait plaisir de voire une série qui ne s’essouffle pas
En espérant qu’elle tienne jusqu’au bout et que la FOX ne lui coupe pas la tête.
Oui excellente reprise évidemment.
Ouais, bonne reprise.. Bon par contre, sans trop spoiler, peter va finir par revenir 🙂 (heureusement pour la santé mentale de son père).
Les scénaristes ont bien sus se renouveler, reste à voir comment ils vont gérer ce "nouvel univers" et ce que va engendrer le retour de peter..
Oui bon retour de Fringe, mais juste une précision, le nouveau générique n’est pas pour la coopération entre les 2 mondes , mais pour l’absence de Peter, c’est les producteurs de la série qui le disent.
Ah tiens, c’est marrant, ça, je n’aurais pas cru !
la même , j’ai cru pareil au début mais bon comme quoi, donc à mon avis le générique va changer bientôt ^^
J’ai commencé cette série grâce au titre du billet du Dark Side sur la dernière saison. Parce que bon, des séries qui finissent en beauté, ça ne court hélas pas les rues! Bref, quoiqu’il en soit je suis comme une fangirl devant son idole depuis deux semaines. J’aime, j’adore, j’en veux encore, j’en redemande. Outre John Noble, qui est quand même… John Noble, quoi, je trouve cette série parfaitement équilibrée entre le monstre de la semaine, le fil rouge et l’exploitation des personnages (Walter! et la relation Peter/Walter *o* Et Peter/Olivia(s) qui est mignonne sans partir dans le niais [même si j’ai été déçu que la ficelle d’hésitation entre les deux Olivia ait été donnée pour ne pas être exploitée plus tard]. Les scénars sont bons, tiennent la route, on a droit à quelques épisodes où les scénaristes fument (le coup de l’histoire de Walter à Ella… j’me suis bien marrée), bref, c’est de la SF comme je l’aime.
Sauf que voilà, depuis la fin de la saison 3, je suis quelque peu perplexe… Outre le fait que l’idée de la machine ne m’a pas emballée (et je vois que je n’étais pas la seule) J’ai déjà pas compris pourquoi Peter a disparu (enfin, l’Observateur l’a laissé se noyer, ok), mais surtout je comprends pas comment le pont des univers peut exister sans lui. Car sans Peter, Fauxlivia ne tombe pas enceinte, donc Walternate ne peut pas utiliser Bébé Henry pour activer la machine, donc Peter ne peut pas créer le pont entre les mondes… Qu’on choisisse la théorie de la boucle temporelle (comme pour la machine) ou du changement du passé, ça ne tient pas la route. Va-t-on avoir une explication plus tard, sorci? 🙂