[DOCTOR WHO CONFIDENTIAL] 613 : When time froze
Voilà donc notre dernier Confidential ?
Pauvre spin-off, sacrifié sur l’autel de l’austérité. Remarquez que si les économies de la Beeb servent à produire des trucs tels que « The Hollow Crown », d’un seul coup ça passe beaucoup mieux !
Tout de même, je me demande comment on va faire pour entraver quelque chose aux épisodes maintenant qu’on n’aura plus les explications de texte de Tonton Steven en personne.
Vous me direz que si c’est pour entendre ça !
Ici, par exemple, c’était quand même vachement bien d’avoir toute la timeline de River dans son sens à elle, racontée à la première personne. De sa naissance à sa mort. D’un seul coup, en effet, tout paraît beaucoup plus clair !
« But that man, that impossible man never stops. The Doctor saved me, preserving me in a computer, and all my glorious memories of the Doctor live on because just sometimes, everybody lives. »
Et puisqu’on la tient, la River… écoutez, cette Alex Kingston, c’est pas possible. Et vas-y que Matt Smith trop bien il drague avec un seul oeil, et vas-y comment que trop bien il embrasse… hé hé hé. Quelle jeune femme divertissante !
Et ils ont l’air de bien s’amuser, malgré leur différence d’âge. Tout ça était très mignon et coquinou.
C’est sûr que c’est plus agréable que « dégage connasse ».
Eh bien, eh bien, eh bien !
Ca fait bien plaisir à voir, en tout cas, cette jolie complicité.
Tout aussi réjouissant, nous avons les Pond. Dans toute leur splendeur.
Et Papa Pond – qui a toujours une touche d’enfer – de se fendre de quelques petites répliques cultes.
Il faut dire que voir Maman Pond apprendre à manier la sulfateuse avec force couinements et en peignoir s’il vous plaît, ça vaut le détour.
« But outside in the car park, there’s something even more frightening : it’s Karen Gillan with a machine-gun. »
Quand je pense qu’on ne saura jamais ou presque à quoi ressemble la nouvelle Companion dans l’intimité (et encore moins n’apercevrons-nous le King in the North venu embrasser sa chérie sur le plateau), il me semble qu’on m’arrache un bout de moi-même ! Snif !
A part ça, il y a également le petit épisode réalisé par les gnards…
… avec Einstein transformé en Ood !
Et puis chose amusante, tout ce petit monde a fini de tourner le dernier épisode de la saison en plein mariage princier !
Pour finir, une petite chanson d’adieux. And now…
… the final curtain.
Babaille, Confidential. Franchement, on s’est bien marrés grâce à toi. Merci de nous avoir rapprochés de cette série, de ses créateurs et de ses acteurs. Sans toi, qui sait si nous l’aimerions autant aujourd’hui ?
C’est vrai que c’est bien dommage l’annulation de ces sympathiques coulisses de tournage qui prolongeaient le plaisir et éclairaient les épisodes sous un jour nouveau.
La prochaine saison sera donc vraiment un recommencement complet.
Pfiou, j’arrive pas à faire mon deuil perso… Je suis sûre que les Confidential ont grandement participé à nous faire aimer la nouvelle série, à s’attacher aux acteurs, à tous ces gens qui bossent dans l’ombre…
Et tout pareil : qui sait si nous serions aussi attaché à cette folie qu’est Doctor Who s’il n’y avait eu les Confidential ?
*triste*