[DOCTOR WHO CONFIDENTIAL] 609 : About a boy
Ce n’est pas du tout agaçant. Déjà, bon, je fais un petit effort rapport à ce que je suis d’équerre, qu’hier soir, je me suis couchée à 21h tellement j’étais claquée, que j’ai du taf jusque-là et j’en passe et des meilleures. Mais en plus, l’univers se ligue contre moi. D’abord, je paume mes notes à cause d’une débile panne de wifi. Ensuite, je paume mes captures je ne sais comment. (J’imagine que le crash de l’ordi n’y est pas étranger.)
Comble de l’ironie, ces derniers temps, j’ai une mémoire immédiate qui équivaut à peu près à celle d’une amibe. Du coup, paf, je me retrouve face à la feuille blanche… et pour être blanche, elle est blanche !
Du coup, on va faire court :
– Le gamin qui joue George est super rigolo, mais putain, je préfère le voir à la télé que chez moi. Le cas échéant, il me prendrait sans doute assez rapidement une grosse envie d’exercer sur lui mes dons innés pour la taxidermie !
– Karen et Arthur sont toujours aussi ravagés, ce qui est très divertissant.
– Pas de couple mythique cette semaine, snif.
– Par contre, je ne vous dis pas mes hurlements de joie en voyant apparaître Jeremy Webb, le réal que j’ai regardé bosser en live une bonne partie de l’après-midi jeudi dernier sur le tournage de « Merlin », à Pierrefonds.
– Je trouve qu’ils devraient prévenir avant de balancer des séquences entières de Doctor Nine et Rose. Et ce alors que je disais encore la semaine dernière que j’étais toujours incapable de revoir des épisodes de la saison 1 ou 2. Pas cool. (Cela dit, j’étais hypnotisée.)
– A propos de Mon Docteur, j’avais complètement zappé que Mark Gatiss avait écrit l’épisode de Dickens, dans la saison . Le margoulin peut se targuer d’avoir écrit pour chaque Docteur !!! Au passage, je suis verte d’avoir paumé mes captures parce que j’en avais fait de superbes du gaillard. Son écriture a parfois tendance à m’agacer, mais en interview, il est toujours aussi délicieux. Et son enthousiasme est vraiment charmant. Et on se demande toujours quel look il va nous sortir, cette fois ! (La moustache est fameuse bien qu’improbable.)
– Enfin, j’ai bien aimé également le rire de l’actrice qui joue la vieille gobée par les poub’ en regardant sa doublure se faire avaler, apprendre que le fameux immeuble existe et se trouve à Bristol, et aussi suivre l’usante mais passionnante journée de la troisième assistante réalisatrice.
– Sans oublier la mention spéciale aux vaches qui bloquent l’accès à la « maison de poupées » !
(Et vous voulez que je vous dise la blague ? C’est que juste au moment où je publie ce billet, je retrouve mes captures. Ok, bonne nuit, je vais me coucher, moi.)
Juste pour info, la vieille jouait un rôle délicieux dans "how not to live your life", tout en ronchonnerie et sénilité…
L’immeuble existe vraiment ?!!! Et moi qui me disait "faut oser l’inventer, il est tellement tristoune !" Et ben…
Ah je trouve qu’il y a pire, moi !