[DOCTOR WHO CONFIDENTIAL] 608 : River runs wild

Ah, tiens. Je n’ai pas pris de notes du tout, sur ce Confidential. Bon ben ce sera principalement des captures, alors. Ca tombe bien, d’ailleurs, parce que, bordel de bite (je sais, c’est distingué), qu’est-ce que c’est BEAU !
Ca me donne l’occasion de me répandre en superlatifs sur le fait qu’il y ait des mecs qui se creusent le citron pour faire des super jolis plans pour un… making-of. Je trouve que c’est la classe AB-SO-LUE. Florilège.

Nan mais franchement, y a du niveau, quand même.
Et dites voir. Il était super, le petit récapitulatif de ce qui se passe avant, non ? Bien épique, bien dans ta gueule. Ca commençait très fort !

Comme je le disais dans ma review de « Let’s kill Hitler », ce que je trouve formidable avec Arthur, Karen et Matt, c’est que peu importe la situation, ils ont toujours l’air parfaitement à leur place. Tu les flanques dans un champ de blé en robe de chambre et ils trouvent le moyen de te divertir en racontant absolument n’importe quoi, comme toujours. Ah, et vous avez vu les petits badges « Doctor Who » sur le peignoir de Karen ? Trop mignons.

On prend les mêmes en un peu plus sortables, et on recommence !

Mon coeur saigne à l’idée qu’on puisse un jour briser ce trio. Si, si, je vous jure, je n’aurais pas cru, mais si. Cela dit, faudra bien un jour. Snirfl. Deux saisons, tout de même. Mark my words.
Bon mais rigolons un coup, là, oh ! On va pas commencer à déprimer alors que tout va bien ! Regardez un peu les belles machines qu’on nous sort pour cet épisode !
Une Corvette…

Une Mini… hum.

Et une moto d’époque qui fait briller beaucoup d’yeux !

(Y compris ceux des doublures.)

Mais visiblement, pas autant que le « fit Nazi ».

J’imagine trop les gonzesses « pssitttt, pssiiittt, y a un nazi canon ! » et les mecs roulant des yeux en faisant « pfffffff ». C’était vraiment super drôle, le coup du « fit nazi ».
(Comme quoi c’est partout pareil et c’est tant mieux.)

Sinon, tiens, c’est rigolo de revoir Karen quand elle jouait les seconds rôles.

Puisqu’il se trouve que le restau attaqué par Melody, c’est le même bâtiment que celui de « Fires of Pompei ».

Et j’aime bien le costumier qui fait le tour du propriétaire avec Matt.

(Qui va ramper à qui mieux mieux dans son costume trèèèèèès joli et trèèèèèèès cher.)

Mais bon. Tout ceci n’est rien, rien vous dis-je, à côté de ZE séquence de ce Confidential. Souvenez-vous… leur histoire a connu des moments difficiles. On a bien cru que c’était définitivement terminé. Mais non. Beth est de retour avec son décolleté le plus aguicheur histoire d’aveugler notre joli-coeur tout de rayures vêtu. (Vous avez pensé à moi, non ? Héhé.)

Et ça marche ! Vous voyez ? Ils se sont même appelés le matin pour coordonner leurs fringues et composer un joli camaïeu de rouges ! Hi, hi, hi !

Inutile de dire que notre Moff’ à côté, il a l’air tout à fait cornichon à tenir la chandelle et à se concentrer comme le premier de la classe sur lequel des marmots on va récompenser pour sa petite bafouille.

Ce qu’il y a quand même de génial, c’est qu’on a presque l’impression que Doctor Who est au programme dans les écoles britonnes, quoi !
(Tain, moi, quand j’avais de la chance, on lisait « Niels Holgersson », mais c’était pas souvent !)

Bon, là-dessus, je vous laisse. Fatiguée, mais contente d’avoir retrouvé mes tourtereaux. J’étais inquiète, moi !