[DOCTOR WHO CONFIDENTIAL] 600 : Special Christmas

Hi hi hi. Dingue. J’étais presque plus excitée à l’idée de reviewer ce Confidential que l’épisode lui-même. Il faut dire que ça fait un moment que je n’en ai pas regardé un, ayant déjà eu du mal à boucler les épisodes de la saison 5. Mais tout comme j’ai passé un moment magique devant Christmas Carol, je me suis beaucoup amusée devant ce Confidential.

D’abord, les acteurs sont toujours aussi remuants et attendrissants… ils sont si frais qu’on est ravi de voir qu’ils ont un tel succès après une seule saison.

Ensuite, très bonne idée d’articuler ce making of autour de la première lecture du scénario. C’est génial d’entendre Steven Moffat lire les scènes d’action, il y met tellement de conviction. J’aurais adoré avoir un père comme lui pour m’inventer et me lire des histoires le soir dans mon lit quand j’étais petite, moi qui en ai toujours été friande…

Puis c’est formidable de voir Michael Gambon tout de suite tellement dans son personnage, si content de participer à cette aventure.

Et la réaction de Matt ! Ce regard qu’il partage avec Beth Willis dès la première phrase prononcée par l’illustre Dumbledore pendant la lecture, ce sourire, cette joie de gamin… trop, trop mignon.

Et le môme… alors là, oui, ce môme, il va falloir le suivre de près. Craquant comme tout, étonnant de talent si on en croit ses collègues… et pareil, tout content de jouer « the younger version of Michael Gambon ».

Moi je dis : ça fait du bien de regarder ce genre de trucs en des temps aussi troublés !
Sinon, ça m’a fait tout drôle de revoir brièvement Nine lorsque Moff’ nous rappelle que le Docteur connaît bien Dickens, puisque cet épisode s’inspire d’une de ses oeuvres.

Tout ça paraît si loin…
Comme souvent, je me suis également bien amusée de certains petits trucages mignons, surtout pour les scènes un peu mouvementées. Par exemple celle-ci…

Tout simplement avec des gars qui font balancer la cariole par en dessous !

Et la maquette filmée pour le plan de dessous…

Très rigolo !
Mais ce que j’ai adoré par dessus tout, c’est tout ce qui entoure la mise en musique de cet épisode. J’ai été ravie de revoir Murray Gold, le compositeur de la série, auteur de tellement de pépites musicales.

Sa façon de raconter comment il a composé le fameux chant, en quelques heures vu les délais hyper courts et voir Catherine Jenkins se l’approprier avec tellement de naturel en studio…

… pour moi, en tant que chanteuse amateur, c’était un enchantement, ni plus ni moins. Le genre de vision qui vous redonne la foi. En plus, Catherine Jenkins est parfaitement adorable.

Mieux encore, l’intervention de Ben Foster (qui n’est décidément pas désagréable à regarder !), à la direction de l’orchestre et le plaisir manifeste que les musiciens prennent à jouer cette musique, en plus de l’enthousiasme de Murray et de la voix de Catherine Jenkins… franchement, c’était une très belle manière de boucler ce Confidential.

Sauf que je n’avais absolument pas reconnu le timbre du narrateur. Tssss tssss, Sorcière.

Alors comme ça, on ne sait plus identifier son Alonso adoré ?