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513 : The Big Bang

Inutile de dire que je n’ai absolument aucune idée de la façon de rédiger ce billet. En fait, ça fait un mois voire plus que je suis dessus, que je réfléchis un peu chaque jour à la question et que je repousse au lendemain.
Pourtant, ce serait très simple de dire que j’ai adoré cet épisode puisque c’est le cas. Mais comme toutes les séries que je suis depuis des années, j’ai du mal… elle se renouvelle, plus que les autres, sans doute, étant donné le contenu. Mais j’ai du mal.
Globalement, j’ai peiné pendant toute cette saison. Rejointe par le Dark Side qui a englouti les cinq saisons en moins de temps qu’il ne faut pour le dire (AH !) et qui a intégré le clan des indécrottables nostalgiques de David Tennant, je n’ai pas trouvé de raison plausible à cette baisse de régime de ma part. J’aime toujours la série, j’aime toujours les histoires, le Docteur continue à me faire rêver, je trouve Matt Smith formidable, Amy est une Companion d’enfer, Arthur Darvill une révélation et le tout est orchestré par Steven Moffat, LE scénariste adulé, LE génie du récit. Alors quoi, merde ?! Ben je ne sais pas. Le Dark Side a émis une hypothèse, celle du rajeunissement de la série… on a peut-être, à notre grand âge, plus de mal à s’identifier à une jeune Amy Pond et la légèreté d’Eleven, quoique craquante, n’y est peut-être pas étrangère. C’est vrai que Donna était plus proche de nous… c’est vrai qu’Eccleston et Tennant avaient une bonne trentaine finissante qui nous correspondait plus. Vraiment, je ne sais pas. Toujours est-il que j’ai plus de mal à prendre mon clavier et à venir parler du Docteur malgré mon enthousiasme devant certains épisodes… y compris celui-ci.

En tout cas, il y a une chose que j’aime chez Moffat, c’est sa confiance absolue en l’intelligence de son public. Parce qu’il en faut pour écrire des épisodes, et ici une saison aussi complexes.
Et ce que j’aime ici aussi, c’est que comme dans tout bon conte de fées, il vous offre la fin heureuse – la première depuis le début de New Who – et le mariage princier.

Oui, voir le Docteur danser au mariage de Rory et Amy, c’était précieux.

(Et hilarant, putain ! Je pense que le pas dit de la girafe bourrée va rester dans les annales ! )

En outre, je suis fan de la môme Caitlin, j’ai été incroyablement heureuse de la revoir. Sa ressemblance avec Karen est tellement stupéfiante, jusqu’aux intonations qui sont les mêmes. Et que ce soit à elle qu’on doive la résurrection des étoiles, c’est génial.

Ces mêmes étoiles qu’on admirait avec Vincent il y a quelques épisodes.
Le coup du musée et du jeu de piste était formidable…

(Sans parler de la gosse qui s’excuse parce qu’elle fait tomber un pingouin empaillé, oh God, trop trop mignon, trop trop Pond.)

Amy : This is where it gets complicated, kid.

Et big surprise, notre Amy à l’intérieur de la boîte, ressuscitée grâce à l’ADN de son jeune double.

Hop, même pas de paradoxe vu que de toute façon, le Tardis détruit le continuum. Amy peut donc intéragir avec Amelia et le Doctor… avec l’autre version de lui-même.
Toujours dans le musée, je crois que ma scène préférée de l’épisode, c’est Amy qui découvre l’histoire du Pandorica… et de son gardien.

Rory, le Centurion de plastique. 2000 ans. Vivant chaque seconde. Oh God, je sens les larmes monter.

« According to legend, wherever the Pandorica was taken, throughout its long history, the Centurion would be there, guarding it. He appears as an iconic image in the artwork of many cultures, and there are several documented accounts of his appearances and his warnings to the many who attempted to open the box before its time. His last recorded appearance was during the London Blitz in 1941. The warehouse where the Pandorica was stored was destroyed by incendiary bombs, but the box itself was found the next morning, a safe distance from the blaze. There are eyewitness accounts from the night of the fire of a figure in Roman dress, carrying the box from the flames. Since then, there have been no sightings of the Lone Centurion, and many have speculated that if he ever existed, he perished in the fires of that night, performing one last act of devotion to the box he had pledged to protect for nearly 2,000 years. »

Et cette image du pauvre centurion qui traîne ce machin de mille tonnes hors des flammes. Arf. Je sanglote.

Toute la scène qui aboutit à cette situation, le petit tête-à-tête des Amy’s boys est génial.

Ca fonctionne vraiment très, très bien entre Matt Smith et Arthur Darvill.

The Doctor : Why do you have to be so… human ?
Rory : Because right now I’m not.

J’ai même réussi à suivre plutôt pas mal le petit jeu du Docteur qui passe d’un « endroit » temporel à l’autre, mettant tout en place, jusqu’au dernier détail… c’était très impressionnant et assez jouissif. Le voir improviser comme ça, avec une telle aisance… on a l’impression qu’il s’éclate et qu’il est parfaitement dans son élément.
Et ce malgré sa « mort ».

Image forte et choquante que celle de ce sautillant bonhomme rendant son dernier soupir… à cause d’une extermination en règle.

Bref, cet épisode, c’est un incroyable cocktail survitaminé de fantaisie doctoresque et d’humour…

The Doctor : It’s a fez, I wear a fez, now. Fezes are cool.

De légèreté…

The Doctor : Come along, Ponds !

De timey-whimey, notamment le génial coup de la boucle temporelle qui protège River et nous permet de la récupérer saine et sauve, plus badass que jamais.

The Doctor : Honey… I’m home.
River : And what sort of time do you call this ???

Ah celle-là m’a beaucoup, beaucoup fait rire ! River, ça y est, tu as trouvé ta place, ma cocotte !

Et, donc, de grand nawak : ah tiens, si on rebootait l’Univers, du coup ?

Et puis il y a cette scène d’adieux où tout est expliqué, entre Amy et le Docteur. Déchirante… Je crois que ce qui m’a le plus marquée, dans cette fin de saison, c’est l’émotion, très forte.

The Doctor : Amy Pond. The Girl Who Waited. All night in your garden. Was it worth it ?
Amy : Shut up. Of course it was.
The Doctor : You asked me why I was taking you with me and I said « No reason ». I was lying.
Amy : It’s not important.
The Doctor : Yeah. It’s the most important thing left in the Universe. It’s why I’m doing this. Amy, your house is too big. That big, empty house, just you.
Amy : And Aunt Sharon.
The Doctor : Where were mom and dad ? Where was everybody who lived in that big house ?
Amy : I lost my mom and dad.
The Doctor : How ? What happened to them ? Where did they go ?
Amy : I… I don’t…
The Doctor : It’s okay, it’s okay. Don’t panic. It’s not your fault.

Amy : I don’t even remember.
The Doctor : There’s a crack in time in the wall of your bedroom. And it’s been eating away at your life for a long time now. Amy Pond. All alone. The Girl Who Didn’t make Sense. How could I resist ?
Amy : I’m not going to just forget.
The Doctor : Nothing is ever forgotten. Not really. But you have to try.
River : Doctor ! It’s speeding up !
The Doctor : It’s going to be a very Big Bang, Big Bang II. Try to remember your family and they’ll be there.
Amy : How can I remember them if they never existed ?
The Doctor : Because you’re special. That crack in your wall, all that time. The universe pouring into your head. You brought Rory back. You can bring them back too. You just remember. They’ll be there.
Amy : You won’t.

The Doctor : You won’t need your imaginary friend anymore. Amy Pond. Crying over me, eh ? Guess what.
Amy : What ?
The Doctor : Gotcha.

Donc le Docteur se sacrifie, dans un très commode élan doctoresque. Et se retrouve à rembobiner…

Jusqu’à…

Ca, vraiment, j’ai adoré. Remonter aux Anges et semer ce petit caillou… cette petite scène restée gravée dans la mémoire de chacun…

The Doctor : You have to remember.

Je dois dire que celle-là… elle est quand même… é… norme.

Pour revenir à Amelia, cette chouette petite fille dont dépend désormais sa survie.

The Doctor : It’s funny, I thought, if you could hear me, I could hang on, somehow. Silly me. Silly old Doctor. When you wake up, you’ll have a mum and dad, and you won’t even remember me. Well, you’ll remember me a little. I’ll be a story in your head. But that’s OK : we’re all stories, in the end. Just make it a good one, eh ? Because it was, you know, it was the best : a daft old man, who stole a magic box and ran away. Did I ever tell you I stole it ? Well, I borrowed it ; I was always going to take it back. Oh, that box, Amy, you’ll dream about that box. It’ll never leave you. Big and little at the same time, brand-new and ancient, and the bluest blue, ever. And the times we had, eh ? Would’ve had. Never had. In your dreams, they’ll still be there. The Doctor and Amy Pond… and the days that never came.

The Doctor : The cracks are closing. But they can’t close properly ’til I’m on the other side. I don’t belong here anymore. I think I’ll skip the rest of the rewind. I hate repeats. Live well. Love Rory.

C’est vraiment chouette de rayer cette petite fille solitaire de la carte et de lui offrir une famille… quitte à ce qu’elle perde son ami imaginaire. C’est ça, grandir, non ?

(Et là, d’un seul coup, j’ai envie de dire que tout s’explique. )

Et un mariage avec plein, plein de gens autour. Et malgré tout un gros vide.

(J’ai adoré la pomme qu’elle a au cou… un dernier petit clin d’oeil aux contes d’Amelia Pond.)

Alors c’est vrai que tout ça est assez facile, mais what the frak. C’est tellement jouissif…

Amy : Something old, something new, something borrowed, something blue.

The Doctor : Hello everyone ! I’m Amy’s imaginery friend ! But I came anyway !
Amy : You absolutely may definitely kiss the bride.
The Doctor : Amelia ! From now on I shall be leaving the kissing duties to the brand new Mr. Pond.

Je trouve qu’on a bien mérité ce genre de fiesta, pour une fois.

D’autant qu’il reste encore plein de trucs en suspens.

The Doctor : River. Who are you ?
River : You’re going to find out very soon, now. And I’m sorry, that’s when everything changes.

Voilà, maintenant, c’est pour ça que j’attends la saison 6. Je veux savoir pour River !
En attendant, c’est reparti pour de nouvelles aventures. Et vous savez quoi ? Eh ben Wendy, son Rory sous le bras, elle repart avec Peter, et toc !

A moi l’épisode de Noël !

(Enfin, avant avril, quoi.)

Cette saison 6, j’ai bien l’intention de la voir dans les meilleures conditions possibles et de ne pas me la faire version 2010 !
De toute façon, cette année, pas de périple en vue, je serai donc, a priori, totalement concentrée sur la chose.

Posted by on Déc 28, 2010 in Doctor Who Episodes | 17 comments

17 Comments

  1. YAY !!

    Le FEZ !! Sans compter la brève apparition du Haut-de-forme, qui sied encore plus élégamment à la capillarité de Matt Smith…

    Evidemment, j’ai geekgasmé à donf’à l’époque… Et évidemment, je l’ai déjà tellement revu depuis le temps qu’il m’est désormais impossible de sortir un moment du lot. J’apprécie le timey-wimey, et plus important encore, je "suspends mon incrédulité" (comme ils disent) sans broncher. Je suis en mode "confiance aveugle", je suis entre de bonnes mains. Et bons dieux, que c’est bon, pour changer… Ce n’est pas souvent que ça arrive.
    J’apprécie beaucoup ce retour à un ton plus innocent, plus merveilleux de la saison, d’autant plus que la fin de Ten m’avait déconnecté émotionnellement de la série. Là, j’ai retrouvé ce premier enthousiasme qui m’avait conquis lors de l’arrivée de Wose. Je suis tombé gnamoureux, complètement gaga d’Amy et de Karen Gillan, de ce Doc jeune-vieux et des cheveux (et couvre-chefs) de Matt, ainsi que de l’uniforme romain de Rory/Arthur. Je prie très fort pour que ce sentiment ne soit point taché une nouvelle fois par une overd(R)ose…
    Bref, c’est franchement dommage que ton expérience n’ait pas été idéale… J’ai vécu un truc de franchement glorieux, et toi aussi tu le mérites ! 😉

    Sur ce, je m’en vais répéter ma Girafe Bourrée…

  2. C’est vraiment gentil d’écrire ça… mais c’est vrai qu’après le grand voyage du printemps dernier, j’ai eu du mal à revenir à la non-réalité. 😀 Pfffff, c’est chiant quand ce que tu vis en vrai est trop bien ! Pis après j’ai déprimé et j’avais plus envie de rien. (Purée, je vais à Londres, j’espère que ce sera tout nul, du coup !)

  3. Bah moi même sans real life géniale à côté, j’ai pas tilté. J’arrête pas d’y penser en ce moment en plus (bon et l’affiche pour la saison 5 sur France 4 devant mes yeux quand je sors du métro le matin, ça aide pas !)
    J’ai pas eu assez de temps entre le départ de Tennant (et des autres… ) et l’arrivée de Matt Smith, je crois que j’avais vraiment pas fait mon deuil.

    Et je crois que j’adhère pas tant que ça à l’univers de Moffat (hé ouai, ça peut arriver) sur un épisode, ok, sur une saison, justement j’ai pas la confiance aveugle, je rentre par "dedans".
    Et ça me fait bien chier, je reconnais la qualité de plein de trucs, mais je suis pas touchée, et au premier visionnage je vois que les défauts, ou les incohérences.
    Je vais essayer de me refaire la saison 5 avant la prochaine, quand même. Histoire de vraiment la dissocier des saisons précédentes.

  4. Moi aussi j’ai eu du mal avec cette saison, alors que comme toi je trouve qu’il y a tous les éléments favorables pour me plaire : j’ai accroché tout de suite à Eleven, alors que pour Ten il a fallu quelques épisodes (pour moi, Eccleston est le Doctor), Amy est extra, plein d’épisodes sont chouettes (voire même plus). Et ce dernier épisode est très réussi. Peut-être était-ce trop facile, tout ça, finalement ?
    Tu parles (avec le Dark Side) d’une question d’âge. Maybe, ça doit jouer.
    Mais pour moi il y a aussi une question d’investissement. On peut peut-être pas s’investir si facilement pour ces nouvelles aventures, après tout ce qu’on a vécu dans les saisons précédentes. Ce serait renier un peu tout ce qui nous a plu précédemment et qui a été très fort. Et la façon dont le départ de Ten a été traité, n’a-t-il pas tout fait pour qu’on ne puisse qu’avoir des regrets de la fin d’une époque ?
    Du coup, je suis assez optimiste pour la suite.

  5. J’apporte mon avis pour refaire pencher la balance, puisque j’ai littéralement A.D.O.R.E ces deux derniers épisodes, et la saison toute entière d’ailleurs.

    Deux raisons à ça pour aller dans votre sens: j’ai commencé la série avec cette saison, donc pour l’instant pour moi (j’en suis maintenant à la moitié de la saison 2) Eleven est LE docteur. Et j’ai aussi quasiment le même age que Karen Gillan, ce qui appuie cette petite théorie citée plus haut.

    Pour en revenir à cet épisode, ce qui m’a émerveillé c’est sa richesse, que ce soit dans l’émotion (bonjour l’état de mes yeux la première fois que je l’ai vu!), les dialogues (Amy et Eleven… wouch…) ou les plans (dans le musée par exemple, il y a tellement de petites choses à voir).

    En fait après l’avoir vu j’avais l’impression que c’était l’épisode parfait pour moi, comme s’il était fait comme je l’aurais voulu sans que j’ai pu prévoir quoi que ce soit du scénario avant (je ne suis pas sur de bien me faire comprendre, mais c’est difficile de retranscrire un ressenti…. tout le monde ne s’appelle pas La Sorcière^^).

    J’ai regardé cet épisode avec des yeux d’enfant, tout en pouvant appréhender des scènes plus graves ou complexes, et ce surement parce que j’avais confiance, j’adhérais à tout ce que l’on me présentait, je ne me souviens pas avoir douté une seule fois.

    Et bizarrement ce que vous dites à propos du passage de Ten à Eleven, je le vie pour le passage de… Eleven à Ten! Nine était différent pour moi, j’ai beaucoup aimé mais il reste à part. J’ai beau adorer Ten aussi, il me manque quelque chose pour l’instant…. difficile à définir…. Mais je n’ai même pas terminé une saison avec lui alors ce que je dis n’a rien de définitif, je me connais trop bien pour ça ^^

  6. je suis une fan absolue de Tennant et j’adore son Ten, du coup je croyais avoir du mal à accepter Eleven, mais non. Peut-être parce que j’ai d’abord découvert la série avec la saison 2. Donc j’ai fait Ten, Nine, Eight (le film ^^), a nouveau Ten avec un éclair de five (children in need) puis Eleven. Du coup je ne suis pas gêner par le changement d’acteur parce que j’adhère totalement au concept de nouvelle incarnation = nouvelle personnalité.
    J’aime beaucoup le travaille de Moffat et depuis plus longtemps que je ne le pensais puisque j’ai adoré Coupling (six sexy) à l’époque, Jekyll et les épisode de DW tournés sous l’ère RTD.
    Après Rose et Donna, j’avais peur d’une nouvelle Martha, mais Amy Pond est absolument géniael. Et je dois dire que j’ai été agréablement surprise par Rory. Ce n’est pas un autre Mickey. Et j’aime l’idée d’un compagnon masculin et encore plus d’un couple dans le Tardis.

    Mais je suis comme beaucoup, je trouve qu’il manque quelque chose à cette saison. Malgré toutes les bonnes surprise mentionnées plus haut, je n’ai pas ressentit le frisson de l’ère RTD (que se soit avec Nine ou Ten).
    Il y a des raccourcis empruntés par les scénaristes avec lesquelles j’ai du mal. Cet épisode final par exemple. Cette craquelure que l’on voit tout au long de la saison, le morceau calciné de TARDIS et la pandorica box : tout est réglé "facilement". J’aime le happy ending avec le cliffhanger sur River Song, mais je trouve ça trop "simple". Je ne sais pas. Un peu comme le double épisode ou meurt Rory et celui du lord of dream (ah c’est juste l’inverse mois créé par une poussière !). A la fin de l’épisode, j’avais du mal à croire que la saison été finie. Je suis resté sur ma faim

    désolé pour le pavé

  7. Alors en fait si on réfléchit bien :
    – les personnages "click" / fonctionnent parfaitement les uns avec les autres. Pas de soucis là dessus.
    – la globalité de l’histoire fonctionne parfaitement.

    Mais pourtant, nous sommes nombreux à avoir eu énormément de mal avec cette saison.
    J’avais mis une saison et demi à accepter Ten. Ca se trouve, ça fera pareil avec Matt 😉

  8. Je n’ai eu aucun mal avec Eleven , alors que j’avais vraiment peur au début ( surtout avec le premier apperçue à la fin de end of time ) mais je l’ai adopté dès le debut de eleventh hour.

    Par contre j’ai énormément de mal avec moffat en temps que show runner ….

  9. Je suis d’accord avec le Dark Side, l’équipe doctoresque est jeune. Sympathique mais jeune. ??a joue un peu je pense. D’ailleurs c’est pour ça que River prend si bien sa place !

    En tout cas, quoiqu’il arrive, Amy a eu besoin d’un psy !!!! LOL !

  10. Euh, j’avais pas posté un message, moi ? J’ai fait une mauvaise manip ?

  11. Sorry, j’ai dû faire une mauvaise manip’, il était hors ligne, je viens de le remettre. 😉

  12. No soucy, je me suis demandé si j’avais pas rêvé ou écrit un truc spoilant qui aurait mérité sa censure ^^.

  13. J’ai découvert cette série grâce à ton blog. Le 5×12, quelques images, survolées pour ne pas en savoir trop.

    Premier de l’an, je m’y mets, épisode 1×01. Et j’ai englouti la suite dans le mois.

    J’ai eu beaucoup de mal à voir partir Ten et j’étais dubitatif devant Eleven. Saison finie, il me reste aussi l’impression d’avoir manqué de quelque chose. Le petit piquant, le petit piment des autres saisons. Le truc qui décoiffe, à la fin, la révélation. Comme dit dans un com’ précédent, ici tout est pré-digéré, dès le deuxième épisode on sait que la craquelure aura un rôle important, mi-saison on connaît ses conséquences.

    Dans les autres saisons, tout était très discret. Les personnages ne perçoivent l’omniprésence du Bad Wolf qu’à la dernière minute. Il n’y a jamais de focus sur les planètes disparues tout au long de la saison 4, et on découvre dans le final que c’était un élément important que certainement beaucoup avaient complètement zappé (dont moi)…

    Ajoutons à ça un Eleven un peu bizarre, immature, parfois ridicule, et sans vrai "charisme doctoresque". Il n’a pas la gravité de Nine ou Ten, ce côté lourd, un peu sombre, d’une âme errante, d’un sauveur de l’Univers. Ce côté sage. Pourtant, il gère, c’est un Time Lord bien "aware" et conscient de ses actes, mais son image est discordante.

    Je ne pense pas que leur jeune âge soit un facteur important, j’ai tout juste la vingtaine, et je me sentais nettement plus à l’aise avec Ten/Donna qui étaient sans doute le summum de l’alchimie dans la série, surtout dans une saison 4 fantastique.

    Enfin voilà, une très belle saison, beaucoup de magie, de belles histoires, mais un côté pré-mâché un peu dérangeant. Espérons que la saison 6 soit moins "évidente" !

    Merci encore pour m’avoir fait découvrir le Whoniverse 😉

  14. Avec plaisir. 😉

  15. Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir commencer à réellement suivre DW par la saison 5 mais du coup je suis très vite rentrée dans le truc.
    J’adore Amy qui est ma compagne préférée avec Donna (des rouquines comme moi?? pour le coté identification) parce qu’elles sont capables de recadrer le Doc quand il le faut (et soyons honnête Amy qui coince notre cher Time Lord contre la porte du Tardis, ben ça m’a acquise à sa cause :D).
    pour la même raison j’arrive peu à peu à me faire à River (en fait le seul truc qui me gêne avec elle c’est que j’ai peur que son arrivée à bord du Tardis signifie la fin d’Amy).Et puis bon quelqu’un capable de faire flipper un Dalek mérite obligatoirement d’être connu!
    Quant au Docteur en lui même le fait d’avoir regardé la saison 5 par internet en même temps que la saison 4 à la TV fait que j’arrive à passer au delà le changement d’acteur (même si j’ai une petite tendresse pour Matt Smith à la fois comique et inquiétant, sage et completement à la ramasse…et puis bon c’est un peu mon premier alors hein!).
    Quant à l’histoire, ben j’ai adoré le coté fairy tale. Et les rapports entre les personnages. Alors oui quelques épisodes étaient plus faibles, mais bon tout le début 2010 j’ai attendu les dimanches avec impatience, et je me suis transformée en madeleine pour ce dernier épisode.

  16. Bouarf! C’te tuerie!!!
    C’aurait pu être mes premiers mots après le visionnage de cette episode (et de la saison, puisque je l’ai vue du premier au dernier en trois jours) mais j’etais trop ébahi pour dire quoi que ce soit.
    Je suis un nouveau du TARDIS, et je commence donc dr who par cette saison. Je ne me permettrait donc pas des commentaires du style "c’était mieux avant! Remboursez la série gratuite" ou au contraire "c’est un progrès formidable, quel renouvellement!".

    Ce que je sais, par contre, c’est que j’etais tombé sur un épisode de la saison 4 (bad Wolf je crois) que j’avais trouvé complètement nawesque.
    J’avais détesté.

    Et puis, je suis retombé samedi dernier sur les premiers episodes de la saison 5. J’ai décidé de regarder jusqu’au bout: Eleven (oui je me suis un peu renseigné depuis) était devenu mon nouveau dieu.

    Donc, je ne sais pas ce qu’il pourrait bien manquer. Oui, Matt Smith à plus l’air sous stéroïdes que ses prédécesseurs, il a un cote plus fou et moins tenebreux. Mais je ne pense pas que ça nuise a la crédibilité du personnage. Il y a pas mal de scènes ou on a un docteur qui fait référence a "ce qu’il deviendrait si il voyageait seul" (cf seigneur des rêves). Je rappelle egalement qu’il pete les plombs assez souvent. On est loin d’avoir un docteur lisse, propre sur lui, comme on pourrait le croire au premier abord. Donc bon.

    Concernant la "simplicité" de la saison, je suis pas vraiment habilité à juger, mais on a quand même un minimum de lvl requis. Après, je ne sais pas.

    Concernant ce dernier episode! Je trouve le coté "Fairytale" un peu nawak quand même. Un peu c’est bien, mais tu as beau te ramener avec un fez sur la tête, ça justifie pas que tu provoque les causes en fonction des conséquences. Le docteur agit en fonction des conséquences des actions qu’il a produites en conséquences de ces mêmes actions… C’est n’a aucun sens. Mais bon, c’est le dernier épisode, on pardonne.

    Autre chose que je n’ai pas compris: la pandorica et les romains sont issus de l’imagination d’Amy. Mais qui a le pouvoir de transformer les rêves de quelqu’un en réalité?
    Ce me semble flou aussi. Autre chose: a l’origine, pourquoi le tardis explose t il?
    Il se peut que je n’ai pas super bien suivi, mais bon, ça me semble louche.
    Par contre, j’ai beaucoup apprécié la happy end, preuve que même dans une série qui coûte cher en aspirine (ce n’est pas un reproche), on peut parfois privilégier le rêve à la complexité des paradoxes temporels et autres joyeusetés. (mais pas trop non plus).
    Voilà. Je pensais jamais écrire quelque chose d’aussi long (surtout depuis un itouch) alors merci de l’avoir lu.

    Nathan

  17. Je n’ai jamais autant tremblé devant Doctor Who que devant cette saison ! (sauf devant Blink et la bibliothèque, j’avoue) Je n’ai jamais autant poussé de cris de ravissement, éclaté de rire, reniflé discrètement… Fan de Tennant, j’ai mis un temps fou à pousser la porte du doctor Eleventh et une fois lancée, je n’ai pas décroché une minute !
    Tout me semble parfait, j’ai fini la saison il y a une demi-heure, j’ai plein d’images dans la tête et du mal à atterrir…
    Ai je tant aimé cette saison parce que je l’ai partagée, ainsi que mon canapé, avec un nouveau chéri aussi fan que moi ? Il y a sans doute un peu de ça ! Mais aussi le fait d’avoir enchaîné les épisodes et donc apprécié la cohérence de toute cette saison. Comme à la fin des Harry Potter, j’ai eu l’impression que tout était dit, qu’il n’y avait plus de zone d’ombre.
    Doctor, I kiffe you very much ! 🙂

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