Je vais encore sans doute passer pour une déviante, mais purée, le pied que je prends devant ce Livre VI de Kaamelott, c’est pas permis. Ca fait tellement longtemps que je ne me suis pas autant amusée sur un truc en français. Moi, je suis du genre à me lire tout haut des pages entières des Misérables parce que je trouve la musicalité sublime (oh, je vous recommande trop la description de Javert, j’en ai des petites larmes dans les yeux rien que d’y penser). Alors tomber enfin sur une fiction française tellement bien écrite, ça me bouleverse. Non parce qu’effectivement, c’est pas toujours super châtié, comme langage. Quoique si, en fait. Oui et non. C’est ça qui fait l’originalité de l’écriture de Kaamelott. C’est hyper moderne et souvent les mots sont grossiers, mais vulgaire, curieusement, ça ne l’est jamais. Question de contexte, de façon de jouer ces répliques. Le décalage entre la modernité du verbe et le reste est drôle… mais ne choque même plus tant que ça. C’est tout simplement géré de façon admirable.
Et c’est comme ça qu’on continue à nous introduire les personnages qu’on connaît si bien. Cette fois, c’est Venec, qui fait une entrée retentissante. Toujours là où on ne l’attend pas. C’est vrai que le coup des citrons, ça il nous avait jamais fait !
Je vais encore sans doute passer pour une déviante, mais purée, le pied que je prends devant ce Livre VI de Kaamelott, c’est pas permis. Ca fait tellement longtemps que je ne me suis pas autant amusée sur un truc en français. Moi, je suis du genre à me lire tout haut des pages entières des Misérables parce que je trouve la musicalité sublime (oh, je vous recommande trop la description de Javert, j’en ai des petites larmes dans les yeux rien que d’y penser). Alors tomber enfin sur une fiction française tellement bien écrite, ça me bouleverse. Non parce qu’effectivement, c’est pas toujours super châtié, comme langage. Quoique si, en fait. Oui et non. C’est ça qui fait l’originalité de l’écriture de Kaamelott. C’est hyper moderne et souvent les mots sont grossiers, mais vulgaire, curieusement, ça ne l’est jamais. Question de contexte, de façon de jouer ces répliques. Le décalage entre la modernité du verbe et le reste est drôle… mais ne choque même plus tant que ça....
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