Merlin : Secrets and magic (1×01)

Bon, pendant que je me tâte et me retâte au sujet des changements structurels indispensables à la rédaction de mes commentaires des épisodes de True Blood (vous l’aurez compris, nous avons un problème à ce sujet-là), une petite review du premier « Secrets and Magic » de Merlin.

Alors, cékoidon ça, « Secrets and Magic » me demanderas-tu, futé petit lecteur. Eh bien si tu es familier de Doctor Who, je te répondrai que c’est le Confidential de Merlin. (Et si tu ne l’es pas, c’est quoi ton problème, au juste ?)
A partir de la saison 2, chaque épisode de la série compte un de ces épisodes consacrés aux coulisses ; ils durent en moyenne une quinzaine de minutes. Le premier est plus long parce qu’il revient sur toute l’histoire de la série.
J’imagine que tout peut se retrouver sur les bonus DVD et je n’ai moi-même pas encore zyeuté ceux de la saison 2, mais le montage en épisodes me plaît et il se trouve que j’avais déjà les « Secrets and Magic » avant de posséder les DVD donc voilà.

Mgné. Inutile de dire que ces petits épisodes coulisses sont succulents et que pour moi qui aime tant voir l’envers du décor, c’est le bonheur absolu total de sa reum.

En plus, vous savez quoi ? Ben y a mon Seigneur Léon et même que Bradley il dit que des choses gentilles sur lui. « Ah the reassuring and calm presence that is Rupert Young. »
Sérieux, regardez comme il est choupinou, on dirait un gigantesques animal en peluche.

Au secours.
J’ai entendu dire que si le Seigneur Léon a fait son retour dans la série, c’est parce que les acteurs ont fait un scandale qu’ils voulaient Rupert Young tellement il est trop trop sympa et tout.
Sans hésitation, c’est vraiment lui le plus sage, parce que les autres, ils n’arrêtent pas de rebondir partout.

(Oh mon Dieu, ce truc est en passe de devenir aussi légendaire que l’épée dans l’enclume.)

Et quand je dis qu’ils rebondissent…

Ils rebondissent. (Bradley, trop content de sa parade.)

Colin, lui, il a toujours la banane, je ne sais pas comment il fait. (Vous me direz, ils vont éviter de nous le montrer en train de tirer la gueule, peut-être.)

Ensuite, je ne crois pas que Johnny Capps (un des créateurs de la série) m’avait été présenté jusque là, donc je découvre sa tête… et ses oreilles. Mon dieu, c’est la famille Mickey, en fait.

On en profite pour faire un résumé des petites carrières des jeunots et c’est vrai qu’il y en a deux qui sont passés par la case Doctor.

(« Midnight » pour Colin, saison 4.)

(« The girl in the fireplace » pour Angel, saison 2)

Evidemment, on ne manque pas d’évoquer la carrière autrement remplie d’Anthony Head…

Qui comporte quelques dérapages d’ordre pileux.

Et c’est là que j’ai été définitivement conquise par ces petits documentaires. Car à ce moment-là, la voix off nous sort un splendide : « But King Uther is far scarier than any moustache. »

LOOOOL !!!

Et il y a quelques autres perles qui m’ont fait hurler de rire dans les prochains, je les relève avec application.
Sinon, je n’avais absolument aucune idée de l’inexpérience de Katie McGrath, ça m’a bluffée d’apprendre qu’elle n’avait pratiquement rien fait avant d’atterrir ici. La pauvre était terrifiée et certaine qu’on allait la jeter au bout de trois jours de tournage.

Franchement, mais qui voudrait jeter ça ?

Enfin tout ça pour dire qu’ils sont tous incroyablement mignons et qu’on se demande un peu de quelle planète ils viennent.

Ah, et sinon, puisqu’il est quand même un peu question du premier épisode de la saison 2, avec Mackenzie Crook qui est infoutu de retenir le sortilège de Cornelius Sigan, matez-moi un peu cette gigantesque pompe.

Super glorieux.