210 : Sweet dreams
Pffff… non mais qu’est-ce que j’ai ri, devant cet épisode… mais ri… plus encore que pour Trollette, je crois. Là, on a quand même du pur comique de situation (ce qui explique les douze mille captures et le peu de commentaires), et les petits, ils font ça vraiment très très bien. Comme je suis désormais raide dingue de Colin et Bradley, je me suis régalée.
Je ne pensais pas qu’il était possible de rendre Arthur encore plus bête qu’il ne l’est déjà, ou du moins qu’il ne prétend l’être – on ne me la fait plus trop, quand même – mais si ! C’est merveilleux, formidable ! Arthur en truffe absolue, aussi atrocement niais et relax que son paternel dans le double épisode de Lady Catrina, c’est jubilatoire, je n’en croyais pas mon bonheur. En plus, cadeau Bonux… Mademoiselle la fille du Docteur qui vient en rajouter une couche en blondeur et en débilité profonde… ma félicité est complète.
A propos du Docteur… vous… vous savez, dites ? Est-ce que vous savez ? Si vous ne savez pas, asseyez-vous… Vous savez que… David Tennant (hiiiiiiiii) a dirigé une des scènes de cet épisode ? Purée, rien que d’y penser, je meurs. Donc oui, David a dû passer pour tenir la main de sa poule pendant le tournage et vlà. (Au fait, il est toujours maqué avec sa « fille » ? Z’êtes au courant ? Moi, je suis hyper à la bourre sur les potins d’Outre-Manche.)
Bref, Georgia Moffett, donc, double fille de Docteur (puisqu’elle est aussi la fille en vrai du Docteur numéro 5) est ici une princesse. Une princesse en visite à Camelot avec son papa roi, venu rencontrer quatre autres rois dont Uther Pendragon parce que c’est la paix et que c’est super rare, la paix. Donc on fait la fête.
Et pour débuter cet épisode, rappelons quand même qui c’est qui décide, ici.
– Dis, P’pa. C’est nous les maîtres du monde, non ?
– Grave, mon fils. Grave.
Débarque donc tout ce petit monde. Et autant dire que la Lady Vivian (tant qu’à faire), elle se fait d’emblée un pote en la personne du Prince de mes Fesses qui vient lui présenter poliment la meilleure servante du château.
(Guenièvre, Lady Vivian. Lady Vivian, Guenièvre, ma future épouse.)
Etant donné que la Dame en question est très prétentieuse et malpolie, c’est bon, on n’est pas inquiets.
D’ailleurs, on en profite pour noter que ça a l’air d’aller nettement mieux entre Pendragon Junior et la future Mme Pendragon qui gloussent comme des pintades aussitôt la porte refermée.
(Chouette serre-tête, dis donc.)
D’ailleurs, Merlin ne se gêne pas pour le taquiner à ce sujet, ce bon maître, oh hé hein bon, il ne va pas se priver de ce plaisir. Après tout, Arfur ne se gêne pas pour souligner ses défaillances en matière de couture.
Arthur : She may be beautiful but she’s incredibly rude. You should’ve heard what she said to Gwen.
Merlin : Anyone insulting Gwen should do so at extreme peril !
Arthur : What ?
Merlin: Nothing. I just know how you feel about her, that’s all. That is, if your feelings haven’t changed. Which I presume they haven’t.
Arthur : I do have my own vat of hot oil, you know ?
Merlin : You’re blushing.
Arthur : No, I’m not.
Uh uh. Ils sont trop drôles et adorables, je ne m’en lasse pas. Et les grimaces de Bradley, dans cet épisode, elles sont mortelles.
(Ouch. Jeune Colin, tu es très très très très très mignon, là. )
Evidemment, tout cela est fort chou, mais les problèmes arrivent. En la personne d’un des rois, un dénommé Alined qui se pointe avec un fou qui est un peu sorcier. Quand il commence à faire sortir des papillons de ses poches, alors que les dindes n’en peuvent plus de faire « hihihi »…
(Surtout une.)
… Merlin, lui, dans son coin, il fait « oh oh ».
Et pour cause. Il ne le sait pas encore mais le dénommé Alined a un plan. La paix, ça l’arrange pas trop, ce serait bien mieux que disons Uther et Olaf, le père de la cruche, se fassent une commode petite guerre histoire qu’il puisse récupérer les miettes. Du coup, il décide de faire ensorceler Arthur pour que celui-ci colle un max aux basques de Bécassine et que le King Olaf voie rouge parce que bon, pas touche à Fifille.
Aussitôt dit, aussitôt fait. C’est bien pratique quand on a un sorcier sous la main.
(A mourir de rire, le bouffon qui émerge de derrière le lit.)
Et le lendemain matin au réveil, notre prince est complètement croque de la blonde et prévoit déjà de lui empoigner ses gros…
C’est là que ça part sévèrement en quenouille. Merlin, persuadé qu’Arthur est toujours mordu de sa Gwen, est chargé d’écrire un billet d’amour et tout. Sauf qu’Arthur a complètement oublié l’existence de Gwen et qu’il ne lui vient même pas à l’esprit que Merlin puisse imaginer qu’il ne parle pas de Lady Vivian.
Forcément, Merlin, il est TROP content d’aider Arthur à séduire Gwen ! Ah ah ! En plus, il lui écrit un petit mot au poil, hi hi hi, ah ah ah, comment qu’il est trop doué.
C’est vrai qu’elle est belle, hein ?
Ouais, grave trop.
Hi hi hi.
Ah ah ah.
Et puis on s’en fout tellement que ce soit qu’une domestique…
PAF !
« Plus jamais tu traites ma meuf de domestique que c’est une princesse, compris, morpion ? »
Bref, Merlin est bien embêté. C’est que Gwen risque de lire le mot qui ne lui est pas adre…
Et merde.
Oh, Colin…
Malheureusement (ou pas), Arthur se prend un méchant râteau de la part de la Princesse de mes Pieds. Il est très malheureux. Même qu’il se met au lit en déprimant.
Par bonheur, il trouve sous son oreiller une partie du charme : une mèche de cheveux de Vivian. Uh uh, fait Merlin qui percute alors que son bon maître est un peu ensorcelé.
Le pauvre enfant va passer ses nuits à chercher comment en venir à bout, sauf qu’il y a six cents sortilèges d’amûûûr dans le bouquin de Grand-Papy, donc bon.
Cela dit, le bon roi Alined aussi est ennuyé. Il n’avait pas compté sur le fait que Vivian repousse Arthur, un si beau gars.
King Alined : Every woman in the land is attracted to this boy. I’m almost attracted to him myself !
Soyons fou, le bouffon s’en va administrer le même traitement à Vivian…
… met Gwen hors d’état de nuire d’un habile petit coup de zyeuxjaunes…
(Mais lol !)
Et c’est ainsi que Vivian se réveille le lendemain matin…
… avec une forte envie de flanquer ses gros nénés sous le nez d’Arthur.
La scène où elle se jette sur le lit d’Arthur en présence de Merlin, j’en pouvais plus.
Et hop, un petit coup de Petrificus Totalus pour la calmer parce que bon.
Enfin ça continue à s’embrouiller dans tous les sens, on fouille une première fois la chambre d’Arthur qui est intenable…
… par chance Merlin a planqué la bécasse dans le placard.
Dans la foulée, le Prince de mes Fesses se la joue double-date, sans s’en rendre compte, il file rencard à Gwen alors qu’il a bien l’intention d’aller séduire Vivian. C’est n’imp, c’est drôle.
Sauf pour la pauvre Gwen qui attend…
Attend…
Attend…
Et attend un petit peu encore.
Pendant ce temps-là, le crétin des Alpes fait son show.
Et grimpe à la fenêtre de Vivian… avec une rose entre les dents.
Je peux vous dire qu’une fois arrivé dans la chambre, c’est festival de blondeur.
(Uther qui lève les yeux au ciel, j’en pleure encore. )
C’est comme ça que Neuneu Pendragon se retrouve à accepter un combat à mort en trois sets avec King Olaf…
… qui n’est quand même pas super commode.
Et autant dire qu’Arthur combattant en étant complètement abruti par le philtre d’amour de l’autre affreux, c’est assez triste. Enfin c’est hilarant, mais disons que ses réflexes sont quelque peu émoussés.
En clair, il se prend une méga-déculottée mais il est très content car Bécassine-c’est-ma-cousine lui lance ses regards de braise.
Euh… de braise, donc.
Sinon, chouette combat, j’ai adoré le duel à la masse d’armes, uhuhuh, ce truc m’a toujours terrifiée. (Depuis Ivanhoé, merci Ivanhoé.)
Avec ça que ce débile de blond se fait fracasser une côte mais tout va bien, il est béat de bonheur.
Ce qui débouche sur… cette scène, donc… comment dire… un peu troublante.
Gaius : One of your ribs is broken, Sire.
Arthur : Nothing can hurt me today. I’m invincible. Love really can conquer all, Gaius, it’s true.
Oui, justement, en parlant de ça. Eh bien Merlin trouve que ça commence à bien faire et il en a un peu marre d’attendre que son boss se fasse découper en morceaux. Donc il va demander conseil à la Pythie du coin, c’t’à dire le Dragon. Qui se fend bien la poire une fois de plus. Mais qui lui donne la solution : faudrait qu’Arthur se fasse embrasser par sa vraie namoureuse. Cool. Heureusement qu’il ne nous a pas sorti ça pour l’affaire Catrina sinon ça aurait été la merde pour déterrer Ygraine, mais bref. Là, on dispose d’une Guenièvre bien vivante mais très vexée.
Heureusement, Merlin sait se montrer convaincant. Et l’avancée de cet épisode, c’est ça : Merlin qui avoue à Gwen qu’il est courant de sa petite histoire avec le Prince de mes Fesses.
Merlin : Gwen, don’t worry. I know.
Gwen : You know what ?
Merlin : Everything. Anyone who spends five minutes with you can see how you feel about each other. I do not have a lot of time to explain so you’re gonna have to trust me. Arthur does love you. (Mgnihihi.)
Gwen : No, he doesn’t.
Merlin : If you can’t trust me, trust your feelings.
Gwen : I’m never trusting my feelings again.
Merlin : He’s enchanted.
Gwen : Yes, with Lady Vivian, I can see that !
Merlin : No, I mean literally enchanted with… magic, potions, love juice. None of his feelings are genuine.
Gwen : How can you be sure ? When I saw him, his feelings seemed real enough.
Merlin : Gwen, none of his feelings for Vivian are real. But if we do not break the spell his death will be. Search your heart, you know who he loves.
Allons, allons, ne nous faisons pas prier et allons vite embrasser ce pauvre prince, qu’il redevienne le crapaud qu’il est habituellement.
Hi hi hi.
Et voilà, le Prince de mes Fesses is back. Et il va foutre une belle branlée à King Olaf. Non sans en profiter pour demander à Merlin de veiller sur Gwen si jamais il lui arrive quelque chose. (Rooooh.)
Sauf qu’Arthur l’emporte, naturellement, et si King Alined était un peu futé, il aurait capté que son plan présente depuis le début une faille redoutable.
On parle d’Arthur Pendragon, quand même.
AR-THUR PEN-DRA-GON
Et Arthur Pendragon ne tue que quand vraiment on l’énerve de trop.
DTC, King Alined. C’est pas passé loin, avec un autre crétin, tu l’aurais eue, ta guerre, mais un Merlin + un Arthur en pleine possession de ses moyens = FAIL.
Evidemment, notre beau prince a quand même quelques petites excuses à présenter.
Arthur : I’m sorry for… what I put you through.
Gwen : No. You have nothing to apologise for. I, too, have caused my fair share of hurt.
Arthur : You must believe that my feelings for…Vivian… were not real. I’ve never loved another. (Oooooh, c’est trop mignon, il est au maximum, là !)
Gwen : But one day you will. One day you will find your real princess. One day you will be King of Camelot. And I cannot be your Queen.
Arthur : You don’t know that.
Gwen : I am as sure of that as you are.
Arthur : Things may change.
Gwen : Well, until they do… my lord.
Mais euh !!! C’est frustrant, leur truc !
Heureusement, on se déride bien avec la dernière scène. Eh oui, le problème, c’est que la Dame Vivian est encore complètement sous le charme d’Arthur, elle !
Vivian : My heart will remain, and I hope to join it soon !
Arthur : Not too soon.
Et puis le petit coucou au King Alined, aussi…
Et enfin, on ne peut pas finir un épisode sans Arthur menaçant Merlin de mille morts, ce ne serait pas convenable.
Merlin : You kissed her in the tent.
Arthur : Merlin ?
Merlin : Yes ?
Arthur : What happened in the tent ? Speak of it again and I’ll kill you.
Merlin : Ok !
Bon, voilà, je me suis énormément amusée. Et après les larmes, la torture et autres joyeusetés, c’était un épisode vraiment bienvenu. C’est vrai que c’était beaucoup de rigolade, mais le petit éclairage sur la politique inter-royaumes était vraiment sympa. Et encore un coup, si Uther avait découvert qu’un des rois a recours à la magie… oh boy, ça aurait-y chié dans le ventilo. C’est bien parce que ça installe un climat finalement super précaire. Une petite étincelle pourrait enflammer tout ça en moins de temps qu’il ne faut pour le dire… donc merci, Merlin.
Allez, babaille, dernière rigolade de la saison. Sortons nos mouchoirs pour la fin. Snirfl. Bouhouh.
J’ai eu un probleme avec cet épisode: Uther qui est si prompt a voir de la magie et des sorciers partout ( même là où il n’y en a pas) ne voit pas un sorcier JUSTE sous ses yeux!!! Non mais on rêve : il croit quoi? Que le fou d’Alined avait caché des papillons dans ses trous de nez (pour rester polie)??? J’ai cru m’étouffer d’indignation. Pour le coup Uther mérite la palme de la blonditude, ça fera des vacances a Arthur!
Sinon:
– Dis, P’pa. C’est nous les maîtres du monde, non ?
– Grave, mon fils. Grave.
J’ADORE!! Tes reviews sont toujours excellentes!
"it’s destiny, my love, destiny and chicken" (et snif sous les bras …)
j’en ai pleuré de cette scène, c’était trop bon.
Awww cet épi était trop chou! Et David Tennant a dirigé une scène? Hannn mais je ne savais po, c’était quelle scène?
Merci pour la reviiiew 😉
David Tennant (hiiiiiiiii) a dirigé une des scènes de cet épisode ?
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rooh mais pourquoi il a pas fait un petit tour devant la caméra pendant qu’il y était ?!
On y croyait pas, mais Arthur pouvait être encore plus blond ! vivi
Par contre je sens que ça va leur retomber sur le coin du museau cette histoire. Merlin a commis a hudge mistake en laissant repartir Lady Vivian comme ça. Je sais qu’il n’avait pas "The" vrai amour de mademoiselle sous la main, mais quand même … je ne le sens pas.
Sinon je ne vois pas pourquoi les deux pères s’opposent tant à cette union, ça ferait une sacré alliance entre les deux contrée et une assurance de paix. On sait avec qui va se marier monsieur au final, mais puisqu’ils parlaient politique = faut être logique
Un bon épisode qui m’a bien poilé
Alors je crois que la scène réalisée par Ten, c’est la scène où Gwen et Vivian marchent toutes les deux tandis que Merlin et Arthur les regardent…
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Manquerait plus qu’un petit crossover Merlin – Who. Nan mais c’est vrai, quitte à faire un épisode sur un personnage historique dans Who, pourquoi pas venir aider Merlin et Arthur ?
Et puis le petit épisode de Merlin qui commence par une balade dans les rues de Camelot avec un Tardis nonchalamment posé dans un coin, ça aurait de la gueule ^^
Sweet dreams 🙂
j’ai aussi eu un petit problème dans cet épisode, fort joyeux au demeurant… Le personnage de Vivian me gêne, vu que, quand même, c’est un de mes persos préférés de la mythologie arthurienne et que je l’aurai bien vue moins nunuche, moi, la fée vivian…à moins qu’il y en ait plusieurs??
C’est le seul épisode et même point de cette saison qui m’ait vraiment gênée.
Ben c’est un peu plus compliqué que ça, en fait.
La Fée Viviane, c’est communément la Dame du Lac, alors que la Dame du Lac de l’univers de la série, ça m’a tout l’air d’être la copine de Merlin, le titre étant assez explicite.
De plus, la Fée Viviane a, selon les versions, des noms et des rôles complètement différents, l’un de ces noms étant d’ailleurs Nimueh, ce qui, dans la série, est un tout autre personnage.
La série n’étant pas fidèle à une ? »uvre en particulier, il est très difficile de prévoir exactement le rôle qu’aura tel ou tel personnage, Lady Vivian pourrait très bien être une anecdote, et son prénom une référence pour nous forcer à nous creuser les méninges sur ce qu’elle est et ce qu’elle deviendra, comme à chaque fois que revient un nom tiré des légendes Arthuriennes, Nimueh, Morgause, Mordred, Lancelot, etc..
Ouh la la, moi j’ai tiré un trait sur la mythologie arthurienne dès le début, sinon je ne pourrais pas regarder la série ! Disons que de toute façon, je trouve qu’on est déjà bien pourvus en fées en tous genres… au contraire, ça m’amuse de voir qu’ils maltraitent la pauvre Vivian. 😀 Et puis qui sait, effectivement, on peut s’attendre à tout avec cette série. Mais vraiment, je trouve que la légende est très accessoire, dans la série… On y revient de temps en temps histoire de dire qu’on est dans Merlin, mais je crois qu’il ne faut pas attendre grand-chose à ce niveau-là. Not really the point, if I may say. 😉
Merci pour vos réponses (Arakasi, je m’incline devant tes connaissances!)…en fait, je ne suis pas à cheval du tout sur la légende de ce bon prince de nos fesses mais Vivian, je l’attendais depuis un moment déjà en me demandant à quelle sauce elle serait mangée…j’aurai préféré un personnage à la Nimueh, justement, mais bon, je vous l’accorde, ça aurait été redondant.
Donc j’aurai voulu être surprise…autrement!
Si les autres personnages (Mordred, Lancelot, Morgana, Morgause etc) ne sont pas tels les héros des légendes (qui diffèrent d’ailleurs entre elles), ils ont quand même gardé un petit quelque chose de leur "identité" je trouve…alors que là, capouic. Vivian en nunuche pimbèche, j’ai du mal, aïe.
Reste que j’ai quand même beaucoup ri 😉
Complètement d’accord avec Karine. J’ai été gênée aussi, car Vivianne n’a encore commun que le prénom, contrairement à Lancelot par exemple… L’épisode aurait eu la même saveur si la Lady se serait appelé Marguerite ou Françoise. Alors que Viviane c’était trop connotée.
Mais bon, c’est pas bien grave, ça n’empêche pas la douce rigolade, surtout le regard de benêt d’Arthur sous son casque de combat. MDR !
Un de mes épisodes préférés, j’adore les épisodes comiques et puis Bradley est tellement génial dans ce genre de scènes, je craque complètement.
Un vrai épisode qui fait passer un super moment loin des méchantes bébêtes qui veulent tuer le prince.
J’adore tes commentaires, je rigole à chacun de tes résumés d’épisodes.