Production-made…

Bon, si vous suivez ce blog, depuis plusieurs mois voire années, vous savez à peu près comment les différentes productions mettent au point des objets fictifs pour « faire comme si », étant donné que j’en ai parlé en long en large et en travers au moment des enchères de BSG… Là, en attendant qu’il se passe un peu d’action l’autre soir, sur Granville Street (le lendemain de l’explosion de la caisse puisque oui, ils étaient ENCORE là), on a trop déliré sur les petits détails qui ont transformé Vancouver en le New York du monde parallèle de Fringe. Franchement, si on n’avait pas été aussi polis, on se serait servi. Zyeutez plutôt ce qu’on va voir au cinéma, quand on vit dans le monde parallèle :

Je vous passe les petits speechs tout bidon en bas des affiches à la place de la distrib et autres banalités. Rahlala, s’ils mettent ça un jour en vente, je me jette dessus !

Je vous dis pas la déception le lendemain matin quand en repassant devant le ciné en question, on a retrouvé la programmation habituelle. Pfffff, c’trop nul. Batman vs Superman, ça avait bien de la djeule, ça.
En outre, faites bien attention et notez ce numéro en cas de euh… urgence paranormale.

Faut ouvrir les oeils, quand ça tourne. Au début, on ne voit que les taxis jaunes et les boîtes à lettres US… et puis après, on s’interroge sur tout le reste. Et ça, c’est fake ? Et ces loupiottes, elles y sont, normalement ? Et ce ciné, il est vrai ? Et ce kiosque à hot-dogs, alors ? Et la poubelle qui déborde, c’est fait exprès ?
En tout cas, une chose est sûre : vous verrez l’opéra de Kobol dans le final de Fringe saison 2. 😉