214 : The financial permeability

Cher lecteur, en ce moment, sur ce blog, c’est nawak. Tout comme dans le ciboulot de sa propriétaire, d’ailleurs, qui, fait du up and down mieux que les Lofteurs de M6… c’est bien simple, en dix secondes top chrono, j’arrive à décider que j’arrête le blog, que je me reconvertis en éleveuse de yaks au Népal et puis non, finalement que je vais me contenter de me raser le crâne et de me construire une cabane dans les arbres où je vivrais recluse et sans wifi. Pis finalement, le blog il est toujours là, moi aussi, et juste je décide qu’au lieu de faire la review du dernier épisode de Dexter, je vais taper un épisode de TBBT au pifomètre histoire, au moins, de rigoler un coup.
Je te jure, c’est triste.
Mais au moins, j’ai rigolé un coup.
(Et je ne désespère pas de boucher les trous de cette rubrique, comme quoi il y a encore de l’espoir, Obiwan Kenobi.)

Alors, Pifou a décidé que ce serait l’épisode où Penny emprunte des sous à Sheldon. C’est très drôle de revoir ça, c’est vraiment pile poil dans ce qu’on voit en ce moment dans la saison 3. Il est chouette, ce Sheldon, sauf qu’il ne le fait pas du tout exprès. Ce qui le rend encore plus chouette. Les gens qui sont chouettes et qui le savent, c’est pas drôle. Et pas si chouette que ça.
L’intro avec le cinoche, d’abord. J’adore. Vraiment. Je suis sûre que si j’étais une fille très organisée, ça ressemblerait à ça, mes plans pour la journée. Oui, je dois aller au sport, sauf qu’aujourd’hui, cette route-là est bouchée à cause du marché, et passer de l’autre côté avec les travaux, je vais perdre vingt minutes, ce qui fait que je ne pourrai pas me choper ma soupe préférée dans mon bouiboui à l’autre bout de la ville, forcément, parce que le temps de faire les courses, j’aurai déjà dévoré un paquet de Pépito.

Howard : Okay, I guess we only have one option.
Raj : Yep, I don’t see any way around it.
Leonard : Bye, Sheldon.
Howard : See ya.
Raj : Later, dude.

Bon, je suis un peu triste pour la pauvre Penny qui s’accroche toujours au rêve de devenir actrice et qui est en train de manger son pain noir. Mais est-ce que c’est pas merveilleux d’avoir un ami comme Sheldon, prêt à casser sa tirelire pour vous ? Si. Grave si.
Et comme toujours, ptain, il déchire l’ami Parsons, devant sa petite porte.

Et hop, le retour de Data !

Sheldon : I’m sorry, I don’t understand what social situation this is. Could you give me some guidance in how to proceed ?

(Si vous ne connaissez pas Star Trek : the next generation, sachez que Data, c’est l’androïde qui voudrait devenir un vrai petit garçon, Gepetto. Ben c’est trop ça.)

Grande grande rigolade avec l’ouverture de la tirelire.

Penny : Wow, you’ve got a lot of money in there.
Sheldon : That’s why it’s guarded by snakes.

C’est extraordinaire, cette réplique. J’en ai fondu de tendresse. Aaaaaaw. Gardé par des serpents. C’est trop mignon.

Sheldon : Take some.
Penny : Don’t be silly.
Sheldon : I’m never silly.

Oui, ça c’est un peu vrai, c’est pas le genre à faire tourner les serviettes, mais bon.

Et le festival continue.

Penny : Don’t you have any upcoming expenditures ?
Sheldon : Not unless they find a way to fuse my skeleton with adamantium like Wolverine.

*hurlements de rire*

Oh purée, s’ils font ça, deuze sur la liste, please !!!

Bon, le reste de l’épisode, c’est gentillet parce que c’est plus des trucs mignons entre Penny et Leo qui en sont encore à se tourner vaguement autour, avec quelques sueurs froides du pauvre Hobbit qui se retrouve, encore, à aller demander des comptes à l’homo erectus, mais bon. Encore quelques superbes répliques, on ne peut pas se plaindre.

Leonard : When Frodo left the Shire to take the one ring to Mordor didn’t Samwise, Pippin and Merry go with him ?

Si mais alors, sans Aragorn et les Elfes, je ne suis pas sûre qu’ils seraient allés très loin, mon petit poussin !

Ah, pauvre Leo… même Sheldon se moque un peu de lui, à la fin, avec sa petite chanson.

Sheldon : Minstrel’s will write songs about you.
Leonard : Great.
Sheldon : There once was a brave lad named Leonard. With a fi-fi-findle dee dee. He faced, in fears, a giant. While Raj just wanted to pee.

Oh, que c’était chou !