101 – 102 : Air
Alors voyons. C’est clair que c’était une journée de merde, une semaine de merde, que j’ai accumulé toutes les looses les plus inimaginables (je viens d’ailleurs de laisser ma caisse sur le parking de MaBoîte pour la nuit – j’adore – parce que ah ah ah, j’ai laissé les phares allumés toute la journée, a-t-on idée), mais tout de même. Est-ce une raison pour zapper mon compte-rendu sur Stargate Universe ? Non. Vraiment pas. Surtout que vu l’état de rage dans lequel je me trouve (trente minutes de marche avec des talons de huit centimètres, essayez voir), il est bien hors de question que je regarde le nouveau Supernatural ce soir. Ce serait gâcher.
Non, je vais donc plutôt dire du mal. Et un peu du bien. Mais surtout du mal. Ca me fera du bien, de dire du mal.
Bon. C’est plutôt amusant, trouve-je, de voir les guignols de la franchise s’escrimer à faire du tout nouveau. Non parce que je suis bien persuadée qu’ils sont trèèèès contents d’eux et de leur nouveau bébé. Ouais. Franchement, ça les aurait fait chier d’essayer de nous retaper SGA au lieu de tout cramer dans une nouvelle série qui de toute évidence s’annonce comme un copier-coller des deux séries précédentes mâtinée de BSG ? Hein ?
Bon.
Moi, dans l’absolue, une nouvelle série Star Trek Stargate, je suis pour. Grave pour. Mais là, il fallait faire table rase. Tirer à la ligne. Il fallait se débarrasser des vieilles habitudes, des vieux mécanismes, des trucs vus mille fois, d’une partie de cette mythologie qui a quand même fait plonger DEUX séries.
Tenez, un détail : leur effet spécial pour l’hyperespace, on en peut pluuuus de le voir, ce machin bleu tout laid qui a pris dix ans dans les narines !
Les « aaaaaah, je saute à travers la poooooorte ! », ptain, mais sérieusement, les mecs… je sais que c’était tentant de la rejouer comme SG1 il y a quinze ans, mais c’est une intro et on a déjà l’impression d’avoir tout vu !
Donc ça, surgavage. Ca aurait pu m’émouvoir, comme beaucoup d’autres petits détails, si je n’avais pas déjà été en pétard contre Stargate et la manière dont les personnages d’Atlantis ont été saccagés. (Oui, oui, John Sheppard, je parle de toi, mon héros sacrifié, snif).
De toute façon, dès que j’ai vu ça :
Forcément. Ca veut dire ce que ça veut dire.
On prend les mêmes et on recommence. On voit pas bien comment avec la même combinaison à l’écriture et à la production, on va pouvoir se débarrasser des casseroles qu’on se traîne depuis dix ans ou presque.
Bon, sinon. J’ai trouvé l’intro assez impressionnante. Malheureusement, je m’attendais à chaque instant à voir Katee Sackhoff débarquer à petites foulées en soufflant comme un buffle.
(Sauf là.)
Vous avouerez que c’est quand même un peu dommage de lancer une série de SF avec un vaisseau perdu dans l’espace quatre mois après la fin de Battlestar Galactica. Limite c’est un peu suicidaire, leur truc.
D’autant que ce n’est pas comme si on accrochait directement au vaisseau dans lequel se retrouvent nos égarés cosmiques. Pas trop, non. A vrai dire, on a un peu l’impression d’en avoir déjà vu cinquante, des vaisseaux de ce genre, dans les séries Stargate. Un vaisseau ancien, en plus. Vous savez à quel point j’aime les Anciens. Et à quel point passée la bataille de l’Antarctique, j’ai pu haïr cette race toute pourrite. Autant les Asgards, quand ils veulent, autant les Anciens avec leur ascension di mierda, pouark.
Donc le vaisseau, euh moué.
Pas très très fan non plus des allées et venues entre le présent et le passé mais je dois reconnaître que ça fonctionne plutôt pas trop mal et que, ô surprise, les transitions sont le plus souvent assez sympathiques. Il y a un chouette effort de réalisation à ce niveau-là même si sur le principe, quarante minutes de ce petit jeu, c’est trop. D’ailleurs, j’ai trouvé ce pilote trop long, une heure et demi pour ça, c’était too much, je n’ai pas réussi à me le gober en une fois.
Par contre… je dois avouer que j’ai trop craqué sur David Blue. Je l’avais aperçu dans Ugly Betty et trouvé excellent d’emblée. Là, il est plus vrai que nature, c’est d’ailleurs le seul personnage qui est tout de suite crédible et tout de suite dedans. Le seul humain de la bande, pour ainsi dire. J’ai adoré Jack (enfin, euh… Jack… c’est pas mon Jack, on est d’accord, mon Jack a 44 ans, le ventre plat et le cheveu légèrement grisonnant) qui se la joue « Sarah Connor ? ».
Ptain, sérieux, c’est Starfighter et ils viennent chercher Alex pour qu’il soit recruté par la ligue stellaire pour défendre la frontière contre Xur et l’armada Ko-Dan ! (Ok, si je me souviens de ce truc, c’est que je suis bonne à flinguer, vous avez le droit de le dire.)
Ce jeune homme n’est pas normal. Moi, ça fait 25 ans que j’attends qu’il m’arrive un truc comme ça, ça fait 25 ans que je finis des jeux vidéo (et certains DR? »LEMENT difficiles !) et jamais on vient me chercher pour me proposer de me téléporter dans un vaisseau ; lui, il se prétend geek et il dit non ? Et il parle même pas de Starfighter ? IMPOSTURE !
Enfin bref, Eli Wallace, puisque c’est son nom, est donc le néophyte du petit groupe. C’est à travers ses yeux qu’on va découvrir la téléportation, les vaisseaux, l’hyperespace, les planètes lointaines et tout ça. Accessoirement, si on ne connaît pas Stargate, on peut toujours se raccrocher à Eli Wallace parce que c’est aussi à ça qu’il sert. Vous voyez comme même quand c’est bien, ça reste un peu grossier dans le fonctionnement ?
Mais bon. Eli va voyager. Eli est humain. Eli a une maman à charge. Eli est très mignon.
(Eli est surtout nettement moins relou que Rodney McKay.)
Forcément, à côté, vous me balancez une grosse pointure britonne qui cause du nez et qui n’est pas très très sympa, ça fait un choc. (On peut néanmoins espérer beaucoup de ce duo mal-assorti.)
Oui, j’ai un peu de mal avec Robert Carlyle. Jadis, il réussit pourtant l’exploit de me faire rire un soir de rupture (The Full Monty, c’est dire si ça remonte) mais là… Disons que si on veut parler scientifiques un peu toqués, autant Gaius Baltar, on adhère parce qu’il est drôle et blindé de défauts très très humains, autant lui, on se demande un peu quelles sont ses motivations.
Moi, il me fait un peu flipper, j’aime pas trop sa tête et je ne le trouve pas vraiment à sa place.
Evidemment, comme il a le bon goût de pleurer en écoutant Maria Callas chanter Tosca et qu’il le fait très bien, ça donne un peu d’espoir, mais je n’ai pas tout compris.
Je me demande si les rescapés ne sont pas en train de se faire complètement enfler par ce monsieur docteur.
Sinon, je ne peux pas dire que j’aie déliré de joie en voyant les anciens. Jack… c’est pas mon Jack. Daniel qui joue les schtroumphs à lunettes m’a fait sourire. Il a trouvé le moyen d’être chiant pour l’éternité, c’est mignon.
L’USS Hammond, j’ai trouvé ça excellent. Carter… bah. No comment. J’ai juste adoré la voir parler de son ton glacial à Jack par écrans interposés, on croit rêver.
(« Ah, et chéri… n’oublie pas la baguette en rentrant ce soir, hein. »)
(« Oui, lapin, pas de souci. »)
On notera l’absence totale de Chris Judge qui n’a pas du trouver le chèque assez gros.
Les autres personnages… je ne sais pas trop. Avant la fin, j’ai réussi à trouver le petit trouf’ aux cheveux courts plutôt choupi après avoir passé les trois quarts du trucs à le trouver tristement banal. A surveiller.
La « fille de » m’a un peu beaucoup agacée. J’espère qu’elle va sécher ses larmes, craquer sa jolie jupe, se relever les cheveux et faire péter le soutif parce que pour l’instant, ça fait un peu de la peine.
Le chignon blond ne m’a fait ni chaud ni froid. Les autres, pareil, excepté une forte envie de mettre ma main dans la figure de la forte tête qu’on sort du mitard. (C’est marrant, ça ne vous rappelle pas quelqu’un ?)
Le colonel blessé est… pas mal, pas mal. J’ai été étonné qu’on ne nous l’achève pas, d’habitude c’est ce qu’ils font.
Kawalsky, Sumner, tout ça… Agréablement surprise de voir le sénateur se tuer alors qu’on attend un sacrifice militaire. Evidemment, j’ai trouvé que la scène manquait cruellement de poésie et d’émotion, mais bon, quand j’aurai compris qu’on n’est pas dans BSG, j’aurai tout compris. Non mais ça va finir par rentrer.
Ca m’a fait sourire de voir Lou Diamond Philips là-dedans, tout de même. Ca fait depuis la Bamba que je me le coincerais bien dans un petit coin, oui, j’avais onze ans, j’ai toujours été un peu précoce. En plus, son frangin c’est Joseph Adama. Ils sont voisins, donc, maintenant, les anciens frangins ! Wohé, c’est énorme, je me demande s’ils se croisent, des fois, à Vancouver !
Alors, à part ça… oui, le fait de mélanger soldats, civils, politiques, sans compter ceux qui servent à rien, c’est pas mal. Ils sont pas du tout préparés, j’adore. Mais encore une fois, difficile de ne pas se dire qu’avec Adama, il y a certains trucs qui ne seraient pas arrivés.
Au niveau des dialogues… j’ai trouvé certains débats plutôt intéressants, peut-être pas assez exploités. Beaucoup de blabla pour du Stargate, il m’a semblé… mais au final peu de dialogues vraiment percutants, ça c’est un peu dommage et c’est un défaut que je trouve très présent dans la franchise. De l’humour, oui, il y en a. Mais ça manque encore, et c’est un peu un comble, de maturité. Ou alors c’est tout simplement un choix auquel je n’adhère pas.
Au final, j’ai passé un assez bon moment. J’ai trouvé ça longuet, mais regardable, j’ai pas mal accroché. J’adore le thème « perdus dans l’espace », c’est d’ailleurs pour ça que j’avais tellement accroché au principe de base de SGA (qui a été bien vite flanqué aux orties). Et il faut bien le dire, je suis super en manque de SF.
Je pense regarder la suite. Néanmoins, je trouve qu’il manque vraiment le petit truc en plus. J’aurais aimé être plus surprise. Je note les efforts, mais il aurait fallu aller plus loin. Ca aurait pu signifier se mettre à dos une partie de la fanbase (enfin, ce qu’il en reste), c’est sûr, mais davantage d’audace, ça m’aurait plu.
Mais bon… je comprends bien que réinventer un mythe, insuffler une nouvelle vie à une franchise déjà bien exploitée, c’est pas simple et que tout le monde ne s’appelle par Ron Moore.
Ce qui m’a manqué par dessus tout, c’est un petit rebondissement de fin qui dit : « Oh mon dieu… ils sont dans la merde. »
L’équipe qui se forme et qui traverse la Porte, c’est un classique… mais bon.
Quoique… Ils sont peut-être quand même un peu dans la merde !
Ah, et sinon… vous avez vu ??? Y avait du sesque !!! Incredibeul !
Bon. Allez. Sur ce, je m’en retourne broyer du noir et bouder dans mon coin. Atchao.
Aaaah, tu as donc regardé ce pilote ! Je tire à peu près les mêmes conclusions que toi, c’est regardable, sympa même les jours de vide spatial à tourner chez soi, sans plus quoi.
Comme toi j’ai pas mal accroché à Wallace et au petit soldat Scott (il est bien choupi).
Par contre, j’aime bien Rush. Parce que c’est une figure originale, sans équivalent dans les 2 séries précédentes. Egoïste, très antipathique, froid… je me demande ce qu’ils vont en faire.
Et puis j’ai décidé que depuis la fin de BSG qui m’a rendue plus que perplexe contrairement à toi (et encore, "perplexe" est un euphémisme… :-/), je ne réfléchirais plus aux séries que je regarde (TBBT, Castle, HIMYM, DH, Fringe). C’est fini la recherche du chef d’oeuvre, je finis par croire que ça n’existe pas sous format série. Donc je prends SGU comme de l’entertainement pur, et ça joue bien son rôle de divertissement. C’est pas aussi mauvais que les dernières saisons de SGA (et cette fois pas de Sheppi pour me faire suivre la chose jusqu’au bout)… S’ils avaient voulu faire quelque chose de radicalement différent et plus mature, ils auraient sans doute attendu un peu plus que 2-3 ans, là, je m’attendais pas à quelque chose de dingue.
Je suivrai la suite si j’ai le temps, les 5 séries citées précédemment passent devant ^^
Comme tu l’as très fait remarquer, SGU reprend les mêmes ressorts que les précédents, en ne changeant que les acteurs et le lieu de l’action.
Rien de bien neuf donc.
Pourquoi continuer? Pour faire un peu de fric.
SG1 a fait 10 saisons, SGA en a fait 5. SGU en fera combien? 2 ? 2,5 ? (pour continuer la suite mathématique)
Hé bah, j’ai l’impression quand même qu’après une semaine pourrie on se réfugie tous dans stargate, belle synchronisation ! (pour le coup, nous on se refait les anciens épi de sg1…émouvant comme tout)
En tout cas merci beaucoup pour cette review, vu les circonstances !
Pareil, mitigée à propos de SGU, pas sûre que je vais suivre, le probême c’est que je ne peux pas du tout saquer le cast, yen a aucun qui me branche, à part le lieutenant Scott là, et puis bon, pareil, le scénario… en même temps, c’est sûr que c’est difficile de faire du neuf après tout ce qui a été fait…mais quand même !
Bref, on verra bien, je suivrai les épi avec apparition de Jack (qui ne manque pas de me faire couiner à chaque fois parce que j’attends notre bon vieux jack et là… *gulp* heureusement,RDA est toujours aussi bon) et puis, un peu de sf en ces temps un peu creux, ça fait toujours du bien !
Donc encore merci chère Sorcière !
ps : Je suis persuadé que Jack était très inquiet pour sa Sam sur le Hammond. Rien qu’à voir ce regard à la fois soulagé et pressant quand il entend qu’elle est en communication. Nan, z’avez pas vu ? HUM. Si si, sûr que ça y était *mode big shipper on*
Eh voui c’était bien bizare tout ça, et blindé de cliché certes! Le geek qui ne veut pas allez dans le vaisseau hum? Moi limite si je ne demande pas à ce qu’on me téléporte hein? Cela dit le perso ne me dérange pas du tout, ça m’a fait plaisir de voir un "humain" dans le lot.
Le pseudo Gaius Baltar en moins bien, il fait peur et on sait pas bien ce qu’il fait là mais pourquoi pas. (Moi aussi j’ai du mal avec le coté…."N’en attends pas trop voyons, ce n’est pas BSG…XD) Bref, le rôle principal qui se tape la nana là, heu je sais même plus son nom c’est dire..Je n’ai pas accroché mais alors, pas DU TOUT. Limite il m’énerve déjà. Le colonel bléssé passe mieu, je pensais aussi qu’ils allaient nous l’achevez cela dit.
Et alors la fille du "sénateur? je crois", au secours mais faites quelque chose, passez par la fenêtre XD!
Et je n’ai pas adhéré du tout au systeme de flashback et de retour dans le présent, niveau réalisation ça m’a semblé assez inutile mais bon…
Après ça fait plaisir de revoir Jack, (bon presque Jack mais Jack quand même) et Sam…
"("Ah, et chéri… n’oublie pas la baguette en rentrant ce soir, hein.")
("Oui, lapin, pas de souci.")" C’était tout à fait ça tient mdr!
Bref à suivre..peut être…ou pas…On verra…Je suis perturbée…
D’autant que je me suis remise ce soir à regarder le piloe de SG1…Ba ça n’a rien à voir hein!
Merci pour cette review en tout cas 😉
Merci pour la review, même sentiment de mon côté (mais je sais pas le dire aussi bien). J’attends de voir quelques épisodes pour me faire une meilleure idée. Mais c’est vrai que la Chloe, j’espère qu’elle va s’arranger, parce que je l’aurais bien baffée à certains moments. J’ai bien aimé qu’elle frappe Rush quand même ^^. Je sens qu’il y a un petit potentiel. Malheureusement, ce sont à peu près les mêmes scénaristes que pour SGA, je pense qu’ils ont un peu fait leur temps.
Je mets un lien sur subfactory de ta review, j’espère qu’il y aura les mêmes réactions que la dernière fois.
"Tenez, un détail : leur effet spécial pour l’hyperespace, on en peut pluuuus de le voir"
> FTL qu’ils disent maintenant (comme quoi il n’y a pas que les mouvements de caméra qui rappellent BSG).
"J’adore le thème "perdus dans l’espace", c’est d’ailleurs pour ça que j’avais tellement accroché au principe de base de SGA (qui a été bien vite flanqué aux orties). Et il faut bien le dire, je suis super en manque de SF."
> Voilà, exactement.
Quand on me dit "petit groupe perdu dans l’espace à bord d’un gros vaisseau inconnu", je cherche même pas je regarde !
BSG il n’y avait pas le côté "petit groupe", c’était même plutôt ville finalement.
SGA il y avait d’abord le côté "perdu dans l’espace", puis "gros vaisseau", mais les deux n’ont jamais coïncidés.
Farscape le groupe était TROP petit, et ils n’étaient pas vraiment tous perdus.
Donc oui au niveau de l’histoire, c’est du tout bon et je sens que ça va être passionnant.
Là où ça coince, c’est :
– les décors… j’adorais ceux d’Atlantis (porte comprise), ceux là je les aime pas du tout (porte comprise). Je pense m’y faire avec le temps mais c’est un gros moins qui ne pourra pas être corrigé en cours de route :/
– les personnages : aucun ne m’a vraiment accroché. Dans SG-1 dès le pilote O’Neill était bien ancré, pareil dans Atlantis avec Sheppard. On était un peu obligés de les apprécier quoi !
Là Eli Wallace il m’ennerve, Nicholas Rush (j’ai dû utiliser IMDB pour retrouver le nom du perso…) est trop énigmatique, et le reste du cast je ne me rappelle même plus de leurs têtes (j’ai vu l’épisode avant-hier hein).
Pour Robert Carlyle, oui le fait qu’il soit énigmatique devrait donner envie d’en savoir plus, mais pas du tout : on ne sait pas qui il est et ce qu’il veut, du coup impossible de se dire "ouais bravo, je l’aime ce mec là, go on !". Et puis en le voyant je pense à Jack Bauer et aux pov’ enfants africains.
Donc oui, c’était plaisant, mais il n’y a guère que l’histoire et le style qui me donnent envie de voir la suite. Episode 3 dans deux heures, voyons ce que ça donne…
Polo : oui, enfin, si c’est pour encore lire que je me touche… LOL
Sorci, si jamais il y le même genre de commentaire, c’est la dernière fois que je mets un lien là-bas. 🙂
nan mais sur subfactory y en a pas mal qui ont la grosse tête, un peu trop même…
t’en as beaucoup qui croient avoir percé le mystère sur une série, juste parce qu’ils ont calé quelque chose dans un épisode, et hop ils croient qu’ils sont plus fort et plus intelligents que les scénaristes.
Et des que t’es pas de leur avis, meme si tu exposes ton avis avec des arguments, tu passes pour un con qui dit que de la merde…
Donc franchement faut surtout pas s"arreter aux commentaires de certains, t’as mieux que ca a faire Sorci 😉
bien entendu si certains de subfactory lisent ca, je ne vise personne en particulier.
Simple constatation.
Polo : y a aucun souci, c’était pas un reproche du tout, je n’empêche personne de linker ou de critiquer. 😉 C’était un peu parti en javel cette fois-là, mais c’était un peu particulier, j’imagine.
"Moi, ça fait 25 ans que j’attends qu’il m’arrive un truc comme ça, ça fait 25 ans que je finis des jeux vidéo (et certains DR? »LEMENT difficiles !) et jamais on vient me chercher pour me proposer de me téléporter dans un vaisseau"
Lol sorcière; tout pareil, moi aussi j’en ai révé, et j’ai même fini le jeu Starfighter il y a quelques temps, mais rien.
Et comme toi, j’aurais apprécié quel le geek annonce la couleur en faisant référence à Starfighter, mais non 🙁
Ah la review que j’attendais absolument ! merci Sorcière !
C’est bizarre je trouve ta review très mitigés, oscillent entre désespoir et espoir. Ceci t’as raison, je pense pas non plus qu’on puisse attendre quelque chose de vraiment nouveau de Wright et Cooper, c’est pas qu’ils sont nuls, c’est juste que ca fait respectivement 10 ans et 13 ans qui sont sur la franchise, faudrait changer tout ca.
Dans Star Trek, ils changeaient quasiment toutes l’équipes créatives à chaque nouvelles séries… dommage que ce soit pas le cas pour SG;
Donc personnellement j’en attends plus de la part des acteurs, qui sont à mon avis, bien mieux, bien bien mieux, que ce que l’on a pu voir précédemment (à part Alaina Huffman et légèrement Elyse Levesque à qui je foutrait bien moi aussi quelques baffes). Et je trouve par exemple que Jamil Walker Smith, Louis Ferreira et Robert Carlyle sont excellents. Attention à l’hérésie : meilleures même que n’importe quel acteur de SG, oui, RDA compris…
Le scénario est plutôt cool, keger qui fait plus haut le parallèle entre BSG, SGA et Farscape a tout à fait raison.
Bref, je sens que cette série va être juste cool, et que je vais passer du bon temps à la regarder, de toutes façon il y a intérêt, j’ai plus que le temps de regarder un épisode d’une série pas semaine, autant qu’elle soit cool ! 😀
Je n’ai pas super accroché à ce pilot, il manque un truc (quoi j’saurai pas trop dire pour l’instant mais la série n’a pas encore sa touche perso je pense)…
Le mix Stargate se la jouant à la BSG, j’suis pas fan du tout et le huis-clos va certainement m’agacé si ca dure…
Mais comme toi, j’suis un peu en manque de SF dc je poursuivrais cette nouvelle bouture de la franchise Stargate ^^ !
Je sais ce qu’il manque : un héros. Un vrai. Un poilu, beau, grand, noble, drôle, qu’on admire, un qui ne se plaint pas, qui prend tout sur lui, un vrai, quoi. Mais je crois qu’il y a de l’espoir. 😉
"Je sais ce qu’il manque : un héros. Un vrai. Un poilu, beau, grand, noble, drôle, qu’on admire, un qui ne se plaint pas, qui prend tout sur lui, un vrai, quoi. Mais je crois qu’il y a de l’espoir."
> Oui, c’est ce que je disais plus haut.
Mais contrairement à toi je ne l’ai pas, l’espoir (même après avoir vu l’épisode 3).
Moi ça peut aller ! 🙂
Ah ? Le lieutenant Minus te convient maintenant ? 😀
Sinon, pour l’instant ça reste sympa… J’ai décidé d’en profiter, parce qu’en fin de compte, ça m’a manqué de voir une Gate tournicoter ! Ca au moins, ça ne s’use jamais ! 🙂
Il me convient trèèèèès bien !
Tu as tout à fait c’est un véritable héros qui manque ^^ !
Qui ca pourrait être ?! Arf, je n’ai pas d’idées là, le petit soldat ne m’a point convaincu !!
Rassurez vous : Peter DeLuise va reprndre les commandes de certains épisodes et là ça ira tout de suite mieux !
Ca me paraît bien cool, ça !
La MGM a mis en ligne les autres vidéos du Shtroumph à lunettes sur le site officiel :" Hi, I’m Daniel Jackson, I didn’t see you there !" 😀
Ah oui, moi j’ai vu, un informateur bien informé m’a filé le lien la semaine dernière. 😉