Categories Menu

413 : Fire in the ice

Un petit épisode bien sympa… qui vaut principalement pour les très spectaculaires scènes de hockey sur glace que nous offre l’ami Boreanaz.

Nom d’un petit bonhomme ! Mais cet homme-là est torride, sur des patins ! Incroyable, je n’aurais jamais cru qu’il sache faire des trucs pareils sur de la pauv’ glace !
En plus, tout harnaché comme ça, par ma barbe, il est plus vrai que nature !

C’était vraiment incroyable d’ouvrir le bal là-dessus, je ne savais plus où me foutre !

En plus, avec Cam, Sweets et Bones au bord de la patinoire, c’était le festival !

J’étais quand même un peu désolée de voir ma Bones si peu échauffée par ce viril spectacle alors que Cam, elle, est sur le point de balancer sa culotte par dessus les vitres de protection.

Merci à Bones en tout cas de nous offrir ce charmant intermède musculeux.

Oui, Bones, ce sont les vestiaires, et oui, il y a des messieurs tout nus, alors sur ce, tschüss !

Hum.
Bon, mais ce n’est pas tout. C’est aussi intéressant parce que pour la première fois, roulement de tambour mesdames et messieurs, Booth est suspect. La carcasse du jour appartient à son ennemi intime du bac à sable… euh, de la patinoire, ce qui fait de lui le suspect numéro un, l’homme à abattre, quoi.

C’est frais, c’est goûtu, ça traîne là depuis trois semaines, on se croirait dans mon frigo.
Après un petit temps pour digérer la nouvelle, voyez-vous que ça amuse cet animal-là. Ah ah ah, je suis suspect d’un meurtre, les mecs, trop qu’on s’marre, nan ? Quelqu’un pour mettre une baffe à ce garçon histoire qu’il retrouve la raison ?
Mieux encore, l’enquête étant confiée à une collègue blonde et bien pète-miches, que fait cet inconscient ? Il la drague. Faut dire qu’on a une cliente, aussi.

L’agent Perotta, donc, que je déteste déjà de tout mon être.

Mais elle a le mérite, aidée de ce foie jaune de Sweets, de nous remettre un sujet très sympathique sur le tapis : les petites crises de violence de Booth. Eh oui, ça faisait longtemps qu’on n’en avait pas parlé, m’enfin il ne faut pas oublier que naguère, Booth nous a occis un clown en plastique, c’est très grave, cela, et passible de la peine capitale en territoire clown, à savoir avaler son poids en barbapapa.
Toujours est-il qu’en voyant le Booth à l’oeuvre sur une patinoire, ben on se le remet très bien, là, le clown.

D’autant qu’il faut voir le Booth partir en javel aussitôt que le tandem Sweets/Perotta évoque son paternel qui ne suçait pas que de la glace et qui avait la main leste.
C’est bien, je trouve, de nous écorner un peu notre gentil héros… ça le rend très très vivant.

Et j’ai beaucoup aimé sa confrontation avec Sweets qui se tricote une belle assurance depuis quelques épisodes.

Très bon.
Sinon, pour les petites choses rigolotes, Hodgy m’a bien éclatée, avec ses poissons. Et quand il sort son mixer, chaque fois, je manque de m’évanouir.

Une petite assiette de bouillabaisse ? Anyone ?

Sinon, j’ai beaucoup aimé l’intervention de Kendra, la tueuse de vampires. Manquait plus que la Gellar et la Dushku. Et l’autre grand pendard de Marsters, mais bon, on va pas le réclamer trop fort déjà qu’on va se le coltiner dans Caprica.

J’ai écrasé une petite larme en voyant Bones si inquiète que son Booth se mange une dérouillée sur la glace.

Mais ça lui va si bien, de se prendre des bourre-pifs.

Et j’ai trouvé ça presque mignon qu’on nous brandisse vaguement la menace d’une séparation de notre équipe de choc alors que de l’autre côté, on découvre que c’est un membre de son équipe qui a tué l’esquimau-glacé du jour. Pour l’équipe, justement.

Et puis… la scène finale sur la glace… rah. Mais cépapossib’ !

Oh, ma chère Bones, je crois que vous avez chu !

Ils sont tellement chou tous les deux, là, à se tenir la main pour patiner comme des petits amoureux, rgnihihihi !

Booth : Hey, you know what ? Forget about Agent Perotta. Alright ? Nothing’s gonna to change between me and you.
Brennan : Well, entropy is a natural force that pulls everything apart at a subatomic level. Everything changes.
Booth : Not everything Bones. Not everything.
Brennan : You’re gonna make me fall !
Booth : I’m never gonna make you fall. I’m always here.

N’enmpêche, ils ont l’air tellement heureux de tourner ces petites scènes que c’est pas possible de douter d’à quel point David et Emily sont des shippers dans l’âme. Je crois que David disait dans une interview récemment qu’il n’en avait rien à taper des enquêtes. Tout ce qui l’intéresse, c’est le Bones and Booth stuff.

Posted by on Août 30, 2009 in Bones | 3 comments

3 Comments

  1. Ce que j’ai trouvé d’intéressant dans cet épisode, c’est la façon dont Booth a de parler de son père. Ce n’est pas "my dad" ou même "my father", c’est "the old man". Bones le reprend même une fois. Papa Booth ne devait pas être le père idéal…

  2. Ca explique vachement bien les inquiétudes de Booth concernant la façon d’être un bon père pour Parker… Je serais curieuse d’en savoir plus concernant ce cher papa. En même temps, quand on voit l’autre frangin qui est une vraie cata ambulante malgré le cadre bien rigide de l’armée, ça en dit très long également.

  3. C’est la fête de Bones en ce moment. J’y croyais pas trop.
    Cette épisode hockey sur glace est sympa. Je crois avoir lu que le David avait un peu poussé pour avoir une histoire sur patin parce qu’il est fan de hockey le gamin. Et moi je ne m’en plains pas tant qu’on voit aussi les vestiaires…

Post a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Top