208 : Timebomb
Booooon, je viens de voir le 209 (oui, j’ai entamé cette review lundi soir, c’est la honte, non ?) et ça va être très difficile de parler d’un épisode où Alex/Eric n’apparaît pas nu, je vous préviens de suite !
(Tain, mais qu’est-ce qu’on se fait chier avec Stephen Moyer, je vous le demande ???)
Bref. Concentre-toi, Sorcière. Concentre-toi. Sur Godric. Godric qui vient de sauver Sookie. Et qui parle à… merde, à Eric, évidemment.
Godric : I’m here my child. (*rire nerveux*)
Bon, tu ne m’aides pas, là, Alex. Tu ne m’aides PAS DU TOUT ! Non, cette petite bouille soumise ne faisait pas partie de notre marché ! Pas plus que la petite génuflexion et la nuque ployée !
(J’ai adoré la mise en scène de cet épisode. Non mais matez l’arrière-plan, quoi.)
Bon, bref, sérieusement. On continue à nous flanquer Eric à poil (psychologiquement, j’entends) et je commence à me demander ce que Ball a en réserve pour lui. Parce que ça s’accélère, cette petite affaire, ça s’accélère très très vite depuis le début de la saison et je ne crains qu’une chose, c’est que ça ne s’accélère tellement vite que ça finisse droit dans le mur. (Pauvre mur.) Qu’on ne nous crame Eric, en gros. Trop vite, trop fort.
Enfin une chose est sûre, Eric est à quatre pattes devant son créateur. Qui n’est rien d’autre qu’un gamin de 2000 ans, donc. Alors ça… j’avoue que le Godric, eh ben il est monstrueux. On est allé nous chercher un jeune Danois, s’il vous plaît, pour incarner cette bizarrerie de la… euh… nature. Et ça joue bien, dites donc, du haut de sa petite vingtaine !
Franchement, on y croit très fort, à cette vieille âme dans ce petit corps tout fluet.
(Et puis les acteurs européens, rien à dire, en vampires, ils déchirent, je trouve. Pourquoi ? J’en sais rien. Le « vieux » continent ?)
Bon, le fait d’avoir lu le bouquin m’a quand même mise sur la piste concernant la manière de penser de Godric, malgré les libertés prises par Alan.
Tout ça pour dire qu’il ne moufte pas, Hagard du Nord, quand son créateur lui demande de sortir Sookie de là et de rabattre la lunette ne pas verser une goutte de sang en sortant.
(*Inscrit la fossette d’Alex au patrimoine mondial de l’UNESCO*)
Et une fois de plus, c’est trop difficile de ne pas céder à la fascination. Comment cette petite dinde peut-elle résister face à ce superbe modèle d’armoire suédoise ? (Quand on en trouvera dans les rayons d’Ikea, de ce genre d’armoire, je pense que la marque jaune et bleu aura tout compris !)
Ah. Oui. C’est vrai. Elle est amoureuse de *berk* Bill *pouah*.
Sookie : He’s your maker, isn’t he ?
Eric : Don’t use words you don’t understand.
Sookie : You have a lot of love for him.
Eric : Don’t use words I don’t understand.
Hum. Bon. J’avoue que j’admire l’assurance (l’inconscience ?) de la jeune sotte face à ce vénérable qui lui parle comme si elle avait cinq ans. En même temps, j’avoue aussi que j’admire la patience d’Eric. Il pourrait aussi lui répondre : « Shut up, little bitch » et ça serait pas volé.
Eric : Trust me.
Vous allez pas me dire que sa proximité ne lui fait rien, bordel !
Hop, et c’est le début du Eric-show. Alors ça, j’ai dû me le repasser six ou sept fois et à chaque fois je riais autant !
Eric : Hi all ! How’s it goin’ ?
L’accent. La silhouette courbée. Le sourire. LE SOURIRE, PTAIN !
Fabuleux. On va dire que Crucruche lui sauve un peu la mise, mais bon.
(Ca passe quand même plutôt pas mal entre eux, à l’écran, je trouve. Je n’aurais pas cru, au début.)
Là dessus(1), ça part gentiment en carafe. Newlin débarque avec ses amis et décide d’organiser une petite rencontre entre Eric et l’astre de nos jours. Ce qui revient à organiser une petite rencontre entre Eric et Eric, ah ah ah, suis-je drôle.
Chaque fois que je le vois sourire comme ça, perso, j’ai ma tendinite qui revient.
Holy fang ! Il faut arrêter, maintenant !
Là dessus(2), Jason Stackhouse, ressuscité, remonté comme jamais, toujours aussi niais mais furieux qu’on traite sa soeur, jette l’assaut de sa petite personne sur l’église des Newlin.
Et nous colle un bon coup de paint-ball entre les deux yeux du messie qui se met à hurler comme un goret. Grande classe.
Là dessus(3), Stan et ses cow-boys déferlent à leur tour.
Oh mon Dieu, le loooook ! Enorme ! J’adore le Stan de la série !
Stan : We’ll kill you first. The same way we did your father.
Ca c’est un homme ! On tire d’abord, on cause ensuite ! Celui-là, je l’imagine bien avoir été créé vers la fin du 19ème ! Par Buffalo Bill, soyons fous.
Là dessus(4), enters Godric. Qui aurait pu fonder son propre culte, j’vais vous dire.
Cette race a vraiment le goût de la mise en scène, c’est un régal de les regarder… euh… s’écouter. Ils sont très drôles tellement ils se prennent au sérieux, je trouve.
Steve : Jesus will protect me.
Godric : I am actually older than your Jesus. I wish I could have known him but I missed it.
Ca calme !
Et puis là, on est à la limite du théâtre, avec les entrées des uns et des autres, sans temps mort. C’est très bien foutu, pas le temps de reprendre son souffle.
Rooooh, pauv’ bichou ! Franchement, j’étais désolée pour Stan, tout contrit de ne pas pouvoir faire son petit carnage qu’il avait commandé à Papa Noël.
Ah oui. Et pendant ce temps, devinez qui a enfin réussi à se débarrasser de l’autre pot de colle Cléopâtre, là ?
Rrrrrronnnnnpssssshhhhhiiiiiii.
Non, mais je déconne, hein, je l’aime bien, le Bill, c’est juste que c’est un peu ennuyeux de le voir sauter sa sotte un épisode sur deux. Et j’aime pas ses cheveux. Ses cheveux, je peux pas. Début de la saison 1, ils étaient mieux, ses cheveux.
Bwef ! Laissons donc le révérend réfléchir à ce qu’il a fait.
(Et se rendre compte que personne il veut crever pour lui. Enfin presque.)
Ah, et avant qu’on ne quitte l’Eglise-du-soleil-levant-de-la-bonne-parole-de-Jésus-reviens, une dernière chose.
IL FAUT ARR??TER LE JAUNE MAINTENANT MADAME !
Puisque je vous ai (longuement) parlé de ma scène préférée, on va passer à ma deuxième scène préférée.
Bon. Sérieusement. Vous savez que je regarde Bones, que je regarde SPN, que je regardais Torchwood, tout ça en gloussant parce que c’est trop mignonnement répugnant. Mais là… wow. Franchement, chaque semaine ils arrivent à aller plus loin dans l’horreur et le freaky, quoi.
Vous avez déjà vu quelque chose de pire que la scène où Maryann Forrester (or whoever she is) découpe en chantonnant le petit coeur de Daphne pour le faire revenir gentiment à la poêle ?
C’était atroce. J’avais les cheveux dressés sur la tête, en regardant ça. Et le fait qu’elle fredonne comme le ferait n’importe quelle ménagère de moins de cinquante ans dans sa cuisine, c’était pire que tout.
Et pensez-vous qu’elle va la becter elle-même, sa pitance ? Que dalle ! C’est pour les tourtereaux, bien sûr ! Viens-t’en manger du bon soufflé chasseur, ma petite Tara !
Et le pire encore une fois ? Le sourire de la bête alors que Tara et Eggs se pourlèchent les mandibules en engloutissant la tourte surprise.
On croirait qu’elle regarde des petits chats mignons en train de se donner gentiment des petits coups de papatte !
Mais c’est répugnant !!!
Pareil ensuite lorsque les deux crétins commencent à se coller des baffes bioniques pour finir par copuler furieusement sur le parquet de Mamie. Nan mais franchement, tenez-vous, jeunes gens !
Bon, c’est vrai que je commence à être un peu fatiguée par l’intrigue de Maryann. Mais ça n’a rien à voir avec Michelle Forbes qui est époustouflante dans ce rôle. J’ai même du mal à lui en vouloir, à Maryann, parce qu’on sent qu’il n’y a pas vraiment de malice là-derrière. C’est juste sa nature profonde d’être sans âge, issu d’une époque où il n’y avait pas de règles. Elle plane loin au dessus du reste de la création et les mortels ne sont pour elle que de gentils insectes. De temps en temps, elle se prend d’amitié pour l’un d’eux, le temps de jouer un peu avec et de passer à un autre.
Oui, elle est de ces divinités toutes puissantes et redoutées qui s’amusaient à intervenir dans le destin des hommes pour ensuite observer les conséquences, du haut de leur rocher. Du genre à regarder leur héros se battre contre des squelettes armés d’épées. Voyez c’que j’veux dire ?
A part ça… ma Jessica. Roh, ptite choupette. Qu’est-ce qu’elle est meugnonne, cette petite. Franchement, sa réaction quand elle se fait choper par Bill avec son Hoyt entre les cuisses, j’en étais malade de tendresse.
Hoyt : I don’t know what you’ve heard, but those were screams of pleasure… right ?
(Hoyt, tu sais quoi ? Ne dis rien, va. Besogne et tais-toi.)
J’aime beaucoup ce côté père/fille un peu déglingué. Nul doute que si Sookie n’était pas en danger de moooort (en danger de mort de se faire sauver par Eric, voui), Bill y serait allé d’un petit sermon professoral avec l’index en l’air, façon schtroumph à lunettes.
C’est très amusant de voir ses réactions face aux deux amoureux qui sont en train de vivre, grosso modo, la même chose que lui et Sookie.
(En moins bien, évidemment.)
Mais alors… la vieille arnaque, quoi. Ah ben ptain, se faire vampiriser quand on est encore vierge, c’est trop trop la mauvaise affaire, quoi. Pauvre biquette. La voilà vierge pour le restant de son existence de vampire ! Trop sympa ! Trop agréable ! Aïeuh !
(Hein, mesdemoiselles, qu’on l’envie toutes, la petite Jessica ?)
N’empêche que si « tout » repousse… on se demande bien pourquoi les cheveux d’Eric sont restés courts après la coupe sauvage de Pam. Heing ? Alors.
Du côté de Chienchien, ouh là là, ça sent la louze ! Tranquillement quand il rentre, qu’est-ce qu’il trouve, le Canis Familiaris ? La carcasse de sa copine Daphne… qui a d’ailleurs l’air trop désolée de lui faire ce coup-là.
Une scène bien fascinante, d’ailleurs, durant laquelle on regarde Sam réagir face au cadavre, prendre ses sacs poubelle comme un robot, et laisser tomber parce qu’il ne peut pas lui faire ça, à Daphne. Et parce qu’il est trop honnête pour disposer du corps comme ça. Quitte à se faire accuser.
Ca ne tarde pas, d’ailleurs, puisque qu’une petite souris a appelé le shérif. J’adore la gueule de Sam qui lui même vient de composer le 911 et qui voit débarquer Kenya et Bud…
Ca sent le chien mouillé pour Toutou, donc. D’autant que… Andy ne lui rend pas service, en voulant le faire innocenter.
Andy : With claws… a bull… in a dress… with claws !
Ouiouioui.
Amusante association que ces deux-là qui ne sont pas les meilleurs potes du monde et qui se retrouvent à être quasiment les derniers doués de raison dans ce bled de cinglés (dont certains sodomisent des arbres, donc).
De retour à Dallas où on s’amuse comme des petits fous, j’ai adoré la surboum des vampires. En fait, c’est trop l’éclate, leur truc. Et plus on en apprend sur leur organisation et leur hiérarchie, et plus je trouve ça génial.
En plus, la mise en scène est encore une fois magistrale.
On a tous ces vampires sapés en noir, en cuir, en fringues improbables et cloutées. On a Sookie, toute blanche, telle l’agnelle au milieu de la meute de loups.
On a Bill, avec sa chemise brune, pas tout à fait en noir.
(Sa colère envers Eric qui a piégé Sookie, en revanche, est bien noire. J’ai vérifié.)
Et on a Godric, superbe, gris de visage, gris de vêtements, et gris d’opinion.
Godric : Let’s be honest we are frightening. After thousands of years we haven’t evolved. We’ve only grown more brutal. More predatory. I don’t see the dangers of treating humans as equals.
Il lui aura fallu des siècles, au Methos de True Blood, pour en arriver à penser que son espèce n’a pas sa place aux côtés des mortels. Pour se considérer comme une abomination. D’ailleurs, est-il encore vampire ? Il ne semble même plus ressentir le besoin de se nourrir. Bref, après être mort une première fois, après avoir joué les Peter Pan assoifés de sang, après avoir été humain, puis vampire, Godric… redevient humain. Et fait la leçon à ses petits camarades. A son fiston, notamment, qui n’est pas très, très sage, il faut dire. Qui passe son temps à convoiter les petites amies (enfin, surtout une petite amie) des copains.
J’avoue qu’il me fait tellement rire avec sa petite manière délicieusement désinvolte de rabaisser Bill (qui mesure déjà trois têtes de moins que lui) à chaque occasion. Arf. Eric, quoi. Ca se fait pas.
Et c’est amusant de comparer Godric à Bill, au passage. Puisqu’ils partagent presque le même avis sur leur nature. Du coup, mon admiration pour Bill est revenue au quart de tour. Et si je suis très loin de mépriser les Isabel, les Stan, les Eric, les Pam, j’avoue que Bill, tout soporifique soit-il parfois, je le trouve bien brave. Surtout après avoir découvert son passé auprès de… la robe rouge.
Il ne manquait qu’elle dans ce tableau assez monochrome. La robe rouge qui va finir de venir foutre le bordel.
Ah ah ah, n’empêche… la petite Sookie, prête à être gentille. Et l’autre cinglée qui lui balance ses quatre vérités de son ton mielleux. Elle ne reste pas gentille très longtemps, Cruchette. Ah ça, les « fucking bitch » pleuvent assez rapidement et Lorena se récupère ses quatre vérités dans les dix secondes qui suivent.
Heureusement que le shérif est là pour bannir Lorena.
Tiens, au passage, j’ai été étonnée de sa clémence envers Isabel et Hugo. Dans le bouquin, déjà, ce n’est pas Godric qui rend ce jugement. Et Isabel et Hugo finissent enfermés pendant je ne sais plus combien de temps, enchaînés, l’un mourant d’envie de se taper sa bien-aimée, l’autre mourant d’envie de boire le sang de son chéri. Sauf que non. Brrrr.
Evidemment, Godric est bien au dessus de ça. Et il se contente de faire accompagner Hugo très très loin. S’étonnant doucement de l’amour que lui porte Isabel.
Par contre, pas de pitié pour Lorena qui n’a pas intérêt à remontrer le bout de ses canines dans le coin. Et qui s’en va, donc, piteusement en se demandant pourquoi elle n’arrive pas à se détacher de son Bill, et en versant moultes larmes de croco.
Oh, gross ! Ca colle, c’est gluant, pouark, madame.
Et pendant ce temps…
Nom de Zeus !
Quel cliff de dingue ! Quelle efficacité ! Franchement, entre cet épisode et le suivant, j’ai eu une semaine de dingue, mais il ne s’est pas passé un jour sans que je me dise : « Vivement lundi soir, putain, vivement lundi soir. »
Et je n’ai pas été déçue, comme vous vous en doutez.
Gnahahaaa !!!
Pour l’instant c’est mon épisode préféré de la saison je crois, autant il y en a où il ne se passe pas grand chose, autant celui là a été hautement prolifique en tout point !
Et le coup du coeur, effectivement, bleurk ! Merci pour les gros plans monsieur le réalisateur !
Ahhhhh Alex, je partage ton point de vue (suis pas encore remise de la fameuse scène du 2.09)… Mon Dieu ce qu’il illumine l’écran… A côté il fait franchement palichon le Bill !
Oh le coup de la tourte au coeur, ca m’a retourné l’estomac… On les voit manger les gros morceau pas cuit de coeur avec déléctation : yeurk !
Ahhh Stan, j’adoooore, la classe à la Texanne !
La pauvre Jessica, c’est quand même pas de bol son histoire… Elle se trouve un mec et vlan la voilà condamner à rester vierge pour l’eternité… Pas d’bol !
Hâte de lire ta review de l’ép. 2.09 😀 !
Je m’y mets dès ce soir ! Mais ça risque d’être long, là aussi. Huuuum.
j’étais à deux doigts de vomir (littéralement) pour la scène du coeur… très bon épisode ! et effectivement, vive Eric !
Ahhh la voili la voila la review 🙂 Mais franchement, hein, pourquoi attendre une review d’un épisode déjà vu ? ça sert pas à grand chose…
Sauf que bien évidemment, comme souvent, tu nous sors une perle : super coup d’? »il pour l’arrière plan Eric/Godric ! Bravo et merci !!
Cet épisode est l’un de mes préférés grâce à l’apparition de Godric et tout ce qu’il provoque de réactions chez Eric et les couillons joyeux.
Godric est extra, j’adore, alors que dans le bouquin bof, ça glisse ; ça réplique concernant Jésus m’a fait hurler de rire et la façon dont il calme tout ce petit monde d’un mot est bluffante comparée à tous ces gros bras qui exhibent canines reluisantes, chaines en argent et paintball.
Quel as de la visée, ce Jason !! et j’ai trépigné avec lui pour qu’Eric tue le chefton mais bon… on en a sans doute encore besoin grmmbbbll Jason a réparé pour moi toutes ses erreurs passées durant ces quelques minutes et son personnage a gagné mon affection ; il était temps.
J’aime bien son échange avec Eric et ses "oui… non !" mdrr et l’autre grand sadique qui se marre de le voir tout penaud.
Stan correspond parfaitement à l’idée que je m’en était faite, en un peu plus brute de décoffrage tout de même. Il réussit quand même la prouesse de me faire autant rire que peur.
D’une manière générale, je trouve qu’on en apprend beaucoup ces derniers temps sur les sentiments des vampires ; Durant la première saison, on a vraiment l’impression que Bill vient d’une autre planète et là, les cas similaires pleuvent. Jessica, Lorena, Isabel et Eric prouvent qu’ils peuvent éprouver des sentiments sincères à l’encontre d’autrui, au point de se mettre en danger ou de jeter leur honneur aux orties. Isabel a la palme, ici ; je l’ai trouvée très touchante.
Par contre, j’ai pas aimé l’attente infernale qui a suivi !! >__<
Oui, j’ai vraiment bien aimé Isabel et Stan, beaucoup plus que dans les bouquins, Godric aussi, mais j’en parlerai plus longuement dans la prochaine review. 😉 Le trait de génie d’Alan Ball, là, ça a vraiment été de faire d’Eric le fiston de Godric. Ca laisse à penser que le personnage lui plaît et qu’il a envie de l’explorer un peu plus que les bouquins. C’était vraiment sympa de le voir aussi ému alors que de l’autre côté, il est en train de jouer l’arnaque du siècle. LOL
C’est assez hallucinant, Godric est devenu un personnage très apprécié des fans alors qu’il n’est apparu que dans 4 épisodes, dont deux où on ne le voit que quelques instants…puis l’acteur est très charismatique.
Sinon Alexander est vraiment excellent (quand il se fait passer pour un humain, c’est énorme !). Il est magistral, Stephen Moyer fait pâle figure à côté. Et Bill est tellement ennuyeux…sa relation avec Sookie commence à tourner en rond je trouve.
En tout cas après deux épisodes où on a droit au Eric show, j’espère qu’il ne sera pas laissé de côté à nouveau pour le reste de la saison, et qu’il ne va pas juste faire coucou quelques minutes comme avant, ce serait dommage…
A mon avis, une telle faute de goût serait tout à fait improbable, surtout après l’épisode 9. 😉
J’ai vraiment beaucoup aimé cet épisode et j’ai litéralement piétiné d’impatience jusqu’au 209!
J’adore Eric. Il m’intriguais beaucoup dans la saison 1 et je le kiffe depuis le 201. La relation Eric/Godric est bien super intéressante (Merci Alan!) et je trouve vraiment fascinant ce rapport maker/child.
Jessica…Son "it grew back" m’a fait trop de peine. Ils sont trop cute avec Hoyt et ça me fait de la peine pour eux. Enfin surtout pour elle!
Sinon mon chouchou de l’episode c’est Jason. A la base pas du tout mon type de perso et finalement je l’adore. Déjà dans l’épisode où il aide Luke au boot camp, j’avais aimé sa réaction. Là le voir prendre d’assaut the Fellowship armé d’un paint ball pour sauver soeurette, sa discussion avec les vampires Godric, Eric puis Bill (suivi d’un man hug assez awkward LOL )Ben il est vachement remonté dans mon estime. Le Jason de la série est bien plus interessant que celui des livres, en même temps il est plus developpé…
Il m’a fait pensé a Dean Winchester dans cet épisode. Charger une église remplie de "méchants" pour sauver Sam, hurler qu’il va faire la peau a tout le monde si on touche ne serait-ce qu’un cheveux de son frère, et puis le "I reckon I’ve already been in heaven…inside your wife" …Ben on dirait du Dean Winchester tout craché! J’adore!
Le gars qui joue Godric est juste phénoménal de justesse. Il a tout juste 20 ans et on croit a mort que c’est un vampire de 2000 ans sage et blasé. Là encore le perso est mieux developpé que dans le livre, même s’ils ont grosso modo la même storyline. On peut dire merci a Alan Ball, la relation Eric/Godric fait beaucoup gagner en intensité aux 2 persos.
Sookie comme Jason, je trouve qu’elle sort enfin de son rôle de nunuche a paillette (j’adore ton expression!) Elle a pas peur. Un cat fight avec Lorena ça doit pas être joli joli. Et je trouve qu’elle a beaucoup de cran face aux vampires. Et c’est clair que de l’entendre employer des termes aussi colorés que "fuck" et "fucking bitch", je m’y attendais pas. Sookie se lache!
En ce qui concerne Bon Temps: c’est la merde! J’avoue avoir un peu peur pour Sam, Tara et même si on l’a pas vu dans cet épisode, j’ai peur pour Lafayette!
Merci pour ta review Sorciére!
C’est toujours un plaisir et perso ça me gene absolument pas si la review du 209 est longue!
Oui mais bon, Alan Ball est plus en admiration devant le couple Bill/Sookie alors on sait jamais…Je serais quand même bien déçue si Eric joue de nouveau les hommes invisibles, c’est vrai qu’après l’épisode 9, ce serait dommage…
Ben c’est même impossible. Ou alors il faut le tuer ! Et il peut admirer Bill/Sookie sans reléguer Eric au second plan, j’vois pas le rapport ! LOL
Moi il me tente bien, le soufflé de Marygran ! 😀
Et pour Bill, tu as trop raison = schtroumph à lunettes !
Sookie la crucruche ne mérite pas ce grand blondinet scandinave. Hein, télépathe ? Et alors ? ERIC IS MINE ! (surtout après le 209)
Merci pour la review ! Je l’attendais avec impatience, et j’ai allumé mon ordinateur, hier matin, et elle était là, pile pour mon anniversaire !^^
Mon épisode préféré jusqu’ici, que je me suis passé plusieurs fois avant le 9.
Vive le Eric-show !
Encore merci ! 😀
Bon anniversaire + 1, alors ! 😉
Merci !! Parce qu’en plus, trop bien, il y a aussi la review du 2×09 !! 😀 Merciii !
Hummm….je pourrais me faire un sandwich jason-eggs-eric-sam tous les midis et sans problème de digestion si vous voyez ce que je veux dire… ;D
Bon eh bien je suis d’accord avec la moindre phrase de cette review…Ben si cest possible…XD
Eric miaaaaaaaaaaaaaam, Eric bof brrrrrr bien ça depend des jours…bon il a un pb de cheveux c’est certains, et Maryanne Brrr brrrrrr je crois qu’en fait la longueur de l’inytigue est a 300% sauvée par Michelle Forbes qui est carrément géniallissime dans ce rôle….Vais voir la souite tient !!